Ces vices de forme qui peuvent réduire le coût dun crédit - TopicsExpress



          

Ces vices de forme qui peuvent réduire le coût dun crédit immobilier A lheure où les taux remontent lentement mais sûrement, tous les moyens sont bons pour réduire le coût total de son crédit immobilier. Si de nombreux emprunteurs ont profité des taux extrêmement bas pour renégocier leur crédit, dautres pourraient se tourner vers une société parisienne qui se propose de passer au crible leur contrat afin didentifier les éventuels vices de forme. Sur lensemble des crédits immobiliers distribués chaque année, près de la moitié serait entaché dun ou plusieurs vices de formes qui sur un plan juridique sont susceptibles dentraîner leur invalidité. Si la très grande majorité des emprunteurs ne sont pas armés pour déceler de telles erreurs, ce nest pas le cas de lentreprise parisienne dirigé par Laurent de Badts. Sil faut en croire le gérant des Expertiseurs du Crédit, un contrat de crédit immobilier erroné peut permettre à un particulier de récupérer quelques 30.000 euros par tranche de 100.000 euros empruntés. De quoi attiser la curiosité de bon nombre demprunteurs. “Il ny a pas derreurs dans les conditions générales parce quune armée de juristes contrôle tous les textes et les obligations. Par contre on va trouver des erreurs dans les conditions particulières”, précise Laurent de Badts interrogé par le site Lesclesdumidi. Entre des frais annexes non intégrés aux frais généraux, erreur sur le montant du TEG (Taux effectif global) ou sur le coût final de lassurance de prêt immobilier, les points sur lesquels les Expertiseurs du crédit peuvent sappuyer pour dénoncer linvalidité dun emprunt sont nombreux. Une fois la faille décelée, la validité dun crédit immobilier peut légitimement être dénoncée, ce qui entraîne lapplication dun taux légal en lieu et place du taux initialement associé à lemprunt. Le taux légal en vigueur pour cette année 2013 sélèvant à 0,04%, lemprunteur peut ici réaliser de réelles économies dautant plus que les intérêts indûment perçus devront lui être restitués. Laurent de Badts souligne toutefois que de telles opportunités pourraient nêtre quéphémères. “Les organismes prêteurs ont pris conscience du problème tout récemment. Ils vont mettre en place des moyens humains de contrôle. Les offres de crédit vont dans les années à venir être ultra-vérifiées, ce qui nétait pas le cas par le passé”, explique-t-il.
Posted on: Tue, 15 Oct 2013 16:06:54 +0000

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