« Les principaux acteurs de la transition centrafricaine défient - TopicsExpress



          

« Les principaux acteurs de la transition centrafricaine défient l’Union Européenne par la réélection de Ferdinand Nguéndet à la présidence du CNT » dixit un représentant de l’UE Après la dissolution de la Constitution du 24 décembre 2004 et ses composantes, le président de la transition, Michel Djotodia Am Nondroko a pris le Décret pour mettre en place le CNT dont les conseillers nationaux à l’unanimité ont porté leur choix sur Alexandre Ferdinand Nguéndet. Au lieu e d’accorder les violons pour conduire à bon port la transition et de conduire le pays vers le retour à, l’ordre constitutionnel, gage de la paix durable et de la sécurité, la présidence du CNT et la primature sont rentrés dans une dispute d’ordre protocolaire, entrainant ainsi le laxisme dans cette fragile transition. Ce litige a pu trouver une solution idoine à cause des tractations enclenchées par le médiateur, le président Sassou Nguésso. Au-delà cette mésentente, il convient de souligner la composition du CNT est entachée d’une irrégularité car, la majorité des conseillers ont été nommés par Décret et la dernière vague par un simple arrêté du PM. Après la mise en place de bureau, les partenaires traditionnels, notamment l’Union Européenne et la France avaient décrié le fait que la présidence du CNT soit assurée par l’un des plus proches de Djotodia, en l’occurrence Alexandre Nguéndet. Pour ce faire, la dissolution du bureau était au menu des débats entre les partenaires et amis de la République Centrafricaine. Ce renouvellement du bureau était conditionné à l’apport financier des bailleurs et des partenaires traditionnels. Malheureusement, après la dissolution de ce bureau, Alexandre Ferdinand Nguéndet est réélu avec sa suite contrairement au souhait et demande de l’Union Européenne (UE), principal partenaire financier de la RCA. Cette réélection remonte la tension et fait couler beaucoup d’encre avec la susceptibilité de faire croupir la République Centrafricaine sous le poids de la misère ou de l’extrême pauvreté. Cette prise de position de Michel Djotodia de soutenir de façon invisible la candidature de Nguéndet à la tête du CNT, provoque le déclenchement d’un bras de fer entre l’Union Européenne et son partenaire qu’est le Centrafrique. Aujourd’hui, les Etats membres de l’UE décident de sceller le sort de notre pays à cause de l’entêtement des deux principaux responsables de la Transition, notamment, Michel Djotodia et Alexandre Ferdinand Nguéndet. Selon l’un des Représentants de l’Union Européenne interrogé par la Radio France Internationale (RFI) « le chef de l’Etat de transition Michel Djotodia et Alexandre Nguéndet ont défié l’UE. Ils croient contourner la France. Mais, ce qu’il faut retenir, l’UE est composée de 28 pays, membres de cette union. Etant donné que l’UE avait souhaité le départ de l’ancien bureau du parlement de transition centrafricaine aux fins de permettre à la RCA de bénéficier d’une aide financière. Mais, ces responsables ont préféré mieux opter pour la politique de pourrissement et… ». Au regard de toutes ces déclarations, le Centrafrique est en train d’être oublié sur l’échiquier international à cause d’un groupuscule d’individus qui prônent toujours leurs intérêts. Au lieu que Ferdinand Alexandre Nguéndet en sa qualité de jeune leader tire sa révérence pour laisser la place à un autre centrafricain pour un avenir radieux, il préfère se maintenir à la présidence du CNT, hypothéquant l’avenir de tout un peuple. Le pays
Posted on: Tue, 20 Aug 2013 17:58:31 +0000

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