Danse du sabre Une fois Khatchatourian pendant son tour en - TopicsExpress



          

Danse du sabre Une fois Khatchatourian pendant son tour en Espagne a été demandé par des organisateurs espagnols qui, sous grande influence de son talent, voulaient bien lui rendre service, - s’il existe quelque chose qu’il veuille visiter ou obtenir parce qu’il lui suffit seulement de dire et on se réaliserait tous . Mais à cause de sa timide Khatchatourian les a remercié seulement pour leurs propositions et ne demandait rien. D’ailleurs pour répondre à cette cordialité et tous leurs compliments il remarqua que l’Espagne quil avait l’honneur de visiter, elle même est la Partie d’un grand peintre du XXe sciècle Salvador Dalí et qu’il était vraiment ravi d’avoir la chance de faire la connaissance avec ce grand maître pour la possibilité de lui présenter ses hommages. Ce souhait a provoqué un légère confusion parmi les organisateurs tant que tous savaient son excentricité qui est forcément imprévisibilité, de plus Dalí passait beaucoup de temps en Amérique et en Espagne il était rare. Mais malgré tout le rendez-vous a été arrangé assez facile, - seulement Dalí a appris par téléphone le souhait dune personne honorable de son rencontre, il déclara qu’il est vrai fan de grand compositeur et que pour lui de même ce serait l’honneur de le rencontrer. Pour cela il est prêt laisser tout ces affaires, prendre l’avion, et on peut dire demain à deux heures, si cela est convenable pour Khatchatourian, il l’invite dans sa villa. Sitôt dit, sitôt fait. À deux heures moins trois un limousine a amené Khatchatourian, en compagnie son impresario, traducteur et secrétaire vers le massive grille d’un château mauresque. Tout de suite les portières, tous dans livrées splendides, les rencontrent et informent que Dalí propose la rencontre privée et tant que sa femme est russe ils n’auront pas besoin même de traducteur. Alors on ne laisse pas entrer que Khatchatourian, d’autres sont étonnés mais pas beaucoup en rendant compte que tout cela est bien dans les mœurs de Dalí. Khatchatourian avec grand accueil a été accompagné par un vrai maître de cérémonie dans une salle luxueuse où sous prétexte que Dalí est sur la point de le rejoindre on lui laisse en fermant la porte derrière soi. Khatchatourian s’installe sur le divan tissé d’or, devant lui la table en mosaïque pleine de cognac, de vins espagnols, de fruits, de cigares. Mais le temps passe et le hôte ne s’apparaît pas. Tant que Khatchatourian savait que la ponctualité n’est pas toujours respectée en Espagne il continue à attendre en remontant son nœud de cravate et en remettant de l’ordre dans ses cheveux. Dans deux heures dix il compte que Dalí arrive enfin et il écoute des pas dans le corridor. À deux heures quart il s’assied plus confortablement, prend un cigare et les jambes croisées laisse échapper la bouffée. À deux heures vingt il commence de s’irriter : quel bordel, c’est lui qui a indiqué le temps et maintenant il fait attendre. Quelle muflerie! Tout à fait irrité il chipote des raisins, prend le cognac, remplit un verre à pied et le boit tout de suite. À deux heures et demie il boit encore une flûte de vin, déboutonne son veston, affaiblit son nœud de cravate, et posant les mains dans les poches il commence à arpenter la salle. Il décide qu’il y a une erreur peut-être et on sest trompé par la salle. Sous cette illusion il approche la porte de laquelle Dalí doit venir mais elle est encore fermée. Dans ce cas il prend la décision d’attendre jusqu’à trois heures et ensuit il s’en va. À trois heures pile il crache sur le bout de cigare, approche la porte de son entrée, tâche de l’ouvrir et rien, bien évidemment la porte est fermée aussi. Il commence à frapper, le résultat est nul. Il tâche des autres portes, sans succès non plus. Effaré, fâché, il tire, il pousse – enfermé! Il prend encore cognac, gronde à haute voix, cueille sa cravate, et la fourre dans sa poche. Les questions différentes, si quelque chose s’est passée avec Dalí, peut-être il n’est pas encore atterri et tout le monde l’attend dun moment à lautre avec le même impatience, - mais non, quelle folie. Il comprend que de tous ces nerfs il a pris bien la faim. Assez agressivement il revient vers la table prend des fruits, encore cognac et à trois heures et demie le certain besoin a commencé à l’inquiéter. Mais les voies vers la toilette sont coupées, il n’y a pas plus aucun bon ton, aucune étiquette il frappe aux portes avec les pieds déjà, appelle, tâche de les ouvrir soi même et encore rien. Khatchatourian commence à courir dans la salle plus en plus rapide et voici il ne peut plus supporter. Sur le podium entre des fenêtres il remarque un certain vase – un ancienneté mauresque, de belle forme et de grande capacité. Cette vase a occulté tout-à-fait sa conscience « Tiens, voyons » et en sautant il pisse dans cette vase avec un soulagement vindicatif. En pensant que la vie n’est pas tellement mauvaise, la pendule bat quatre heures et au dernier tintement, « Danse du sabre » retentit avec étourdissement de haut-parleurs cachés, la porte s’ouvre brusquement et Dalí, tout nu, se mis sur un balai, sable brandi en l’air a fait lirruption dans la salle. Il caracole vers la porte opposée, le sable toujours en l’air, la porte l’accepte, et tout de suite se ferme. La musique s’interrompt. Encore le maître de cérémonie apparaît et annonce que l’audience a été faite et linvite à sortir. Khatchatourian tout stupéfié se tâche de se mettre en ordre, sur le perron on le présente superbe album avec l’inscription touchante faite par Dalí à propos de rencontre inoubliable, on lui propose la voiture et l’amène à l’hôtel où le monde l’attend déjà en demandant à qui mieux mieux sur le rencontre de deux titans. Khatchatourian a murmuré quelque chose à propos de l’art en tâchant de rester plus discret. Au même jour tout ce qui s’est passé est apparu aux journaux du soir. D’ailleurs Dalí dit assez pardonnable quant à l’habitude de son hôte de la Russie sauvage utiliser en qualité de goguenot les vases de collection de six cents ans et de prix dans cent mille dollars. Plus ou moins mais Khatchatourian nest pas venu plus en Espagne. youtube/watch?v=gvAspXhmxbk
Posted on: Fri, 18 Oct 2013 00:12:43 +0000

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