Le département de John Kerry accuse également les autorités algériennes de continuer « à confondre la traite humaine et l’immigration clandestine. De ce fait, les victimes de ce trafic sont généralement considérées comme telles et sont sujettes à arrestation, détention et déportation. » Pis, le département d’Etat américain estime qu’il n’existe pas de protocole de prise en charge afin de prodiguer l’assistance et la protection appropriées aux victimes. Citant des ONG, le rapport en question souligne encore que « si une opération de prostitution devient trop « publique », la police arrête les femmes impliquées et les déportent dans les zone frontalières du sud, sans prendre la peine d’essayer d’identifier, parmi ces personnes, les victimes potentielles de traite humaine. »
Posted on: Sat, 22 Jun 2013 12:45:04 +0000
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