ACTE 1. Lionel Levesque, ayant très proche de moi des amis - TopicsExpress



          

ACTE 1. Lionel Levesque, ayant très proche de moi des amis intimes pied noir pour qui lAlgérie cétait leur nation, expatriés de France pour certains au seul motif quils étaient protestants, dautres pour lappel de la nation à y faire prospérer lAfrique du Nord. Le Général De Gaulle fut sur le plan international contraint à devoir lâcher lAlgérie , certes disons-le de façon plus que méprisable, tant pour les harkis, que les français de souche travaillant à la prospérité de cette nation depuis plus de 110 ans, dautres Algériens de cœur plus français que les français dont un très grand nombre en furent massacrés sur les quais avant de pouvoir embarquer abandonnant tous leurs biens, leurs morts et cimetières, maisons, commerces, usines et plantations en terre dAlgérie. Ceux qui survécurent aux massacre ou prirent la fuite un seul et bien maigre balluchon sous le bras, furent accueillis chez eux sur la terre de France la mère patrie notamment de leur nation Algérienne, aux sorties des bateaux à Marseille, comme de vulgaires renégats, sous les quolibets et injures, des français de souche se montrant particulièrement odieux envers eux!!! De nos jours encore, en seconde et troisième génération cette coupure, cette déchirure dans des violences inouïes perdure, mais aussi se transmettra de générations en générations dans la douleur pour très longtemps encore. LOAS partait depuis de très bons sentiments, cette guerre gagnée sur le terrain mais perdue sur la tapis vert, ne reprochons pas aux généraux leur rébellion dailleurs pratiquement, hors trois ou quatre, tous furent graciés par le Général De Gaulle. Cette partie de notre histoire, qui ne sapprend surtout pas à lécole, mérite pour mes lecteurs, pour mon ami Lionel Levesque et dautres sur Facebook, que je puisse en écrire le tragique de cette déchirure dun peuple de ses racines et de ses terres, en le faisant, le plus synthétiquement possible, par amitié à mon ami Christian Dathueyt 1500 hectares de vignes en Algérie, vivant en parfaite harmonie avec les enfants musulmans et les ouvriers travaillant sur les terres de ses ancêtres, je lui dois à lui mon ami de toujours, décrire en très peu de pages, pour que sa mémoire ne puisse en mourir sans aucun écrit, les heures les plus tragiques de sa vie, lui qui a rejoint en 2001 ses aïeux au paradis des braves, cétait depuis 1968 mon ami, un frère par nos complicités, arraché dune vie devenue apaisée par un crise cardiaque qui le terrassa en quelques secondes, 23 fort précisément. Lhistoire de lOAS se présentait alors comme la manifestation la plus radicale dune partie de larmée et de civils de conserver lAlgérie française, où vivaient un million dEuropéens et huit millions de Musulmans et qui avait alors le statut de département français, en sopposant par tous les moyens à la politique dautodétermination mise en place par le général De Gaulle à partir de la fin de lannée 1959. LOrganisation armée secrète (OAS), également appelée Organisation de larmée secrète, était une organisation française politico-militaire clandestine partisane avec comme mode daction le terrorisme à grande échelle, créée le 11 février 1961 après une rencontre à Madrid entre Jean-Jacques Susini et Pierre Lagaillarde. Le sigle OAS apparut sur les murs dAlger le 16 mars 1961, accompagné du slogan « LAlgérie est française et le restera ». Le nom OAS fait volontairement référence à l’Armée secrète de la Résistance. LOAS ne consiste pas en une unique organisation centralisée, mais est généralement divisée en trois branches, plus ou moins indépendantes entre elles, et parfois en rivalité : OAS Madrid, OAS Alger, et OAS Metro. Le général de Gaulle est arrivé au pouvoir en 1958 à la suite du coup détat du 13 mai 1958 et ses premières déclarations (« Je vous ai compris » le 4 juin 1958 à Alger et « Vive lAlgérie française » le 6 juin à Mostaganem) semblent porter les valeurs de lAlgérie française. Néanmoins, il ne manque pas dannoncer à plusieurs occasions (à Alger, Oran, Constantine, Bône) « quil ny a en Algérie que des Français à part entière avec les mêmes droits et les mêmes devoirs », signifiant de fait que le système colonial tel quil existait en Algérie ne pouvait plus être maintenu en létat, et, après Mostaganem, il ne prononcera plus jamais les mots d« Algérie française ». La mise en place du plan de Constantine (économique) en octobre 1958 et du plan Challe (militaire) en février 1959 indique la volonté du gouvernement de conserver une Algérie où la France joue un rôle actif et rassure provisoirement les Français dAlgérie. A plusieurs occasions au cours de lannée 1959, de Gaulle souligne le caractère propre de lAlgérie et que son avenir dépendra du vote de ses habitants, mais la plupart de ces déclarations ne suscitent guère de réactions. Cest le discours de du Général de Gaulle du 16 septembre 1959, proposant lautodétermination sur lavenir de lAlgérie qui suscite la surprise dans tous les milieux, et la stupéfaction dans la population européenne dAlgérie. Ce discours ouvrait à trois possibilités : la francisation (un seul pays réunissant la France et lAlgérie et dont tous les citoyens ont les mêmes droits), lautonomie (une fédération entre la France et lAlgérie), la sécession (conduisant à lindépendance). Pour la première fois, il ouvre la possibilité de lindépendance de lAlgérie. Le 15 octobre 1959, lAssemblée Nationale valide la politique dautodétermination par 441 pour et 23 contre. Mais pour ceux qui refusèrent cette politique, regroupant certains membres de la classe politique (Jacques Soustelle, Georges Bidault), ainsi quune partie de larmée et des Français dAlgérie, cest une trahison. Le premier fait marquant de la révolte de la population française dAlgérie contre ce discours est la semaine des barricades du 24 janvier au 1er février 1960, mais larmée ne bascula pas du côté des insurgés. Le 8 janvier 1961, le référendum sur lautodétermination en Algérie est approuvé par 75 % des votants. Pour les partisans de lAlgérie française, ce référendum annonce labandon de celle-ci. En février 1961, un groupe, exilé à Madrid à la fin de lannée 1960 pour échapper au procès de la Semaine des barricades, se forme autour du général Salan, de Pierre Lagaillarde et de Jean-Jacques Susini et crée lOAS. Le 22 avril 1961 se déroule le Putsch des généraux à Alger, suivi par environ deux cents officiers. Néanmoins, la plupart des officiers supérieurs adopte une attitude attentiste et la majorité de larmée reste loyale au pouvoir métropolitain, entraînant léchec du putsch en quelques jours. À la suite de cet échec, une bonne partie des insurgés déserte et rejoint la lutte clandestine dans les rangs de lOAS, ainsi que de nombreux civils. La cassure est totale avec de Gaulle et il sensuit une véritable guerre entre les membres de lOAS et lÉtat. De Gaulle utilisera contre lOAS aussi bien la police que des groupes illégaux (les barbouzes), mais laissera larmée en retrait car elle comptait alors dans ses rangs de nombreux sympathisants à la cause « Algérie française » dont beaucoup furent tentés de rejoindre lOrganisation. Elle ne sera utilisée contre lOAS quaprès la signature des accords dÉvian, au moment du siège de Bab El Oued, de lépisode de la fusillade de la rue dIsly et du maquis de lOuarsenis. Les attentats de lOAS viseront des personnalités politiques et administratives du gouvernement légal français, des intellectuels ou des organes de presse favorables à une négociation avec le FLN, en Algérie comme en métropole, ainsi que la population musulmane, soupçonnée de soutenir le FLN. Ses commandos prendront également pour cible les policiers, les enseignants, les fonctionnaires de ladministration fiscale, les commerçants musulmans. Les membres de lOAS sont eux-mêmes pourchassés sans répit par les forces gaullistes. LOAS sera largement soutenue par la population française dAlgérie, mais hélas ses trop nombreux attentats aveugles la feront rejeter par lopinion publique métropolitaine. Seule une partie des membres de lOAS fut connue, seuls ceux arrêtés ou identifiés, mais leur nombre était supérieur à ces seules listes. On estime que lOAS a compté environ 1 000 à 1 500 membres actifs, dont 500 dans lOuest algérien, 200 en métropole et une vingtaine en Espagne. Les civils représentaient environ 2/3 des effectifs, lautre tiers étant constitué de militaires, pour la plupart engagés, sous-officiers et officiers. Parmi les militaires, on trouve surtout des soldats délite comme des légionnaires ou des parachutistes, fort peu de marins. Létat desprit des militaires ayant rejoint le mouvement est résumé dans la déclaration du commandant Hélie Denoix de Saint Marc à son procès : Maintien de la souveraineté de la France, lutte contre le communisme, volonté que tous les morts ne laient pas été pour rien, respect de la promesse donnée aux populations indigènes ralliées à la France notamment aux supplétifs dits les harkis. Parmi les civils, on dénombra surtout des employés, cadres moyens, commerçants, artisans, peu de cadres supérieurs ou professions libérales. Lorganisation compte une minorité de femmes, surtout affectées au transport de courrier et de fonds. En ce qui concerne la sensibilité politique de ses membres, Guy Pervillé y distingue trois courants principaux : Un courant néo-fasciste inspiré par Jeune Nation, un courant traditionaliste proche du mouvement poujadiste ou de lhebdomadaire Rivarol, mais parfois aussi du traditionalisme catholique, et enfin un courant nationaliste. Il serait cependant réducteur de considérer lOAS simplement comme une organisation dextrême droite. Parmi ces membres dun certain âge, on comptait de nombreux anciens résistants (parmi les plus connus, on peut citer Georges Bidault, Jacques Soustelle, Raoul Salan, Pierre Chateau-Jobert, Yves Godard, Pierre Sergent, Jacques Achard...). On y trouve également des communistes du quartier populaire de Bab-El-Oued. Mais la provenance diverse de ses membres limitait laction de lOAS au seul maintien de lAlgérie Française et au rejet de la politique du général De Gaulle, sans quun programme politique puisse définir lavenir de lAlgérie, cest ce qui fit que ce mouvement navait dautres issues que de mourir et disparaître. Mais quel en fut le prix à payer: Souvenons-nous du Massacre de la rue dIsly à Alger le 26 mars 1962 soit jours après la signature des accords de paix à Evian, 4 000 Européens dAlgérie se sont réunis à Bab El-Oued pour protester contre le bouclage du quartier par larmée française. La France soupçonnait alors, cette partie de la ville dabriter un important foyer dactivistes de lOAS. A 15 heures, alors que la manifestation pacifique atteint la rue dIsly, les manifestants se heurtent aux artilleurs de larmée française. Pris de panique devant une telle foule, un des soldats du 4ème RT tire. Le cordon de militaires croient à un signal et donne lassaut pendant 12 minutes. 46 personnes sont tuées dans la fusillade. On dénombre 200 blessés. La radio présente sur les lieux du carnage enregistrera lappel vain dun lieutenant criant Halte au feu que tous les français doivent avoir encore en mémoire. Lhistorien français Rémi Kauffer estime que lOAS a assassiné entre 1 700 et 2 000 personnes soit en France ou en Algérie. LOAS a elle aussi subi des pertes et officiellement 119 membres ont été tués. En 1962, 635 membres de lOAS sont arrêtés. 224 sont ensuite jugés, dont 117 acquittés, cinquante-trois condamnés à une peine de prison avec sursis, trente-huit à une peine de prison ferme, trois sont condamnés à mort et fusillés (Roger Degueldre, Claude Piegts et Albert Dovecar) ; le lieutenant-colonel Bastien-Thiry est également passé par les armes bien que son appartenance à lOAS fut et reste de nos jours encore, sujette à discussion, mais selon les membres du commando il appartenait bien, comme eux, à la dernière formation de lOAS-Métropole, également appelée OAS-CNR. Jusquen 1965, les arrestations sélèveront à dix mille personnes et le nombre de condamnés à 3 680 (décompte de Rémi Kauffer, qui estime par ailleurs que les policiers, gendarmes, militaires et barbouzes ont tué plusieurs centaines de Français dAlgérie durant la guerre). Plusieurs membres de lOAS se sont réfugiés à létranger, notamment en Espagne, au Portugal et en Amérique du Sud. Plusieurs furent condamnés à mort par contumace (les généraux Raoul Salan et Edmond Jouhaud, Joseph Ortiz, le colonel Chateau-Jobert, André Rossfelder, le colonel Arnaud de Seze, le colonel Yves Godard, les capitaines Pierre Sergent et Jean Biraud). La peine de mort pour motif politique, abolie depuis 1848, ayant été rétablie par ordonnance du 4 juin 1960. En ce qui concerne les seuls officiers de larmée française membres ou sympathisants OAS, environ 490 ont été condamnés à de la prison, 530 rayés des cadres, 1300 démissionnèrent. Amnistie du Général De Gaulle: La première amnistie date du 17 décembre 1964 et concerne les « événements » dAlgérie. Le 21 décembre 1964, les prisonniers condamnés à des peines inférieures à quinze ans de détention (soit 173 anciens membres de lOAS) sont amnistiés par grâce présidentielle, car il sagit de prisonniers politiques. En mars 1966, une centaine de condamnés sont graciés et, le 17 juin 1966, une seconde loi damnistie efface les condamnations des condamnés libérés. Le général Jouhaud, condamné à mort le 13 avril 1962, passe 235 jours dans une cellule de condamné à mort, sa peine est commuée en perpétuité, il est libéré en décembre 1967. En 1968, des anciens de lOAS rencontrent Jacques Foccart pour lui proposer leur ralliement au régime gaulliste contre la chienlit et demander lamnistie intégrale des membres de lorganisation encore incarcérés, ce quils obtiendront le 7 juin 1968 après les événements de mai 1968. Le gouvernement, craignant un coup de force des communistes, effaça toutes les sanctions disciplinaires et professionnelles et réintègre les amnistiés dans leurs droits, pensions et décorations. Cette amnistie est promise par De Gaulle à Massu, lors de sa visite à Baden Baden. En juillet 1974, une amnistie complémentaire efface dautres condamnations pénales, autorisant ainsi la réintégration de cadres de lOAS dans la vie politique française notamment par lintermédiaire des Républicains indépendants de Valéry Giscard dEstaing, ce qui permet à certains comme Pierre Sergent de devenir député. Dans le cadre de lélection présidentielle française de 1981, des négociations menées par des proches du candidat François Mitterrand aboutissent à lappel du général Salan à voter Mitterrand et sanctionner Giscard dEstaing. Le 3 décembre 1982, les officiers survivants sont réintégrés dans les cadres de larmée par une nouvelle amnistie (loi du 24 novembre 1982), à lexclusion des officiers généraux. En 1987, une loi sur les rapatriés amnistie les dernières condamnations encore effectives. Les Français approuvèrent les Accords dEvian le 8 avril 1962, en lecture des paragraphes ci-dessus relatés, aujourdhui nous pouvons dire mais à quel Prix !!! Fallait-il le faire? Les électeurs en connaissant le prix fort, nauraient jamais ratifié par référendum un tel accord, qui fut celui de la honte, de douleurs indicibles de rapatriés et harkis. Notamment lorsque lon en connait la suite de lHistoire, cest à dire que depuis 1965, lAlgérie est tout simplement une dictature. Les accords de cessez-le-feu furent signés le 18 mars entre la France et le gouvernement provisoire algérien sont ratifiés par le peuple français à 90,7% de oui. Organisé par le général de Gaulle, le scrutin plébiscite largement la politique menée en Algérie. Le chef de lEtat déclare à lannonce des résultats : Le référendum règle le problème algérien Mais nullement celui des pieds noirs et harkis venus en terre de France sous la menace: La Valise ou le cercueil! Pouvions-nous imaginer une déchirure plus violente pour les générations de ceux qui quittèrent de telle manière lAlgérie? A la suite des accords dEvian (18 mars 1962) qui reconnaissent lindépendance de lAlgérie, Ahmed Ben Bella, chef du Front de libération nationale (FLN), est élu par 159 voix contre 1, premier président du Conseil par la nouvelle Assemblée nationale algérienne. Il accédera à la présidence en 1963, mais sera renversé par le coup dEtat de Houari Boumediene en 1965 et emprisonné jusquen 1980 cest comme cela, que sinstalla en Algérie une dictature, qui elle nétait pas du souhait des signataires des accords dEvian, pas plus que de ceux approuvant lors référendum du 8 janvier 1961, laccord sur lautodétermination du peuple Algérien. Les accords dÉvian prévoyaient... autre chose que lépuration ethnique qui sen est suivie, avec des massacres en masse que lon nhésiterait sans doute pas à qualifier de génocidaires de nos jours. Cette mémoire-là est bien plus occultée que celle des martyrs du FLN dont en firent la glorification nos gouvernements de gauche dont celui de François Mitterrand. Pourtant il fut commis un véritable génocide envers les français et harkis contraints au départ précipité contrairement aux accords signés à Évian. Cette période noire de notre histoire, recouvre didentiques atrocités commises par le FLN envers les pieds noirs restés confiants sur leur terres, ou les harkis serviteurs supplétifs de lArmée française refoulés des camions militaires à coups de crosses des appelés afin de les décrocher des camions lorsque les campements militaires furent défaits. Restés malgré eux sur la terre algérienne qui nombreux en furent égorgés comme de véritables moutons. De véritables crimes contre lHumanité furent commis, par le FLN envers notre peuple, ces crimes sont toujours impunis mais pourtant, parfaitement connus de tous nos dirigeants actuels et ceux qui le précédèrent de Mitterrand à Jacques Chirac!!! À lindépendance, le FLN prend ainsi le pouvoir « légitimement », et sen assure lexclusivité en instaurant le système de parti unique. Après dimportantes luttes internes, Ahmed Ben Bella prend la tête du parti, et donc de lÉtat, dont il en devient le président du 15 septembre 1963 au 19 juin 1965. Il sera renversé trois ans plus tard par Houari Boumédiène (1965-1978) qui prend les pleins pouvoirs, réduisant largement la place du parti pour en faire une dictature, ce quest encore lAlgérie avec Abdelaziz Bouteflika qui depuis 2009 règne sans partage sur lAlgérie, allant jusquà demander à la France de faire repentance à François Hollande, qui bredouilla de pâles excuses, à quand le pardon du FLN pour tous ses massacres commis envers les pieds noirs dAlgérie, dans des chasses à qui tuera le plus de colons avant quils ne repartent en France, aujourdhui ce sont les arrières petits enfants de ces dégénérés, qui souhaitent nous imposer le voile et le Niqab. La Cour européenne des droits de lHomme (CEDH) a examiné, mercredi 27 novembre2013, la requête dune jeune musulmane âgée de 23 ans, protestant contre linterdiction en France de porter le voile intégral (niqab) dans l’espace public. L’audience a permis aux deux parties d’exposer leurs arguments dont les juges prendront compte pour le délibéré qui sera rendu dans plusieurs semaines. Tandis que la France a axé sa défense sur lirrecevabilité de la plainte, les avocats de la requérante ont plaidé contre une interdiction de nature à porter atteinte à des libertés fondamentales, notamment datteinte aux droits de lhomme interdisant de se vêtir comme le veut sa religion. Les membres de lOAS furent eux-mêmes pourchassés sans répit par les forces gaullistes. LOAS était largement soutenue par la population française dAlgérie, mais ses nombreux attentats aveugles la feront rejeter par lopinion publique métropolitaine et Algérienne.
Posted on: Thu, 28 Nov 2013 22:43:08 +0000

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