CHRONOLOGIE d’une RECHERCHE d’un BOUC EMISSAIRE Le mardi 03 - TopicsExpress



          

CHRONOLOGIE d’une RECHERCHE d’un BOUC EMISSAIRE Le mardi 03 mai 2013 des agents de la police judiciaire ont remis en guise de convocation un bout de papier (sans nom ni adresse) à mon neveu demandant à Belbouri de se présenter le lendemain au commissariat central de police. Connaissant moi-même un officier de police judiciaire K je l’ai appelé (tel) à son domicile pour m’informer. Il a été surpris que ça soit moi qui ai reçu le bout de papier et me confirma que c’était bien lui qui ordonna à ses agents de me laisser cette « convocation ». Le mercredi 4 mai je me présentais au commissariat central, à la réception on me demanda ma carte nationale d’identité et on me dirigea vers un bureau de la police judiciaire où je subis un véritable interrogatoire de la part d’un officier de la police judiciaire. il m’exhiba la photo du Professeur Kerroumi et il me demanda : - tu connais ton ami Kerroumi ? moi : je ne le connais pas - il ya ton n° de tel sur le répertoire de son portable ! moi : citez moi mon n° si vous l’avez ! Après m’avoir dévisagé durant une quinzaine de minutes l’officier se leva en me laissant seul dans ce bureau. Au bout d’une heure on me transféra dans un autre bureau devant un autre officier. Mêmes questions : connais tu Kerroumi ? moi :non Pourquoi a-t- on trouvé ton N° tel sur le répertoire du portable du défunt ? j’ai dit que c’était impossible et que si c’était le cas :citez mon n° de tel ! Silence de la part de l’officier, puis me dit que puisque j’avais cours à l’université je pouvais m’en aller mais que je devais revenir. Ce que je fis. A 12h je me représentais au commissariat central et on me dirigea vers un troisième bureau où se trouvait deux autres officiers .D’abord l’un me fixa dans les yeux pendant une dizaine de minutes en silence puis : Il me posa les mêmes questions aux quelles je répondis de la même façon que précédemment. Chuchotements entre les deux officiers puis l’un d’eux me demanda si je n’avais pas un autre tel, je répondis que ce tel portable(le mien) est le premier et l’unique. L’officier instructeur me dit que c’était bon et que je pouvais m’en aller. A mon tour je demandais pourquoi cet interrogatoire et en quoi ça me concernait ? Il me répondit que c’était une enquête de routine. Le jeudi 05 mai je reçu un appel de la part d’un officier. me demandant qui était. Mohamed. ? je lui répondis que c’était mon fils il me demanda si je pouvais l’amener au commissariat. Central., je répondis que non mais que j’allais essayer de contacter mon fils et dans ce cas il n’a qu’à venir le voir dans mon domicile (mon fils travaille en tant que commercial pour le compte d’une entreprise de distribution de boisson énergisante).je contactai mon fils en lui disant qu’il avait une « convocation « de la part de la police judiciaire.je lui demandai en quoi ça pouvait le concerner ? Il me rassura en me disant qu’il n’avait rien à se reprocher .Je lui ai demandé de passer à la maison après son travail (aux environs de 17h) que je serai en présence d’un officier de la police judiciaire. Autour d’un café l’officier demanda à mon fils s’il connaissait Kerroumi, il confirma le connaître en tant que professeur à l’UFC (mon fils suivait des cours dans cette institution). Mon fils n’ajouta même que le prof. Kerroumi avait l’habitude d’échanger avec ses étudiants son n° de tel portable dans un cadre purement pédagogique. L’officier ajouta que le n° recherché émanait de l’opérateur Djezzy et qu’il ne se souvenait que des six premiers chiffres parce qu’ils coïncidaient avec son propre n° de tel (tel du policier c’est la raison pour laquelle il s’en rappelait) j’avais dit que ce n’était pas sérieux, il écrit les six premiers chiffres sur une feuille de papier 077122, mon fils lui dit que son n° de tel aussi commençait ainsi et naïvement il lui donna son n° de tel entier. Depuis la machine policière s’est mise en branle. L’officier me demanda si mon fils pouvait le suivre au commissariat central je lui répondis que si mais que je voulais l’accompagner, l’officier me répondit que ce n’était pas nécessaire. En sortant je remarquai un véhicule de police banalisé, et donc je conseillais à l’officier de prendre place dans le véhicule de service de mon fils, et que les autres policiers pouvaient les suivre, ce qui fut fait. Une heure plus tard mon fils m’appela pour me dire qu’il n’était pas parti au commissariat central et que les policiers l’ont accompagné pour terminer sa tournée au près de ses clients puis l’ont laissé partir seul. Le dimanche 08 mai le même officier me téléphona aux environs de 12h pour me dire que mon fils était convoqué au commissariat central. J’appelai de suite mon fils afin de lui dire de passer me prendre, ce qu’il ne fit pas malheureusement. A 14h j’appelai mon fils mais son téléphone était fermé, j’appelai alors l’officier qui me répondit que mon fils était avec lui et qu’il n’y avait pas à s’inquiéter. J’ai rappelé mon fils à16h sans réponse, je rappelai l’officier qui me débita tjrs le même discours. Même chose à 18h, ainsi qu’à 20h. A 21 h fou d’inquiétude je rappelle l’officier qui me passa mon fils au tel.qui me dit que le sien (tel port.) était entre les mains des policiers. Ce manège continua jusqu’à 23h30. A minuit mon fils arriva à la maison dans un état déplorable. Après avoir repris ses esprits il me dit qu’il devait y retourner afin de récupérer sa carte nationale d’identité ainsi que son tel. Portable. Je l’ai accompagné alors, arrivé sur les lieux j’ai demandé à l’officier de nous restituer les affaires de mon fils ; il me répondit qu’elles étaient chez le magasinier et que celui-ci était rentré chez lui. Je rappelai cet officier. le lendemain pour m’entendre signifier qu’il fallait revenir l’après midi, et l’après midi pour me dire qu’il ne fallait plus revenir au commissariat central, et qu’une fois l’enquête terminée on me les restituera. Je dis à mon fils que j’en faisais mon affaire et qu’il ne devait plus y retourner. Il continua à me rendre visite de façon a avoir des nouvelles à propos de ses affaires (CNI et tel. portable).Entre temps le même officier, à mon insu promit à mon fils de lui restituer ses affaires le jeudi suivant à partir de 16h au commissariat. Le jeudi12 mai à 16h Mohamed s’était présenté au commissariat central, ayant rendez vous avec l’officier en question. Arrivé sur les lieux on lui enlève sa moto, on le laisse attendre de 16h jusqu’à minuit, moment à partir duquel commence la permanence du weekend, et depuis il a été retenu. Il n’a jamais été arrêté à Maraval comme le stipule une certaine presse. Il a été en garde à vue du 12 mai jusqu’au 17 mai, je ne vous parle pas de la torture infligée à mon fils par les policiers afin qu’il avoue. Ce qu’il nia devant le procureur en précisant qu’il avait avoué sous la torture (pendaison par les bras, par les jambes, sans compter les décharges électriques de tazer). Depuis il est en mandat de dépôt à la prison, arrivé blessé aux jambes le médecin de la prison l’examina lui délivra une ordonnance mais n’a même pas daigné constater par écrit ses blessures. CHRONOLOGIE d’une RECHERCHE d’un BOUC EMISSAIRE Le mardi 03 mai 2013 des agents de la police judiciaire ont remis en guise de convocation un bout de papier (sans nom ni adresse) à mon neveu demandant à Belbouri de se présenter le lendemain au commissariat central de police. Connaissant moi-même un officier de police judiciaire K je l’ai appelé (tel) à son domicile pour m’informer. Il a été surpris que ça soit moi qui ai reçu le bout de papier et me confirma que c’était bien lui qui ordonna à ses agents de me laisser cette « convocation ». Le mercredi 4 mai je me présentais au commissariat central, à la réception on me demanda ma carte nationale d’identité et on me dirigea vers un bureau de la police judiciaire où je subis un véritable interrogatoire de la part d’un officier de la police judiciaire. il m’exhiba la photo du Professeur Kerroumi et il me demanda : - tu connais ton ami Kerroumi ? moi : je ne le connais pas - il ya ton n° de tel sur le répertoire de son portable ! moi : citez moi mon n° si vous l’avez ! Après m’avoir dévisagé durant une quinzaine de minutes l’officier se leva en me laissant seul dans ce bureau. Au bout d’une heure on me transféra dans un autre bureau devant un autre officier. Mêmes questions : connais tu Kerroumi ? moi :non Pourquoi a-t- on trouvé ton N° tel sur le répertoire du portable du défunt ? j’ai dit que c’était impossible et que si c’était le cas :citez mon n° de tel ! Silence de la part de l’officier, puis me dit que puisque j’avais cours à l’université je pouvais m’en aller mais que je devais revenir. Ce que je fis. A 12h je me représentais au commissariat central et on me dirigea vers un troisième bureau où se trouvait deux autres officiers .D’abord l’un me fixa dans les yeux pendant une dizaine de minutes en silence puis : Il me posa les mêmes questions aux quelles je répondis de la même façon que précédemment. Chuchotements entre les deux officiers puis l’un d’eux me demanda si je n’avais pas un autre tel, je répondis que ce tel portable(le mien) est le premier et l’unique. L’officier instructeur me dit que c’était bon et que je pouvais m’en aller. A mon tour je demandais pourquoi cet interrogatoire et en quoi ça me concernait ? Il me répondit que c’était une enquête de routine. Le jeudi 05 mai je reçu un appel de la part d’un officier. me demandant qui était. Mohamed. ? je lui répondis que c’était mon fils il me demanda si je pouvais l’amener au commissariat. Central., je répondis que non mais que j’allais essayer de contacter mon fils et dans ce cas il n’a qu’à venir le voir dans mon domicile (mon fils travaille en tant que commercial pour le compte d’une entreprise de distribution de boisson énergisante).je contactai mon fils en lui disant qu’il avait une « convocation « de la part de la police judiciaire.je lui demandai en quoi ça pouvait le concerner ? Il me rassura en me disant qu’il n’avait rien à se reprocher .Je lui ai demandé de passer à la maison après son travail (aux environs de 17h) que je serai en présence d’un officier de la police judiciaire. Autour d’un café l’officier demanda à mon fils s’il connaissait Kerroumi, il confirma le connaître en tant que professeur à l’UFC (mon fils suivait des cours dans cette institution). Mon fils n’ajouta même que le prof. Kerroumi avait l’habitude d’échanger avec ses étudiants son n° de tel portable dans un cadre purement pédagogique. L’officier ajouta que le n° recherché émanait de l’opérateur Djezzy et qu’il ne se souvenait que des six premiers chiffres parce qu’ils coïncidaient avec son propre n° de tel (tel du policier c’est la raison pour laquelle il s’en rappelait) j’avais dit que ce n’était pas sérieux, il écrit les six premiers chiffres sur une feuille de papier 077122, mon fils lui dit que son n° de tel aussi commençait ainsi et naïvement il lui donna son n° de tel entier. Depuis la machine policière s’est mise en branle. L’officier me demanda si mon fils pouvait le suivre au commissariat central je lui répondis que si mais que je voulais l’accompagner, l’officier me répondit que ce n’était pas nécessaire. En sortant je remarquai un véhicule de police banalisé, et donc je conseillais à l’officier de prendre place dans le véhicule de service de mon fils, et que les autres policiers pouvaient les suivre, ce qui fut fait. Une heure plus tard mon fils m’appela pour me dire qu’il n’était pas parti au commissariat central et que les policiers l’ont accompagné pour terminer sa tournée au près de ses clients puis l’ont laissé partir seul. Le dimanche 08 mai le même officier me téléphona aux environs de 12h pour me dire que mon fils était convoqué au commissariat central. J’appelai de suite mon fils afin de lui dire de passer me prendre, ce qu’il ne fit pas malheureusement. A 14h j’appelai mon fils mais son téléphone était fermé, j’appelai alors l’officier qui me répondit que mon fils était avec lui et qu’il n’y avait pas à s’inquiéter. J’ai rappelé mon fils à16h sans réponse, je rappelai l’officier qui me débita tjrs le même discours. Même chose à 18h, ainsi qu’à 20h. A 21 h fou d’inquiétude je rappelle l’officier qui me passa mon fils au tel.qui me dit que le sien (tel port.) était entre les mains des policiers. Ce manège continua jusqu’à 23h30. A minuit mon fils arriva à la maison dans un état déplorable. Après avoir repris ses esprits il me dit qu’il devait y retourner afin de récupérer sa carte nationale d’identité ainsi que son tel. Portable. Je l’ai accompagné alors, arrivé sur les lieux j’ai demandé à l’officier de nous restituer les affaires de mon fils ; il me répondit qu’elles étaient chez le magasinier et que celui-ci était rentré chez lui. Je rappelai cet officier. le lendemain pour m’entendre signifier qu’il fallait revenir l’après midi, et l’après midi pour me dire qu’il ne fallait plus revenir au commissariat central, et qu’une fois l’enquête terminée on me les restituera. Je dis à mon fils que j’en faisais mon affaire et qu’il ne devait plus y retourner. Il continua à me rendre visite de façon a avoir des nouvelles à propos de ses affaires (CNI et tel. portable).Entre temps le même officier, à mon insu promit à mon fils de lui restituer ses affaires le jeudi suivant à partir de 16h au commissariat. Le jeudi12 mai à 16h Mohamed s’était présenté au commissariat central, ayant rendez vous avec l’officier en question. Arrivé sur les lieux on lui enlève sa moto, on le laisse attendre de 16h jusqu’à minuit, moment à partir duquel commence la permanence du weekend, et depuis il a été retenu. Il n’a jamais été arrêté à Maraval comme le stipule une certaine presse. Il a été en garde à vue du 12 mai jusqu’au 17 mai, je ne vous parle pas de la torture infligée à mon fils par les policiers afin qu’il avoue. Ce qu’il nia devant le procureur en précisant qu’il avait avoué sous la torture (pendaison par les bras, par les jambes, sans compter les décharges électriques de tazer). Depuis il est en mandat de dépôt à la prison, arrivé blessé aux jambes le médecin de la prison l’examina lui délivra une ordonnance mais n’a même pas daigné constater par écrit ses blessures. J’aime ·
Posted on: Thu, 12 Sep 2013 16:00:16 +0000

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