Commentaire : Le FDRC vous propose la rediffusion de son article - TopicsExpress



          

Commentaire : Le FDRC vous propose la rediffusion de son article sur les élections de 2015, article publié le 8 Mai 2013 dans Abidjandirect.net, Ivoirenewsinfo.net et les réseaux sociaux pour sa pertinence. A la fin de l’article, le FDRC vous proposera ses résolutions pour des élections apaisées en 2015. Bonne lecture ! Présidentielles de 2015 : Le FPI doit-il y participer ? Faut-il y aller et comment ? Depuis le 21 avril 2013, jour des élections municipales et régionales en Côte D’Ivoire, élections qui se sont soldées par des actes de violence, contestations et mort d’hommes, la Côte D’Ivoire a véritablement basculé dans le monopartisme et la médiocrité. Ces élections ont aussi confirmé l’impopularité du Chef d’état, du groupement politique le RHDP et la montée vertigineuse des indépendants. Aussi, ces élections ont traduit dans les faits la déception des militants RDR, désillusionnés par les promesses non tenues de leur mentor. Dans l’hebdomadaire Jeune Afrique du 27 Avril 2013, le Chef d’état avouait son impuissance à gérer le pays et à créer de meilleures conditions de vie pour les ivoiriens. Cependant, il a annoncé son intention de briguer un autre mandat en 2015. En attendant, la situation socio-politique va de mal en pis. Aucune « solution » en vue pour les ivoiriens. Seulement de la manipulation et des propagandes servies à longueur de journée. Tous les clignotants sont au rouge et notre économie est sous perfusion. Cependant, Christine Lagarde (DG du FMI) trouve le temps pour apporter un soutien de taille au Chef d’état, en difficulté, politiquement et économiquement. Un soutien françafricain pour sauver les meubles. Le Chef d’état M. Ouattara est le dernier pion à y adhérer. Les élections de 2015 s’avèrent difficiles pour le Chef d’état M. Ouattara. La raison est que sa nationalité est toujours douteuse et ce problème identitaire n’a jamais connu un dénouement heureux. On se rappelle encore que le Président Gbagbo avait fait usage, de façon généreuse, de l’article 48 de la constitution de juillet 2000 afin de faire de MM. Ouattara et Bédié, des candidats exceptionnels. L’un était frappé par l’article 35 pour nationalité douteuse (M. Ouattara) et l’autre (M. Bédié) pour avoir dépassé l’âge maximum requis pour être candidat aux présidentielles. En clair, les deux hommes d’état du groupement RHDP ne satisfont pas les conditions d’éligibilité selon l’article 35. Cependant, depuis le 11 avril 2011, le RHDP est au pouvoir. Le Chef d’état M. Ouattara détient sans prétention aucune, les trois pouvoirs à savoir l’exécutif, le législatif et le judiciaire. Il a récemment forcé les députés à lui céder le pouvoir législatif pour dit-il, régler des problèmes économiques. La réalité est que le Chef d’état souhaite à lui seul, prendre des décisions pour amender les lois sur le foncier, loi No 98-750 du 23 décembre 1998 et la loi No 61-415 du 14 décembre 1961 portant sur le code de la nationalité modifiée par la loi No 72-852 du 21 décembre 1972. Cela lui permettra de naturaliser par milliers des ressortissants de la sous–région sous prétextes d’apatridie et aussi afin de leur permettre de conserver les terres annexées, en leur délivrant des titres fonciers. Ces nouveaux naturalisés seront le bétail électoral de 2015 en anticipation d’une déchirure ou effondrement du RHDP. L’aspect non négligeable de la posture du Chef d’état, est la main mise sur la CEI, entièrement à sa cause et aussi sur le Conseil Constitutionnel. En d’autres termes, il maitrise l’appareil électoral. Il pourra à souhait tripatouiller la constitution avec les ordonnances pour se faire éligible et aussi éliminer ses opposants. La constitution ivoirienne n’est pas assez rigide comme celle des Etats Unis d’Amérique. Elle est flexible et elle peut être amendée à souhait soit par referendum ou soit par les parlementaires ou au cas échéant par ordonnances. C’est cela le danger que le FDRC avait détecté en son temps en critiquant ouvertement le projet de loi du 8 avril 2013 portant sur les ordonnances. C’est justement parce que le Chef d’état est en situation confortable malgré son échec à redresser l’économie et à réconcilier les ivoiriens, qu’il a annoncé son intention de briguer un autre mandat en 2015. En clair, il sera encore au pouvoir car, il est l’organisateur en chef des élections de 2015. Après lecture de ce qui précède, l’on est tenté de savoir pourquoi certains barons du FPI lorgnent les élections de 2015. Les revendications faites et proposées au chef d’état n’ont jamais été satisfaites. Les prisonniers politiques sont toujours en prison. Les exilés sont toujours traqués ou exfiltrés manu militari. La CEI est aux mains du RHDP et elle n’est pas prête à faire sa mue de sitôt. Le Conseil Constitutionnel est aux mains d’un proche et allié du Chef d’état, en la personne de M. Francis Wodié. C’est d’ailleurs à cause de ces anomalies que le FPI avait refusé de participer aux élections législatives du 11 décembre 2011 et récemment aux municipales et régionales du 21 avril 2013. Les conditions ne changeront pas non plus en 2015 afin de favoriser le FPI. L’intention du Chef d’état est d’écarter le FPI de la course à tout prix. Il a réussi à le faire à deux reprises et il ne s’arrêtera pas en si bon chemin. Il souhaite passer hauts les mains en 2015, sans aucune contestation afin de prouver « sa popularité » et de justifier « sa victoire » de novembre 2010. Le FDRC est très inquiet pour les échéances électorales de 2015. La démocratie et l’état de droit ont pris la poudre d’escampette dès l’explosion des bombes françaises. Le FPI doit en tirer les leçons et mettre en place une autre stratégie afin de forcer le jeu démocratique. Pour l’instant, le FPI reste muet et inactif, tout en espérant que le Chef d’état retrouve un moment de sagesse et/ou de lucidité. Ceci ne viendra jamais de lui. Il faut l’avouer que cet homme est aveugle car il ne voit pas d’opposition en Côte D’Ivoire. Il est aussi sourd car il n’entend pas nos cris incessants. Il est alors impossible de discuter ou de négocier quoi que ce soit avec lui. Une stratégie nouvelle et ambitieuse s’impose afin de sauver le pays de la déchéance ou du marasme démocratique. Le FPI doit avoir pour mission de s’imposer comme le parti le plus démocratique, en posant des actes dans ce sens. Le FPI doit forcer les choses par une série d’actions d’envergure tant au niveau national qu’international. Si cela n’est pas fait dès maintenant, le parti du Président Gbagbo sera encore dans l’opposition pour les 5 années à venir et au-delà. Fait à Londres le 7 Mai 2013. ===================== Nouvel article===================Nouvel article=============== Suite à l’article du 7 Mai 2013, nous souhaiterions interpeller à nouveau les barons et la direction du parti FPI, surtout son Président M. Pascal Affi N’Guessan. Comme ce fut amplement expliqué dans l’article ci-haut, les conditions d’élections apaisées, ouvertes à tous et démocratiques ne sont toujours pas réunies ou satisfaites. Le Président Affi N’Guessan fait des tournées de mobilisation d’envergure afin de galvaniser les bases et leur informer des intentions du FPI de briguer ou participer aux échéances électorales de 2015. Le propre d’un parti, c’est d’aller à la conquête du pouvoir et l’exercer. Sur ce point, le FPI n’a pas failli à la règle. Cependant, les élections se préparent deux ans en amont et non dans l’année électorale, en aval. Le FPI nous donne l’impression que le camp ou clan Ouattara souhaite la participation du parti aux élections de 2015. Cette assurance est fausse et pour causes : Le FPI fut écarté des élections de Décembre 2011 et d’Avril 2013, c’est-à-dire les législatives et les municipales/Conseil régional. Cela fut fait exprès en maintenant les prisonniers politiques et militaires en prison afin de détourner l’attention du FPI. Ils étaient sûrs que le FPI poserait des préalables quant à la libération de ses prisonniers politiques et leaders. Comme il fallait s’y attendre, ce fut le cas. Encore là, le RDR a réussi par un coup de bâton magique à écarter son adversaire le plus redoutable. Le FPI va-t-il encore se laisser distraire en 2015 car des centaines des leurs sont encore illégalement et arbitrairement détenus. Iront-il marchander leur liberté pour une quelconque participation aux élections de 2015 ? Est-ce cela le sens de la lutte ? Poser des conditions avant une quelconque participation aux élections ? Il est clair que le FPI ne souhaite pas apporter une quelconque légitimité au pouvoir RDR. Cependant, participer aux élections de 2015 ne serait –il pas exactement le faire ? Auraient-ils fait libérer leurs camarades et garantir les conditions d’une élection apaisée ? Auraient-ils déjà oublié les élections de octobre/novembre 2010 et ses corolaires ? Souhaitent-ils un remake pour 2015 ? Quelle est la stratégie en place afin d’éviter un bain de sang inutile ? Le Chef d’état ivoirien a démontré et étalé clairement ses lacunes en matière de démocratie ou jeu démocratique. Il ne respecte pas la constitution du pays dont il clame ou prétend être originaire et depuis le 11 avril dont il est le garant. Cet homme d’état ne respecte que la Constitution et les lois du pays lorsqu’elles uniquement arrangent lui et son entourage. Il y a une mauvaise et malicieuse appréciation des lois du pays et cela va uniquement dans le sens des vainqueurs d’hier. Cela s’appelle la justice des vainqueurs. La justice des vainqueurs a ses propres corolaires. Ces corolaires sont l’arbitraire et le favoritisme. Dans le cas d’espèce, la CEI et le Conseil Constitutionnel seront bien entendu, du côté du pouvoir et favoriseront la victoire du Chef d’état. Le Chef d’état a déjà annoncé les couleurs en s’autoproclamant candidat à sa propre succession avant même la tenue du congrès de son parti. Il compte se maintenir au pouvoir vaille que vaille. Le PDCI-RDA de M. Henri Konan Bédié compte faire de lui, un candidat unique pour le RHDP en 2015. Selon leurs calculs politiciens, avec les chiffres obtenus en 2010, ils sont sûrs de conserver le pouvoir pour encore 5 ans et même au-delà. Le FPI, un parti politique essentiellement composé d’intellectuels et de professeurs d’université se plait dans une position qui ne dit pas son nom. Tantôt le parti parle des élections de 2015 mais il refuse d’aborder le sujet brulant des conditions d’éligibilité et autres avant les échéances de 2015. Est-ce une stratégie qui échapperait à nous autres, personnes n’ayant pas droit aux secrets du parti. Il est primordial d’interpeller nos leaders politiques, soucieux que nous sommes, d’éviter un remake de 2010 avec son cortège tragique. Le FPI avait négligé par le passé son pouvoir et s’est laissé distraire par les propos de charlatan du Premier Ministre M. Soro Guillaume et des sondages très flatteurs des occidentaux, afin de le pousser à participer aux élections d’octobre/novembre 2010. Très sûrs de gagner les élections au premier tour, ils y sont allés aveuglement au piège tendu par les françafricains. La suite, nous la connaissons. Aujourd’hui, les françafricains ont leur pion au pouvoir même si ce dernier ne fait pas leur affaire. Faut-il capitaliser sur l’échec de M. Ouattara ou bien trouver des voies et moyens pour s’assurer d’une victoire sans effusion de sang ou de contestation ? Le FPI a-t-il mis de côté toute velléité d’alliance avec le PDCI-RDA et préféré aller tout seul aux élections ? Le FPI a-t-il déjà oublié que le Président Gbagbo avait fait une alliance avec d’autres partis et créé la Majorité Présidentielle ? Les militants et sympathisants iront –ils aux élections en tant que LMP, FPI ou un front républicain bis (FPI + PDCI-RDA et autres partis de gauche) ? Révisera-t-il le listing électoral de 2010 afin de le réactualiser avant la tenue des élections ? Est-ce que les élections seront-elles apaisées et sécurisées par les forces régaliennes ivoiriennes, l’ONUCI et l’UA ? Les autorités ivoiriennes encaserneront t-elles les FRCI et supplétifs Dozo avant la tenue des élections de 2015, pour plus de clarté et pour des élections apaisées ? C’est cela la lourde responsabilité du Président M. Affi N’Guessan. Le Président Affi N’Guessan doit s’assurer d’une victoire éclatante en 2015 ne créant pas de contestation ou effusion de sang ou de guerre civile. Il doit travailler d’arrache-pied à nous convaincre, l’électorat naturel et historique mais aussi ceux qui hier ont préféré voter pour le Chef d’état. Le Président Affi N’Guessan se doit d’être un rassembleur, à l’image de son mentor, le Président Gbagbo. Le FPI regorge de cadres de tous les horizons régionaux ou culturels ou même religieux. Il fut le seul parti politique en 2010 couvrant presque toute l’étendue du territoire. C’est cela que les ivoiriens attendent du Président Affi N’Guessan, pour son premier test. Mais avant, il doit prendre le taureau par les cornes et lui imposer un calendrier clair pour les reformes électorales. Si cela est ignoré, toute cette mobilisation à l’intérieur du pays comme dans la diaspora sera vouée à l’échec. L’échec ne doit pas être une option pour le parti, en tout cas pas pour 2015 et au-delà. Le Président Affi N’Guessan doit mettre en place une véritable machine ou rouleau compresseur afin de reconquérir le pouvoir perdu en 2011 et le conserver aussi longtemps que possible. Les ivoiriens ont déjà essayé le PDCI-RDA et ce pendant 40 ans. Ce fut un échec lamentable. Ils viennent d’essayer le RDR et ce fut encore pitoyablement un échec. La seule alternative crédible est le FPI ou la Majorité Présidentielle. C’est en cela que le FPI n’a pas droit à l’erreur. Si cela arrivait, se serait fatale pour le parti. A bon entendeur, salut ! Le Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises (FDRC) : LE FRONT POPULAIRE IVOIRIEN (FPI). • Exhorte le FPI et partis associés à réclamer l’état de droit dans les plus brefs délais. • Exhorte l’opposition à changer de stratégie(s) pour la reconquête du pouvoir. • Exhorte l’opposition à convoquer une réunion tripartite avec l’Union Africaine et le gouvernement ivoirien afin de créer des conditions propices pour des élections ouvertes, libres, justes, démocratiques et apaisées. • Exhorte le FPI et les autres partis politiques à boycotter les élections de 2015 si les conditions ou reformes électorales ne sont pas satisfaites. • Exhorte le FPI et les autres partis politiques à refuser de participer aux élections de 2015 si le programme DDR n’est pas satisfait. Exiger le Désarmement, Démobilisation et Réinsertion des forces combattantes (FRCI et supplétif Dozo), n’ayant pas légalement droit au port d’armes. Encaserner ces forces trois mois avant les élections et confier la sécurisation des élections aux FDS, l’ONUCI et les forces de l’UNION AFRICAINE. • Exhorte le FPI à exiger la dissolution de la CEI et à revoir sa composition de façon équilibrée et non sur la base des accords de Marcoussis de 2003, devenus caduques. • Exhorte à revoir et réviser le listing électoral de 2010 (4 millions 590 219 votants) et le réactualiser en tenant compte des milliers de décès, des milliers d’exilés et les jeunes ayant atteint l’âge mature pour le vote. S’assurer que les nouveaux naturalisés de la loi sur l’Apatridie du 23 Août 2013, ne figurent pas sur le listing électoral et ce en conformité avec le code de la nationalité et la période de grâce ou d’observation de 5 ans requis. Celles qui seront ajoutées sur le listing électoral sont uniquement les personnes naturalisées par déclaration. Cependant, le gouvernement garde par devers lui les chiffres officiels. Par conséquent, pour plus de clarté et une élection apaisée, ces naturalisés ne doivent pas non plus figurer sur le listing électoral de 2015. LE CHEF D’ETAT IVOIRIEN, M. OUATTARA. • Vous interpelle à annuler toutes les poursuites judiciaires contre les personnes jouissant de la liberté provisoire dans un souci d’apaisement, de pardon et de réconciliation. • Vous interpelle de libérer dans les plus brefs délais tous les prisonniers politiques et militaires en attente d’un procès ou déjà jugés et qui purgent une certaine peine. • Vous interpelle à annuler purement et simplement les procédures judiciaires en cours contre l’ex-Première Dame Simonne Ehivet Gbagbo afin de contenter sa famille biologique et politique, les populations et faciliter la réconciliation. • Vous interpelle à libérer dans les plus brefs délais le Ministre Charles Blé Goudé afin qu’il puisse prendre part à la tête de son mouvement politique le Cojep, à la décrispation du climat politique et à la réconciliation. • Vous conseille de sommer l’Assemblée Nationale afin que les députés puissent tabler sur les projets de loi aux fins de la réconciliation, le retour des exilés, la réhabilitation et dédommagement des anciens ministres du gouvernement précédent et leurs résidences, le dégel de leurs comptes bancaires et la restitution dans la mesure du possible des résidences et véhicules des leaders politiques et militants LMP. • Vous conseille de dissoudre le PNCS qui dans les faits n’inspire pas du tout confiance. Confier la gestion de la réconciliation à la société civile et au clergé pour plus de confiance, d’intégrité et d’indépendance politique ou partisane. • Vous encourage à engager des discussions de haut niveau avec l’opposition avec la participation de l’UA comme intermédiaire ou médiateur pour la bonne gestion du pouvoir d’état, la réconciliation, la révision des textes et composition de la CEI, les conditions d’éligibilité, un contrat politique entre partis en cas de victoire ou défaite d’un groupe politique et la supervision des élections de 2015 par des émissaires de l’UA. • Vous interpelle à restaurer dans les plus brefs délais l’état de droit et la démocratie. • Vous interpelle à réhabiliter les forces régaliennes telles la Police et la Gendarmerie. • Vous interpelle à mettre sur pied un nouveau programme DDR, à démobiliser les supplétifs Dozo et les renvoyer dans leur zone géographique, à cantonner ou à encaserner les FRCI occupant illégalement les villes, villages et hameaux et finalement à proposer aux députés un projet de loi sur la refonte de l’armée, une véritable armée républicaine selon l’esprit et la lettre de l’Accord Politique de Ouagadougou. • Vous interpelle à faire des droits de l’homme la prunelle de vos yeux. • Vous conseille de démissionner en tant que Président de votre parti en conformité avec l’article 54 de la constitution de juillet 2000 et attendre que le congrès du RDR vous confirme comme le candidat du parti aux élections de 2015. LES COMBATTANTS DE LA LIBERTE ET DEMOCRATES. • Exhorte les démocrates ivoiriens à se réveiller, à braver la peur et réclamer dans la discipline leurs droits constitutionnels. • Exhorte les démocrates ivoiriens et les populations à faire un bilan exhaustif du gouvernement actuel et prendre les décisions qui s’imposent. • Interpelle les démocrates afin d’accentuer des pressions énormes sur le gouvernement ivoirien et faciliter la libération pure et simple de tous les prisonniers politiques et militaires. • Interpelle les démocrates à travers le monde afin qu’ils se penchent sur les conditions médicales des prisonniers politiques et militaires sans oublier les bénéficiaires de la liberté provisoire. Exhorte les démocrates à travers le monde à lever des fonds afin de faciliter des visites médicales pour les prisonniers politiques, militaires et les bénéficiaires de la liberté provisoire, très souvent sans ressources financières due en grande partie au gel des avoirs. LE PRESIDENT DU PDCI-RDA ET MILITANTS/SYMPATHISANTS. • Exhorte les militants du PDCI-RDA à se désolidariser du groupement politique le RHDP, source de la misère et la paupérisation des populations. • Exhorte le Président du PDCI-RDA, M. Bédié à prendre des décisions courageuses pour défendre l’intérêt supérieur des ivoiriens qui souffrent le martyr sous M. Ouattara. • Exhorte le Président Bédié à travailler d’arrache-pied avec l’opposition pour la restauration de l’état de droit, la démocratie, la réconciliation et la paix en Côte D’Ivoire. • Veillera à résoudre par la négociation, dialogue, explications et dénonciation les crises et conflits nés du déficit démocratique en Côte D’Ivoire. • Réitère son attachement au processus de démocratisation et à la résolution des crises en Afrique et en Côte D’Ivoire en particulier. • Rappelle à tous qu’il est une cellule PANAFRICAINE, intellectuelle, scientifique et politique créée le 22 mars 2013 à Londres, Royaume Uni. Fait à Londres le 19 Septembre 2013. Nick De Bessou Juriste & Anthropologue Politique Président du FDRC. Forum pour la Démocratie et la Résolution des Crises (FDRC). nickdebessou.over-blog
Posted on: Mon, 23 Sep 2013 19:00:17 +0000

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