Déjà une année que tu es partie Les roses de mon cœur demeurent flétries Les étoiles demeurent affligées Et le temps n’est guère parvenu à t’effacer. Le ciel demeure sombre Et mes espoirs s’évanouissent dans l’ombre Reviendras-tu un jour ? Resteras-tu pour toujours ? Le chant des oiseaux me bercent les souvenirs La solitude me tient compagnie La patience me promet un bel avenir A jamais te perdre est une phobie Si la patience est un chemin d’or Dès lors, que l’espérance soit notre aurore Le vent, notre messager Et l’amour, notre trésor partagé Versatile qu’est la destinée La foi fait de nous des obstinés Penser à tout et à rien, tel est mon loisir Te revoir néanmoins, tel est mon désir Déjà une année que tu es partie Les roses de mon cœur demeurent flétries Les étoiles demeurent affligées Et le temps n’est guère parvenu à t’effacer
Posted on: Tue, 29 Oct 2013 12:33:36 +0000