PROLOGUE - Je doute que se soit la bonne solution. - J’ai bien - TopicsExpress



          

PROLOGUE - Je doute que se soit la bonne solution. - J’ai bien peur que se soit la seule possible. Et je franchis le seuil de la porte se trouvant devant moi, la laissant seule, en appréhendant ce rendez-vous tant attendu qu’il m’avait donné il y a maintenant une semaine. Je ne savais pas ce qu’il voulait de moi, je ne voulais pas savoir, mais la curiosité m’avais poussée jusqu’ici, un quartier sombre au fond de ma ville natale. En rentrant dans cette pièce sombre et poussiéreuse, je ne vis rien d’autre que des meubles sales disposés un peu partout, c’était une sorte de débarrât contenant des vieux objets qui doivent être inutilisés depuis bien longtemps… Mais je ne vis personne. Pourtant, c’était bien l’adresse qu’il m’avait donné. Je fis un tour sur moi-même pour observer chaque recoin de cet endroit lugubre, quand j’aperçu une porte entrouverte donnant sur un long couloir. J’avais peur, j’étais presque tétanisée, mais je me dirigeai quand même vers cette porte, mais qu’est ce qui me prends ? Je suis d’ordinaire plutôt timide mais je ne sais vraiment pas pourquoi j’ai cet élan de courage. Je marchai donc dans le couloir, quand j’entendis des bruits insupportables provenant de la pièce se trouvant au fond du couloir. J’avançais toujours, sans me soucier du danger et de ce qui pourrait m’arriver à cause de ma détermination à savoir ce qu’il me voulait. Puis je me retrouvais, plantée devant cette porte, ne sachant que faire. Devrais-je prendre le risque pour satisfaire ma curiosité ou rentrer chez moi et rester prudente ? Puis je commençais à réaliser, j’étais chez un inconnu, qui voulait absolument me voir et j’entendais des cris provenant d’une salle ou il se trouvait surement et où j’allais peut-être finir mes jours… Je pris ma respiration j’ouvris la porte d’un coup, pour ne pas renoncer, mais à ce moment je le vis assis sur un fauteuil, face à la porte. Il me regardait comme s’il m’attendait. Effrayée par les cris, je fis un pas en arrière mais je ne voyais pas la personne qui les émettait. Il se leva d’un coup, courus vers moi et m’empoignas le bras et posa son autre main sur ma bouche, m’empêchant de crier, et il m’emmena dans le fond de la pièce ou il alluma une sorte de projecteur très puissant qui illuminas la partie cachée par l’obscurité de la pièce. Et je vis en fin cette personne, celle qui criais, et je compris surtout pourquoi. TU VEUX LIRE LA SUITE ? Alors rejoins : Parce que même au Maroc , nous existons ∞ - Directioner
Posted on: Sat, 09 Nov 2013 10:43:04 +0000

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