Suite au Sit-in organisé par notre Comité AEEM pour exprimer notre état d’âme au rapport avec la grève des enseignants, nous avons été profondément choqués et désagréablement surpris de l’agression des forces de l’ordre à notre égard. Dans un pays de droit comme le nôtre nous ne pouvons concevoir que des étudiants soient réprimés, pour avoir exprimé leur désarroi face à la menace d’une autre année blanche et pour avoir revendiquer leur droit le plus absolu, les études. C’est dans un sinistre désespoir que nous avons été victime d’une agression musclées, le mardi 9 juillet 2013, au sein de l’espace universitaire du point-G. Au cours de cette agression, nous avons reçu au sein du campus et du quartier du point-G dénombrable gaz lacrymogène. Le campus a été envahi par les forces de l’ordre qui ont défoncé tabassé les résidant de l’internat. Les biens des étudiants ont été volés. Les motos dans le parking ont été écrasées. A la suite des violents coups portés sur les étudiants. 37 blessures par balle réelle ont été enregistrée à l’hôpital, d’autre se sont débrouillé a rentrée à la maison. Ce qui nous semble sidérant, c’est que des forces de l’ordre ont ouvert le feu à balle réelle sur les étudiants, 3 blessures par balle réelle ont été enregistrées à l’hôpital, dont des cas grave. Selon la gravité, 1 étudiants était dans le coma, un étudiant blessé par balle réelle au niveau de sa poitrine qui a fait un pneumothorax dont la pris en charge a été effectuer par le Professeur Yéna à l’hôpital du Mali. Comme si cela ne suffisait pas, des dizaines d’étudiants ont été appréhendés de face dans leur domicile et incarcéré pour des raisons non avouées. Ou est la justice dans ce pays?
Posted on: Wed, 10 Jul 2013 20:17:46 +0000
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