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Ci dessous, le dernier pack 2012 « Comme chaque année depuis 2006, Senegalaisement vous présente pour 2012 les tendances et bons plans « émigration » de l’année sous forme de packs détaillés. Les chiffres fournis, basés sur des enquêtes minutieuses et des sources de qualité, permettent de se faire une véritable idée des divers canaux migratoires. PACK 2012 : Trouver ou devenir un père putatif 1) Devenir un père putatif, c’est la grande tendance 2012. Cette activité, longtemps restée confidentielle, tend à devenir industrielle et permet donc de l’envisager comme une source de revenus à part entière. Il s’agit pour un Sénégalais ayant obtenu la nationalité française de reconnaitre par un simple acte administratif déposé en mairie, qu’il est le père d’un enfant né ou à naître d’une sénégalaise présente sur le sol français ou restée au Sénégal. Cette reconnaissance de paternité permet de voir l’enfant obtenir de facto la nationalité française et à la mère d’obtenir un titre de séjour immédiat et la nationalité française rapidement. Il s’agit d’un simple acte administratif qui ne vous engage que dans votre bonne foi (…) Le prix qui peut-être demandé à la mère ou sa famille étant généralement bas (de 500 à 2500€ par reconnaissance), il faut évidemment multiplier autant que possible cette activité si l’on souhaite en faire sa principale source de revenus. Certaines précautions doivent cependant être prises afin de pérenniser une telle entreprise. Tout d’abord la discrétion fiscale. Il est facile d’assassiner 3 ou 4 personnes en France avant d’attirer l’intérêt des autorités. Violer une octogénaire en réunion ou casser une bijouterie aura toutes les chances de ne vous valoir qu’un an de prison avec sursis ou une peine aménageable. Mais flouer le Trésor public vous causerait des ennuis pour plusieurs années. Le père putatif rémunéré doit (évidemment) encaisser l’ensemble de ses rémunérations en liquide et les envoyer au Sénégal pour y investir par exemple dans l’immobilier à Dakar. La deuxième précaution indispensable est de ne garder aucune trace écrite ou physique de cette activité. Un des champions nationaux, le Français d’origine sénégalaise ayant récemment reconnu 55 paternités d’enfants nés de mères camerounaises s’est fait interpeler à cause de preuves écrites retrouvées à son domicile. Si le risque judiciaire est nul (il a été immédiatement libéré et mis sous contrôle judiciaire), une telle imprudence a définitivement mis en péril son métier. Les 55 paternités reconnues ne lui auraient rapporté qu’environ 15.000€. Et même si l’on ajoute sa petite commission sur les prestations sociales ainsi générées (son pourcentage sur le million d’euro annuel versé par la CAF), on peut considérer que c’est un gagne-petit. La troisième précaution est de ne pas reconnaître plus d’une cinquantaine d’enfants. Ce chiffre semble en effet être le seuil au dessus duquel les inspecteurs de la CAF sortent de la léthargie. Ce seuil étant finalement assez bas, il est important de négocier AU MIEUX chaque reconnaissance de paternité qui ne devrait EN AUCUN CAS être acceptée en dessous de 2000€. D’autre part, chaque reconnaissance de paternité devrait s’accompagner d’un poucentage défini à l’avance sur les prestations sociales à venir. Il faut bien comprendre que le risque de divulgation par la mère de l’enfant reconnu est quasi nul du fait que le risque principal (si on peut appeler ça un « risque »…) est pour la mère et son enfant et non pour le père putatif. La dernière précaution serait (et nous parlons au conditionnel !) de préférer des reconnaissances de paternité auprès de mères de nationalité sénégalaise. Cela attirerait en effet moins l’attention (en plus d’être un acte de patriotisme sénégalais). Aujourd’hui, entre 250 et 500 Sénégalais exerceraient cette profession en France et ce nombre est croissant. Le « capital » épuisable de la cinquantaine de paternités reconnues peut générer au total 200.000€ (commissions sur les prestations sociales comprises). Ca n’est donc pas négligeable puisque cela peut correspondre à un très bon investissement immobilier locatif dans la banlieue dakaroise. Il faut savoir pour finir qu’il est possible de reconnaître un enfant jusqu’à sa majorité (jusqu’à ce qu’il ait 18 ans). Le risque judiciaire est quasiment nul. D’une part il est toujours possible de plaider (s’il y avait un contrôle ADN) que vous pensiez en toute bonne foi avoir vous-même fécondé l’ovule à l’origine de l’enfant. D’autre part, aucune peine de prison effective n’a jamais été exécutée pour ce type d’infraction. Le risque est donc très limité. Les femmes et les couples souhaitant voir leur enfant né ou à naître accéder immédiatement à la nationalité française et obtenir de fait un titre de séjour et des prestations sociales en France peuvent envisager d’avoir recours à ce pack. senegalaisement
Posted on: Fri, 14 Jun 2013 17:25:56 +0000

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