Toujours prompts à accuser le pouvoir, qui les a tous faits, de - TopicsExpress



          

Toujours prompts à accuser le pouvoir, qui les a tous faits, de chercher absolument à instituer la fraude lors des processus électoraux que le pays a connus depuis 1990, il est curieux de constater le mutisme des salafistes devant la situation créée par l’article 52 (ancien article 48) du code électoral gabonais, qui consacre et légalise le transfert des électeurs, ces bœufs votants (sic), d’un point à un autre du pays. Cet article, en effet, consacre l’importance des liens économiques et/ou familiaux qui permettent à tout quidam qui le désire d’aller se faire enrôler dans le lieu de son choix, pourvu qu’il y entretienne quelques relation d’affaires ou de cœur. Invité il y a quelques jours de l’émission La Grande interview sur Gabon Télévision, Lambert Noël Matha, ci‐devant Directeur du projet Iboga (identité biométrique gabonaise) n’y était pas allé avec le dos de la cuillère en mettant tous les acteurs politiques de deux bords confondus, devant ce qui s’apparente à une conspiration contre le peuple: « J’ai assisté à toutes les concertations politiques organisées dans ce pays, mais je n’ai pas souvenance que quelqu’un se soit élevé contre cet article dans lequel, semble-t-il, il y a à boire et à manger.» Alors, JABO, avec ta longue bouche. Tu dis quoi maintenant que Lambert, un garçon, a parlé ?
Posted on: Fri, 06 Sep 2013 21:57:21 +0000

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