Antoine Ged OLIVIA, Je viens de relire ma très belle prose - TopicsExpress

Antoine Ged OLIVIA, Je viens de relire ma très belle prose et je dois vraiment me féliciter ( à moins que toi, ma chère Olivia, tu décides de menvoyer de toi-même, cad, de ta propre initiative, un mot de félicitations de toi ). Je tentends dici técrier : Eh ben, il est vraiment gonflé lAntoine. Il ne manque vraiment pas dair. Voilà que maintenant, il faut le féliciter...sur commande...( SIC ). Eh bien, je ne le connaissais pas sous cet angle-là. Franchement, il me déçoit beaucoup lAntoine, mais alors ce qui sappelle beaucoup, beaucoup, beaucoup...vraiment infiniment beaucoup...!!! . Antoine Ged 14:12 Antoine Ged Minute, ma Chère Olivia, Je nai pas demandé quon me félicite POUR TOUT, mais UNIQUEMENT en considération que, POUR UNE FOIS, je nai pas fait TROP de fautes de frappe Et ce, si, dune part on considère la longueur de mon commentaire et son caractère, on va dire, un peu technique ( il ne sadresse, dans mon esprit quaux seuls spécialistes de la question en question ) Et si lon considère aussi quil est près de 13h30, aujourdhui 13 Novembre, que lami Antoine na pas fermé loeil de la nuit ( dailleurs daprès ses partages , il est très facile de le vérifier ), Je crois que notre ami Antoine mérite quon lui accorde, au minimum, de très lourdes circonstances... atténuantes et, ce qui serait, ma foi, infiniment plus équitable, quon lui accorde lacquittement, purement et simplement. Et maintenant, à vous de jouer mes chers Ami(e)s... Très fidèlement à vous, comme toujours pour toujours, Antoine Hakim-Ged Antoine, Dis-nous, dis-moi...! Quest-ce que cest que ce bout de commentaire qui vient de nulle part...,??? Et quest-ce que jen fais maintenant...??? Je le conserve ou je lefface...??? Dis-nous...! Dis-moi...! Habibi, Antoine, Habibi...! couché de la nuit, que donc lami Antoine, à cause de la fatigue qui lenvahit, a quand même le droit de faire QUELQUES PETITES FAUTES DE FRAPPE. et que, à titre personnel, je vous demande à vous toutes et tous, de faire, quand même, montre DUN PEU DINDULGENCE.... Antoine Hakim-Ged