Du nouveau en astrocyclologie : phase ascendante et phase - TopicsExpress



          

Du nouveau en astrocyclologie : phase ascendante et phase descendante. Par Jacques Halbronn Au risque d’énerver certains de nos lecteurs, nous testons diverses formules tant sur le plan théorique que sur le plan pratique, c’est ce que l’on appelle des expériences, cest-à-dire des essais (selon l’usage ancien). Nous avions été intéressés pendant quelques semaines par l’idée de diviser en trois le cycle de 7 ans mais nous en revenons désormais à notre précédente division en deux, tant nous sommes persuadés que l’intelligence humaine est marquée par le binaire. Cela nous ramène donc à une division en huit du cycle sidéral de Saturne. (28/4/2). Certes, il existe une tradition du découpage du la quarte en trois, ce qui correspond aux modes ou aux « guna »(Inde), certes, il existe douze rencontres soli-lunaires au cours d’une année, ce qui a donné les douze signes du zodiaque (et les douze constellations zodiacales), mais la division en trois de chaque saison est tout à fait artificielle. Comme on l’a dit maintes fois, on divise un gâteau en deux, puis en quatre puis en huit mais passe en douze, en tout cas spontanément tout simplement parce que divisé en deux est plus naturel et d’ailleurs dans le mot diviser, il y a déjà le deux. Nous allons donc exposer dans le présent article les nouvelles « règles du jeu » en distinguant une phase « ascendante »et une phase « descendante » en rapport avec la symbolique matricielle – cest-à-dire transposée, en passant du propre au figuré, de la lettre à l’esprit- de ce qui est au-dessus et au-dessous de l’horizon, en astrologie horoscopique. En effet, on rappellera qu’en astrologie traditionnelle, l’on distingue entre les planètes au-dessus et au-dessous de l’horizon et on notera que les « maisons astrologiques » en dessous de l’horizon relèvent plus de la vue privée et celle au-dessus de la vie sociale et publique, ce qui correspond assez bien à l’idée que nous nous faisons en astrocyclologie des deux phases principales d’un cycle en général et du cycle de Saturne et des 4 étoiles fixes royales en particulier. On sait aussi que la numérotation des maisons- comme l’a souligné en son temps Jacques Dorsal- laisse à désirer et qu’une planéte progresse étrangement à rebours de l’ordre des maisons (XII puis XI, puis X et ainsi de suite) Nous dirons que la phase ascendante de Saturne commence 30° avant la conjonction et se poursuit 15° après et donc que la phase descendante commence 15° après la conjonction et se poursuit jusqu’à 30° avant la conjonction suivante, grosso modo, sans que les frontières entre les deux phases ne soient rigides et étanches d’autant que les choses évoluent nécessairement entre le début et la fin d’une même phase. En pratique, pour simplifier, nous dirons que la phase ascendante couvre le signe fixe et la première moitié du signe mutable de chaque période de 7 ans et la phase descendante la seconde moitié du signe mutable (ou commun) et tout le signe cardinal. Ce qui signifié que chaque période de 7 ans couvre 90° et donc se divise en deux temps de 90°< En gros Saturne franchit un degré en un mois ou 11 degrés et quelque (45°/4 ou 90/8) en un an environ. On peut ainsi découper une période de 7 ans en 8 secteurs de 11 mois. (Rappelons que dans l’alphabet hébreu, il y a 22 lettres, comme dans le Tarot) et que dans la Bible, il est question de périodes de 3 ans et demi ou 1260 jours, ce qui correspond à la durée d’une période ascendante ou d’une période descendante. Le travail théorique que nous avons accompli aura essentiellement consisté à comprendre que la dynamique principale était ascensionnelle, cest-à-dire vers, en direction de la conjonction et non à partir de la conjonction. Dès que la conjonction est atteinte, la tension commence à décliner (‘c’est le moment « solsticial » où le soleil ne progresse plus, s’arrête (stice, comme dans armistice). En cela nous différons singulièrement de nos prédécesseurs (Barbault, Yves Lenoble etc.) qui voyaient dans la conjonction le début du cycle et donc ce qui suit la conjonction le moment le plus fort alors que pour nous, tout au contraire, c’est en quelque sorte le commencement de la fin. On imagine les conséquences au niveau prévisionnel d’un tel différend ! En effet, 15° après la conjonction – même si on transpose dans un autre système conjonctionnel que celui de l’astrocyclogie, sans division en 4 du cycle sidéral)- s’amorce la phase « descendante » (cf. les notions d’ascendant et de descendant en astrologie horoscopique), cest-à-dire de démantèlement des réalisations unitaires (type destruction de la Tour de Babel). On note qu’en 1989, Saturne en capricorne, signe cardinal (12°) était en pleine phase descendante tout comme en Mai 68 (18° bélier, autre signe cardinal), toutes proportions gardées. A contrario, comme on l’a montré dans de récents textes (à voir sur nofim, rubrique astrologie)., la signature d’alliances est la marque de la phase ascendante (et unitaire) de Saturne. (En 39-41, du pacte germano-soviétique à l’entrée en guerre des Etats Unis aux côtés de l’Angleterre (au lendemain de Pearl Harbour) avec Saturne traversant le signe fixe du taureau Il est clair que la fin de la période descendante ne débouche pas sur une période ascendante à son maximum mais correspond à un certain frémissement se traduisant par des rapprochements qui vont se multiplier non pas dans telle ou telle région du monde mais partout dans le monde, selon des contextes certes bien divers, ce dont l’astrologie peut certes tenir compte mais qu’elle ne saurait déterminer. Nous déconseillons vivement de faire le thème de chaque conjonction et ce d’autant que la notion de conjonction est avant tout une image, un signal visuel qui ne fait sens que pour les hommes et non pour les astres. Nous devrions donc assister à une « guerre » des conjonctions au nom de théories opposées. Mais le problème, c’est que pour Lenoble, il existe toute une série de conjonctions qui peuvent correspondre à des états très différents les uns des autres et qui sont censées être peu ou prou interdépendantes et enchaînées. On ne saurait donc être surpris que dans de telles conditions, il ait été extrêmement difficile de s’y retrouver puisque le modèle de référence est loin d’être univoque, ce qui ne peut que produire des arguties. Trop de cycles tuent la notion même de cyclicité, sans parler du fait que certains astrologues accordent la plus grande importance à l’entrée de l’une des 5 planètes « lourdes » (pour ne pas parler de Mars dans un nouveau signe, ce qui est en quelque sorte assimilable à une conjonction, et renvoie implicitement à la présence d’étoiles fixes tout au long du zodiaque. Une sorte d’astrologie crypto-stellaire, en quelque sorte et dont Barbault a eu certainement tort de ne pas faire cas. (Ni dans son « indice », ni dans le cycle Saturne- Neptune, notamment). Mais chassez le naturel (les étoiles), il revient au galop par zodiaque interposé. JHB 30. 10.13 **
Posted on: Wed, 30 Oct 2013 17:59:42 +0000

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