Et si… Le rêve au Lucionnaire (suite) Van Gogh… Coté - TopicsExpress



          

Et si… Le rêve au Lucionnaire (suite) Van Gogh… Coté gentils monos. Le Staff, l’encadrement, Régis celui qui règne, le chef, bien souvent hyper-déconnecté du présent par la propulsion de la sonnerie de son portable, beau-gosse, gentilhomme, faisant du mieux qu’il peut. Pour moi le meilleur fût Pierre un rocher sur lequel s’appuyer, Jean Baptiste, rejetant les symboles, refusant de reconnaitre qu’il peut agir inconsciemment comme nous tous lorsque nous perdons le contrôle. Marie Noëlle sure d’elle-même, refusant de comprendre mais cherchant quand même, toujours surprise bien souvent dans l’opposition. Sylvie pleine d’empathie. Pascale sanguine comme une orange, pète sec pour la forme, mais sous le masque une amie. Patrick sûr de lui et du fonctionnement d l’institution droit comme un I , l’émietteuse dont je ne me souviens jamais du prénom celle qui voulait que mon chien lui tire la langue pour voir si elle est réellement rose et myrtille. L’infirmière qui ressemble à Sylvie que je n’ai pas vraiment réussi à séparer tellement elle en est proche. La petite brunette coupe à la garçonne, charmante avec son sourire pincé, presque complice. Bernadette celle qui veut que je sorte et ne revienne plus. Le grand blond Alain, je crois, aimant la vie et les gens. Les femmes de ménage, adorables et serviables, des anges. J’ai apprécié la déco, mis à part les consignes de sécurité, un seul tableau, un café sur une place d’Arles, la nuit et la lumière de Van Gogh accrochant les photons jusqu’à les sculpter. Je vous remercie tous et toutes même madame Perez persuadée d’avoir tout classé, sans rien lire, sure d’elle-même et de sa raison. Vous avez contribué à l’allumage d’une lueur dans le brouillard de mon incompréhension. Merci à vous la Psy, madame Visuette, vous êtes, je suis, je ne romprai jamais le pacte, je l’ai signé avec mon être » chacun a ses raisons que la raison ignore » je ne serai plus déraisonnable à condition que celui qui raisonne ne soit pas une cloche… 12 jours d’escapade, d’escalade, vers les sommets de l’être, 11 pour retrouver la lumière de la naissance certainement la même que celle de la mort. 7 pour écrire ces pages jusqu’à ce point précis.
Posted on: Sat, 03 Aug 2013 04:27:55 +0000

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