Irene Marques Ex Sabino este livro é uma história veridica, - TopicsExpress



          

Irene Marques Ex Sabino este livro é uma história veridica, contada na primeira pessoa e familiares, quem neste momento o desejar adquirir, terá de entrar em contacto comigo, pois a editora que o lançou foi mais uma das vitimas da crise, abriu insolvência...........Ce livre est une histoire vraie, racontée dans la première personne et de la famille, désireux dacheter, vous devez communiquer avec moi, parce que la maison dédition qui a publié a été une des victimes de la crise, ouverte sur linsolvabilité..... PORTUGAL : HÔPITAL DU MONTIJO Ce qui sest passé en octobre 2005 dans cet hôpital démontre la triste réalité des contaminations bactériennes en milieu hospitalier, appelées aussi maladies nosocomiales, et dont nous pouvons tous être victimes un jour, avec de lourdes conséquences. Ce BLOG a pour but de nous sensibiliser face à ce danger et aux nombreuses victimes qui en souffrent dans le monde. Découvrez donc avec moi le cas dIRENE SABINO. Voici les faits : Le 31 octobre 2005, Irene SABINO , jeune dame de 34 ans, se présente aux urgences de lhôpital du MONTIJO en raison de fortes douleurs dans la région abdominale. Le personnel de service se contente de lui faire des analyses de sang sans même ausculter la région abdominale, et cela malgré linsistance de la patiente. Le médecin suggère quil sagit peut-être dune infection aux ovaires et quelle pourrait se rendre chez un gynécologue. Irene rentre alors chez elle. Mais, le lendemain, son état saggrave sérieusement et elle ne peut appeler le médecin en ce jour férié du 1er novembre. Le jour suivant, son médecin traitant lui fait directement une lettre avec la mention URGENT, à remettre de suite au service des urgences de lhôpital. Elle y arrive à 11h30, accablée de douleurs. Cependant, on ne la prendre en charge quà 15h30 ! De nouvelles analyses sont effectuées, avec peine car linfirmier narrive pas à prélever le sang facilement. Cela néveille pas son inquiétude et il ne se pose aucune question. A 20h, on la met sous sérum et un chirurgien vient alors linformer quelle doit être hospitalisée. Mais, malgré linsistance dIrene, ce médecin refuse de linformer sur la nature du problème. Déçue par ce manque de coopération, elle signe une décharge et exige de quitter lhôpital. Mais elle est hospitalisée contre son gré car un des médecins du service nautorise pas sa sortie... A 23h, on la transfère à lhôpital de Notre Dame du Chapelet pour y prartiquer une écographie et on la reconduit vers lhôpital du MONTIJO. Entretemps, son état sest aggravé dheure en heure. Irene raconte : Dès que je suis revenue à lhôpital, ils mont reliée à diverses machines, et surveillaient régulièrement les résultats jusquà 2h du matin. Apparemment, la situation était très préoccupante. Jappelle alors une des infirmières pour lui dire que je ne sens plus du tout mes pieds, comme sils étaient gelés. Aucune réaction immédiate ! Vers 4h du matin, je me rends compte que le personnel discute dans lintention de me faire treansférer dans un autre hôpital. Effectivement, je suis alors transférée à lhôpital SAN JOSE de Lisbonne où lon prévoit une chirurgie abdominale pour le lendemain 3 novembre à 14h, car une inflammation pelvienne a été diagnostiquée. De plus, le choc sceptique était déjà à un stade avancé et diffus dans une grande partie de lorganisme. Je me rappelle mêtre plainte de douleurs attroces juste avant dêtre endormie pour lintervention... Et je me suis réveillée 70 jours plus tard, emputée des membres supérieurs et inférieurs. Que sétait-il passé pour que je me retrouve ainsi sans bras ni jambes? En fait, le choc sceptique avait provoqué un purpura, infection qui provoque la mort des extrémités du corps. Pendant les 70 jours du coma dIrene, son mari Carlos se rappelle quon ne lui à nullement garanti quIrene allait survivre. Il raconte : Les médecins mont donné peu despoir par rapport à la survie de ma femme. Ils ont dit avoir tout fait pour arrêter linfection. Malheureusement, le 10 décembre, ils ont dû emputer les jambes, et 10 jours plus tard, les bras. Linfection dans le reste du corps na commencé à régresser quà la fin du mois de décembre. Affronter cette nouvelle réalité fut très pénible pour Irene, âgée de 34 ans seulement. Elle témoigne : Lorsque je me suis réveillée, jai remarqué directement que je navais plus de bras. Cependant, il ny a pas eu cette perception par rapport aux membres inférieurs : cest étrange mais je sentais mes jambes. Une période a suivi où IRENE sest efforcée de lutter contre la douleur physique et surtout morale. Carlos raconte : En juillet 2006, je lai enmenée dans des cabinets de consultation visant une rééducation. Cependant, ce qui ma coûté le plus est de prendre conscience que tout cela ne lui permettrait , malgré tout, plus jamais de faire les choses comme avant. Aujourdhui, 20 mois ont passé depuis cette période tragique et IRENE prend conscience quelle sera extrêmement limitée dans ses activités pour le reste de sa vie. Mais elle se bat courageusement pour retrouver un maximum dautonomie. Elle confie : Javais auparavant une vie parfaitement normale : je travaillais, jélevais notre fils et jentretenais la maison. Maintenant, rien nest plus pareil. Jarrive à cuisiner un peu mais je dois absolument essayer de reprendre mon emploi. IRENE découvre la lettre envoyée par son employeur. Ayant pris de ses nouvelles pendant toute cette période, il lui a garanti que son grade demployée serait sauvegardé et la vraiment stimulée. Elle conclut : Je suis à présent secrétaire des ressources humaines, ce qui mincite à faire leffort de me rendre en chaise roulante à mon travail chaque matin et à apprécier le fait quau moins, je nai pas été substituée. Mon patron a prévu directement dadapter les locaux jusquau premier étage et mon bureau à mon nouvel handicap. LE 16 JUIN 2007, IRENE ACCUSE LHÔPITAL DU MONTIJO DIMPRUDENCE Heureusement, le bureau est relativement près de ma maison et peut à nouveau macceuillir, dit elle. Cependanrt, lintégrarion dIRENE a son coût. Cela va au-delà de léquipement le plus insignifiant dans ce type de situation, tel quune chaise roulante électrique. La famille dIrene a dû investir plus ou moins 20.000 Euros en faisant un emprunt, pour créer une plate-forme en guise de rampe pour accéder à son appartement et pour installer des prises électriques à une hauteur adaptée. IRENE na pas admis la façon dont lhôpital du MONTIJO avait réagi face à lurgence de son cas et a déjà présenté ce cas au département de la santé, également à lordre des médecins. Elle a ensuite déposé une plainte au service public des poursuites judiciaires. Irene explique : le rapport établi par lhôpital SAN JOSE précise bien que losque jai été admise dans leur service, limagerie clinique démontrait un choc sceptique avec un stade dévolution de 3 jours. Il en a donc déduit avec certitude que lorsque jai quitté lhôpital du MONTIJO, jétais déjà en choc sceptique!!! IRENE va plus loin et accuse lhôpital du MONTIJO davoir refusé de lui fournir les rapports médicaux la concernant ainsi que le détail des soins lui ayant été prodigués. Jai la connaissance que lhjôpital du MONTIJO a procédé différemment avec moi par rapport aux autres patients qui réclament leurs rapports médicaux. Ils ont exigé que je nomme un médecin en qui javais confiance, à qui ils pourraient envoyer les rapports médicaux sous le secret professionnel , ce qui fut fait. Malheureusement, je continue à ne pas y avoir accès. Ce qui me frustre le plus est de savoir que le fait quils aient manqué à leur devoir médical a entraîné labsence de diagnostic sérieux. Cet énorme problème a entraîné un enchaînement en catastrophe puisque sils avaient placé directement le sérum et mavaient administré un antibiotique puissant, rien de tout cela ne serait arrivé. Jaurais encore mes bras et mes jambes!, conclut IRENE. Lhôpital du MONTIJO, contacté par la M.M.E., a garanti quil allait clarifier le cas. Néanmoins, il na jusquà présent, il pas trouvé le temps de sen occuper!!! youtu.be/X4rJPkn-9kw
Posted on: Sat, 16 Nov 2013 13:01:47 +0000

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