Chère sœur musulmane, où que tu sois sur cette terre, que le - TopicsExpress



          

Chère sœur musulmane, où que tu sois sur cette terre, que le salut et la paix d’Allah soient sur toi. Sache, tout d’abord, chère sœur en Allah, que tu es la consœur de l’homme, égale à l’homme et que tu représentes la moitié de toute l’humanité. Tu es une mère, une épouse, une fille, une sœur, une tante paternelle, une tante maternelle, une petite fille et une grand-mère. Notre Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, a dit : « Les femmes sont les consœurs des hommes. » Allah – exalté soit-Il – t’a légiféré, chère sœur, des règles et des jugements, t’a donné des spécificités qui ne sont qu’en ta faveur et en parfaite concordance avec ta nature. Allah dit à propos de Lui-même (traduction du sens des versets) : « Ne connaît-Il pas ce qu’il a créé alors que c’est Lui le Compatissant et le Parfaitement Connaisseur. »(La Royauté, v. 14) Tu es invitée, chère sœur, à retourner vers Allah – exalté soit-Il, à t’accrocher à Sa religion et à suivre la Sunna authentique de Son Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, ceci par la sincérité de ton appartenance à la communauté musulmane, par le sacrifice et la dépense pour la construction d’une génération musulmane bien guidée qui prendra à nouveau le flambeau de la foi. Chère sœur, les ennemis de l’islam, partout dans le monde, veulent te détourner de tes honorables tâches et de tes grands efforts dans le travail de la religion et la construction de la communauté. Nous constatons avec amertume qu’ils te proposent des tentations mondaines et excitantes, des décorations éphémères tels que les expositions de parures, de bijoux et de modèles captivants et mensongers, le tout conçu et fabriqué par les mécréants. Tout ceci n’a pour conséquences que des hystéries interminables, des passions enflammées, des ventres insatiables, des parures dévastatrices et des concurrences attractives... Comme si tu n’avais été créée que pour ces futilités que répugnent les âmes pures. Tout ceci est entouré par l’invitation au gâchis, à la jalousie, à la vantardise. Ils représentent la piété ainsi que la pudeur comme des obstacles à la liberté et au progrès, le voile islamique comme une couverture de l’esprit et de la pensée, la prière et le jeûne comme des futilités et une perte de temps et l’obéissance au mari comme un rabaissement et une humiliation. Chère sœur, ces gens-là, veulent que tu sois sans cesse entre leurs mauvaises mains injustes dans n’importe quel lieu : les bureaux, la rue, les endroits d’amusements et de turpitudes… dépourvue de toute éthique, religion et honneur. Ils te veulent sans religion, sauf la religion de leurs passions sans valeurs, de leurs tentations vaines et de leurs principes Chère sœur, n’as tu pas vu les filles de ta catégorie qui se sont dévêtues du voile de la pudeur, qui ont accouru vers les désirs et les passions et qui ont suivi les trompeurs égarés, quelle en a été la conséquence ?! Quel en a été le bénéfice ?! Chère sœur, sois fière de ta religion car c’est ton honneur, celui de tes parents ainsi que celui de tes ancêtres. Sois un guide vertueux pour tes enfants, tes frères, tes sœurs, ta famille, tes voisins, et sois sincère dans ton appartenance à ta noble communauté. Et saches que la pudeur est un honneur chez les personnes de noble caractère et que l’impudeur est une immoralité chez les communautés vertueuses même si certains lui donnent des noms trompeurs comme « Amour », « Liberté » et « Egalité ». Et sois sûre, chère sœur, que ton bonheur éternel est que tu sois une fille vertueuse et obéissante, une épouse fidèle et généreuse, une mère pieuse, tout ceci, entouré par la grandeur de la vérité, la clairvoyance du bien et la lumière de la foi. Sache, chère sœur, que la prière est le pilier de l’islam et l’arbitre entre les musulmans et les mécréants, que le jeûne du Ramadan est un pilier fondamental, que l’aumône fait partie des immenses actes par le biais desquels Allah - exalté soit-Il – efface les péchés. Rappelle-toi toujours, ô sœur, que les vêtues-nues (qui sont vêtues mais en réalité nues) qui ont abandonné l’étoffe de la pudeur pour l’habit de la civilisation éphémère, n’entreront pas au paradis et n’en sentiront pas l’odeur. Sache et apprends-le à celles que tu connais, chère sœur vertueuse, que plusieurs conditions sont attachées au voile islamique. Parmi les plus importantes : qu’il couvre tout le corps hormis le visage et les mains (bien que les couvrir est préférable et plus pieux pour elle, surtout à cette époque!), qu’il ne soit pas une beauté en lui-même, qu’il n’attire pas les regards, qu’il ne soit pas serré au point de décrire le corps, qu’il ne soit pas transparent dévoilant ce qu’il y a en dessous, qu’il ne soit pas parfumé et qu’il ne ressemble ni aux vêtements des mécréantes et polythéistes ni aux vêtements masculins. Dernière parole… Que je destine à la femme en général, dans nos pays musulmans, je luis dis : Nous refusons que la femme, soit une perruche ne sachant que répéter tout ce qui se dit, suivre les faux désirs, porter tout ce qui se fabrique, courir derrière n’importe quelle brillance mensongère et s’essouffler après toutes les envies. Nous voulons que la femme ait sa personnalité distincte dans la croyance, la pensée, le comportement, l’habillement et dans le mode de vie. La croyance… C’est le plus important principe de notre noble religion. Que les femmes se méfient de faire un acte qui irait à l’encontre de cette croyance comme : invoquer autre qu’Allah – exalté soit-Il – parmi les prophètes, les saints ou les vertueux, jurer par autre qu’Allah – exalté soit-Il – égorger ou faire un vœu pour un autre qu’Allah – exalté soit-Il –, aller chez les voyants et les astrologues, porter des talismans, pratiquer des séances de guérison comportant des actes d’associationnisme, ou toute chose semblable parmi les actes de mécréance et d’égarement ! En résumé : Nous voulons que la femme musulmane mesure les choses par la voie d’Allah le Très-Grand – exalté soit-Il, qu’elle regarde cette vie à la lumière du Saint Coran, qu’elle contemple dans cette vie d’ici-bas celle de l’au-delà, qu’elle prenne l’islam comme itinéraire et la Sunna du Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, comme un exemple et un compagnon. C’est cette femme musulmane que nous voulons et c’est elle qui pourra réaliser dans la vie actuelle, de nombreuses choses, pour elle-même, ainsi que pour les autres. Chère sœur, voici entre tes mains, un rappel et une subsistance sur ta route, qui peut être longue ou courte, qui se terminera par la mort, puis la tombe. Celui qui fera partie des gens du paradis, sa tombe s’élargira de soixante-dix coudées et sera verdoyante, jusqu’au Jour de la Résurrection. Et celui qui fera partie des gens de l’enfer, sera frappé par des matraques de fer et sa tombe se rétrécira jusquà lui briser les côtes ! Puis la résurrection ! Le jugement et le compte ! Enfin une demeure éternelle, soit dans un paradis large comme les cieux et la terre, ou bien dans un feu noir et sombre. « Quiconque donc est écarté du feu et introduit au paradis, a certes réussi. » (La Famille dImrân, v. 185) Chère sœur, ceci est le discours de l’espérance et la parole d’un loyal conseiller. Prends garde aux alliés du diable qui ne veulent que ton égarement et sois une pieuse servante d’Allah – exalté soit-Il, une descendante des pieuses ancêtres et sache que ton rôle dans la construction de la communauté est immense. Assume donc ce rôle et ne sois pas un moyen de destruction et d’anéantissement, mais plutôt une constructrice de l’honneur et de la gloire. Il faut impérativement retourner aux deux immenses révélations : le Livre d’Allah – exalté soit-Il – et la Sunna de Son Prophète, prière et salut d’Allah sur lui, pour que l’on soit parmi les gagnants du bonheur suprême des deux demeures, celle d’ici-bas et celle de l’au-delà. Et notre dernière invocations est : « Louanges à Allah, le Seigneur de l’univers ».
Posted on: Mon, 11 Nov 2013 21:06:44 +0000

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