INFORMATION GLOBALE — ECLAIRCISSEMENT D’EN-HAUT SUR LE - TopicsExpress



          

INFORMATION GLOBALE — ECLAIRCISSEMENT D’EN-HAUT SUR LE TERRAIN DES FAITS Les voyages de Pierre en Samarie, à Césarée et jusqu’à Antioche (Gal. 2.11) sont relatés dans le Nouveau Testament; ceux faits par Paul y sont également décrits en détail. Paul est allé trois fois à Rome; il était citoyen romain (Actes 22.22-29) et ainsi il pouvait sans empêchement passer à Rome lors de son voyage en Espagne (Rom. 15.22-29). Pierre n’est pas allé une seule fois à Rome. Seulement quatre cents ans plus tard, la prétention romaine sur une primauté le transporta par une légende là-bas. En réalité, il n’y a pas davantage à Rome de tombe de Pierre que de chaire. Dans les années de 41 à 54, Claude a régné à Rome et selon Actes, chapitre 18, il en a fait sortir tous les Juifs, dont Aquila et Priscille que Paul rencontra à Corinthe. Sous Néron, qui régna de 54 à 68, eut lieu la première persécution des Chrétiens. Par décision divine il était convenu que Jacques, Céphas et Jean servent comme apôtre des Juifs, alors que Paul et Barnabas seraient au service des païens (Gal. chap. 2 et autres). Seize chapitres sont répartis dans l’épître aux Romains que Paul adressa à la petite église judéo-chrétienne de Rome. Il salua nommément 27 personnes, cependant Pierre n’était pas parmi elles. Lors de sa dernière visite Paul resta deux années entières à Rome (Actes 28.30). Seule la légende attribue à Simon Pierre l’apparition d’un certain Simon Magus qui fit une grande impression au Sénat romain par ses trucs magiques. La connaissance de ce fait se trouve dans l’étude préliminaire de l’histoire indépendante de l’Eglise. De plus, est-il jamais sorti de la bouche du Seigneur une promesse annonçant que Pierre aurait un successeur? Non! Y a-t-il une promesse disant que Jésus-Christ aurait un substitut? Pas dans les Saintes Ecritures! Y a-t-il une promesse qu’un Etat théocratique de Christ serait établi parmi les Etats créés par les hommes? Non! Y a-t-il une promesse que l’Eglise catholique romaine, ou une autre, aurait, elle seule, le pouvoir de sauver et donner le salut? Pas dans les Saintes Ecritures! A-t-il été donné à l’Eglise de Jésus-Christ, qui est décrite dans le Nouveau Testament dans tous les détails avec ses dons et ses ministères, tous les droits temporels? Pas dans les Saintes Ecritures! L’Eglise du Nouveau Testament connaît-elle l’eau bénite, l’encens, le crucifix, le rosaire, les processions, les pèlerinages ou le purgatoire? Non! L’Eglise du Nouveau Testament connaîtelle les sacrements? connaît-elle le baptême des bébés ou les parrains et marraines? connaît-elle la Messe pour les morts? le sacrifice de la messe? Non! Connaît-elle le confessionnal et les indulgences? Non! L’Eglise du Nouveau Testament connaît-elle la béatification et la canonisation des morts? Non! L’Eglise du Nouveau Testament a-t-elle entendu parler de quelque chose comme de la vénération de Marie ou d’un «Ave Maria»? Non! L’Eglise primitive connaissait-elle le célibat? Non! Conduit par l’Esprit de Dieu, Paul a associé «l’interdiction du mariage» à la «grande apostasie» et l’a appelée enseignement de démons (1 Tim. 4.1-5), car c’est contre l’ordre divin de la création qui fait partie de l’ordre du salut. En règle générale les anciens et les diacres des églises locales doivent être mariés pour pouvoir accomplir leur fonction (1 Tim. chap. 3; Tite 1.5-9). Dans l’Eglise de Jésus-Christ, il n’existe pas plus de couvent, que de moine ou de nonne, ou encore d’ordres religieux. Rien n’est demeuré comme cela était au commencement dans l’Eglise primitive; en principe toutes choses dans l’enseignement et la pratique ont été faussement interprétées, tout est en opposition, c’est-à-dire anti: contre et à la place de ce que Christ a enseigné et commandé et que les apôtres ont exécuté. Tout dans le monde religieux est incroyable, mais est cependant déclaré digne de foi. Marie, la vierge élue (Es. 7.14), la mère de notre Seigneur, a accompli une unique et haute tâche, et une dernière fois encore seulement elle est mentionnée dans les Actes des apôtres (chap. 1.14), et précisément au commencement en rapport avec l’effusion du Saint-Esprit. Les apôtres savaient-ils quelque chose de semblable à une immaculée conception de Marie? Non! Le Fils de Dieu devait venir en ressemblance de chair de péché (Rom. 8.3), Il devait naître dans cette création déchue afin de nous libérer de la chute dans le péché. Savaient-ils quelque chose de sa virginité perpétuelle, d’une Marie toujours vierge? Non! car la Bible rend témoignage qu’elle eut quatre fils et aussi des filles (Mat. 13.55-58) et que Joseph avait eu des relations maritales avec elle (Mat. 1.25), après que Christ, le Fils de Dieu, soit né. De plus, il est écrit dans Jean 2.12: “Après cela, il descendit à Capernaüm, lui et sa mère et ses frères et ses disciples… ”. Paul rend témoignage: “Et je ne vis aucun autre des apôtres, sinon Jacques le frère du Seigneur” (Gal. 1.19). Amen. Les apôtres ont-ils rendu témoignage d’une ascension corporelle de Marie? Non! car il est écrit: “Et personne n’est monté au ciel, sinon celui qui est descendu du ciel, le fils de l’homme qui est dans le ciel” (Jean 3.13). Amen! Peut-elle également être médiatrice, alors qu’il est écrit: “Car Dieu est un, et le médiateur entre Dieu et les hommes est un, l’homme Christ Jésus… ” (1 Tim. 2.5). Peut-elle être également avocate, alors qu’il est écrit: “… afin que vous ne péchiez pas; et si quelqu’un a péché, nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ, le juste” (1 Jean 2.1)? Marie peut-elle être, même sur un seul point, ce que Jésus est seul à être? Certainement pas! Tout le culte à Marie, de même que l’ensemble du culte à tous les saints, avec les icônes, les images et les statues, n’est pas, selon le témoignage des Ecritures, un culte rendu à Dieu, mais il est classé être un culte idolâtre (Ex. 20.1-6 et autres), dirigé contre Christ, c’est-à-dire “anti-chrétien” — non biblique. Toutes ces choses qui font partie des Eglises “chrétiennes” se trouvent cependant tout à fait hors de la Parole de Dieu. Nous pourrions continuer en cataloguant ces pratiques et remettre en question ce qui est enseigné, cru et pratiqué. Nous pourrions même demander si c’est Jésus-Christ ou Hugo von Pyens qui a fondé l’ordre des chevaliers du Saint-Sépulcre? Le Sauveur a-t-Il fondé l’ordre des Jésuites et voulu la Contre-Réforme, ou bien est-ce l’Espagnol Ignace de Loyola qui, avec zèle, s’est donné comme tâche de rétablir l’Eglise romaine, une, “sainte”, même par la violence? Il n’est pas nécessaire de demander pourquoi l’ordre secret «Opus Dei» a été fondé en 1928, lequel est à l’oe uvre avec ses 86000 membres agissant dans des positions clés dans toutes les sphères dans 90 pays. En présence de tous ces faits la prétention suivante peut-elle être vraie: Seule l’Eglise catholique est l’Eglise de Christ et donne le salut; toutes les autres étant tout au plus des communautés d’églises? Seulement lors des sept croisades, de 1095 à 1292, 22 millions d’êtres humains ont été massacrés. Peut-on concevoir cela comme la manière de «dispenser le salut»? Celui qui relit l’appel du pape Urbain II au Concile de Clermont-Ferrand, en 1095, en a le souffle coupé, et celui qui lit encore que sur les 40000 Juifs et Musulmans de Jérusalem il en restait à peine une centaine en vie après le massacre de juin 1099, en perd complètement la parole. Qu’est-ce que cela a à faire avec la libération du «Saint-Sépulcre de Christ d’entre les mains des incrédules», comme le proclamait l’ordre d’Urbain II — d’autant plus que ce sépulcre dans la ville est seulement une fiction? Le sépulcre se trouvait et se trouve encore aujourd’hui dans un jardin près de Golgotha, du lieu du Crâne, en dehors de la ville, comme en témoigne l’Ecriture. Amen! “Or il y avait, au lieu où il avait été crucifié, un jardin, et dans le jardin un sépulcre neuf, dans lequel personne n’avait jamais été mis” (Jean 19.41). Et plus loin, il est écrit: “C’est pourquoi aussi Jésus, afin qu’il sanctifiât le peuple par son propre sang, a souffert hors de la porte” (Héb. 13.12). Amen! On ne finirait pas de penser à toutes les conséquences que comportent toutes les tromperies et les interprétations de l’ennemi. D’autre part il existe sur la terre un seul livre qui est incorruptible et donne tous les renseignements, et qui se termine par la révélation de Jésus-Christ, l’Apocalypse,dans lequel aussi les derniers mystères sont dévoilés: la Bible. Derrière nous, nous avons les Mille ans de règne absolu de Rome: le moyen-âge (l’âge des ténèbres), l’inquisition, les bûchers, les sorcières livrées aux flammes, la persécution des Juifs, le bain de sang des Huguenots, et ainsi de suite — beaucoup de sang a été versé. L’Eglise de Rome a exercé son pouvoir en réunissant les puissances religieuses et terrestres. Plusieurs exégètes affirment qu’Apocalypse 18.24 se retrouve là: “Et en elle a été trouvé le sang des prophètes, et des saints, et de tous ceux qui ont été immolés sur la terre” (Apoc. 18.24). Peut-on faire un seul reproche à un pape, un cardinal, un prêtre d’aujourd’hui? Certainement pas. Depuis 1500 ans le développement de l’Eglise a eu lieu. Tous sont nés dans cette tradition, ont été éduqués, et de cela ils déduisent que tout est juste. La même chose se retrouve dans toutes les Eglises et leur clergé; toutes ont leur propre genèse et leurs propres traditions. Chaque Eglise a expérimenté son propre développement. Mais l’Eglise de Jésus-Christ est demeurée telle qu’elle était lors de sa fondation. Comme l’exposent pertinemment les écrits de l’histoire de l’Eglise, pour ce qui est des directions de la foi, il ne s’agissait plus de l’importance et de la signification de la Parole de Jésus ou des apôtres, mais de sa propre fausse interprétation que toutes sans exception ont apportée. Toutes avaient été contraintes d’entrer dans l’Eglise de l’Empire. Après la Réforme, les diverses doctrines ont refait surface, et maintenant toutes, sans égard à ce qu’elles croient, retournent dans l’Eglise-mère. Aucune Eglise ne peut prétendre être l’Assemblée de Jésus-Christ. Christ Lui-même bâtit Son Eglise avec tous ceux qui acceptent la grâce de Dieu et qui reçoivent comme au commencement la Vie éternelle. Au travers du message de l’Evangile, Dieu appelle les Siens à sortir de tous les peuples, langues et nations, de toutes les Eglises d’Etat ou nationales, de toutes les religions et cultures. Durant l’ensemble du temps de la grâce cette parole s’accomplit: “… et tous ceux qui étaient destinés à la vie éternelle crurent” (Actes 13.47-49). Amen! Jamais le salut n’a été rattaché à un homme ou à une institution. Dès le commencement, le Message divin était valable et centré sur le Sauveur: “Et il n’y a de salut en aucun autre; car aussi il n’y a point d’autre nom sous le ciel, qui ait été donné parmi les hommes… ” (Actes 4.12). Le Nom du Seigneur Jésus-Christ est le seul Nom en qui se trouve le salut divin. Son appel est encore valable aujourd’hui: “Venez à moi, vous tous qui vous fatiguez et qui êtes chargés… ” (Mat. 11.28). C’est la raison pour laquelle un messager de Dieu peut dans une prédication dire à ceux qui l’écoutent: “Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé… ” (Actes 16.31). La foi dans une Eglise n’est absolument pas la foi en Dieu — cela ne peut pas être. Seule est valable la foi dans le seul Dieu véritable qui s’est révélé à nous en Jésus-Christ. Par le moyen d’une expérience personnelle de salut, les hommes peuvent naître de nouveau à une espérance vivante (Jean 3.1-10; Jacq. 1.18; 1 Pier. 1.22-25). Cependant toutes les religions, toutes les Eglises ont leur raison d’exister. Celui qui n’entend pas l’appel de Dieu et ne veut pas entrer dans la Vie éternelle, demeurera là où il est et ce qu’il est. Tous ceux qui croient dans la Bible doivent aussi s’en tenir seulement à ce qui se trouve écrit en elle. Au fond, il n’y a que deux confessions de foi: L’une vient de l’enseignement des apôtres et prophètes (Eph. 2.20), qui est jusque dans les plus petits détails l’enseignement de Jésus-Christ, tel que nous en trouvons le témoignage dans la Bible. L’autre est l’enseignement tel qu’il a été fixé dans la confession de foi des diverses Eglises. L’une est biblique, l’autre est prétendument “biblique”. L’une est apostolique, l’autre est soi-disant “apostolique”. Et aussi dur que cela puisse paraître: l’une exclut l’autre. Tous ont la possibilité de décider eux-mêmes et chacun se tiendra alors devant le juste Juge, qui de toute façon prononcera la sentence seulement conformément à Sa propre Parole. Pourquoi passer sous silence le développement fautif de l’Eglise dans l’Empire Romain jusqu’au schisme survenu en 1054, puis ensuite dans chaque étape? Pourquoi ne compare-t-on plus rien avec les Saintes Ecritures? Qu’est-ce qui est donc déterminant? Qu’est-ce qui porte le sceau de Dieu? Quelqu’un croit-il encore aujourd’hui à la donation de Pépin le Bref ou la donation de Constantin? N’est-il pas démontré que l’Eglise de Rome était intéressée au pouvoir temporel qui était exercé au nom du Christianisme? Dans toutes les Eglises d’Etats et nationales des divers pays, cela ne se renouvelle-t-il pas maintenant que la religion et la politique font les affaires ensemble? Cependant nous demandons: Qu’est-ce que cela a bien à faire avec la véritable Eglise de Jésus-Christ? Dieu a décidé Lui-même que la Bonne Nouvelle — l’Evangile éternellement valable de Jésus-Christ — serait prêchée dans le monde entier, et que tous ceux qui accepteraient le salut de Dieu en Jésus-Christ, obtiendraient le pardon des péchés. Car ainsi parle notre Seigneur: “Car si vous ne croyez pas que c’est moi, vous mourrez dans vos péchés” (Jean 8.24). Seuls ceux qui étaient devenus croyants, qui par la repentance et la conversion faisaient leur expérience personnelle de salut, se faisaient baptiser selon le commandement de Marc: “Celui qui aura cru et qui aura été baptisé… ” (Marc 16.16). Et comme c’est écrit dans les Actes des apôtres et que cela a été confirmé plus tard, c’est au Nom du Seigneur Jésus-Christ qu’ils étaient baptisés. Ils expérimentaient ensuite également la promesse qui était sortie premièrement de la bouche de Jean-Baptiste (Mat. 3.15) et confirmée par notre Seigneur Lui-même dans Actes 1.5: “… car Jean a baptisé avec de l’eau; mais vous, vous serez baptisés de l’Esprit Saint, dans peu de jours… ” (Actes 1.5). Jamais pour un croyant biblique il ne s’agit d’un acte administratif d’un ecclésiastique, tout est action surnaturelle de Dieu dans ceux qui sont venus à la foi salvatrice en Jésus-Christ. Repentance et pénitence à cause de la vie que nous avons menée sans Dieu, conversion comme preuve du changement de notre marche, de la voie large au chemin étroit, nouvelle naissance par la Semence de la Parole de Dieu (Jacq. 1.18; 1 Pier. 1.23), renouvellement au plus profond de nous-même par le Saint-Esprit conformément à Tite, chapitre 3 — tout cela sont des expériences personnelles qu’une personne fait quand elle devient croyante. Chacun doit expérimenter lui-même que Dieu a établi une relation personnelle avec nous, et que de fils des hommes nous avons été appelés à devenir fils de Dieu. Le conseil peut être donné à tous de croire uniquement Dieu et de respecter les Saintes Ecritures pour seul modèle valable pour la foi, pour la doctrine et la pratique. De l’histoire de l’Eglise nous avons connu les réveils qui ont eu lieu depuis la Réforme, comme aussi tous les points de controverses. Martin Luther et les autres partagèrent en leur temps, au travers de leurs prédications, ce qu’ils avaient personnellement vécu: la grâce et la justification par la foi en Jésus-Christ, le Rédempteur. Puis suivit le réveil sous John Wesley et beaucoup d’autres, qui allèrent un pas plus loin et à côté de la justification publièrent la sanctification par la Parole qu’ils avaient personnellement vécue. John Smith suivit, avec beaucoup d’autres qui expérimentèrent personnellement l’apparition d’un nouveau réveil dans lequel ceux qui venaient à la foi étaient baptisés par immersion. Les siècles passés sont empreints de réveils qui conduisirent toujours plus profondément et rapprochèrent toujours plus les croyants de la Parole de Dieu et du témoignage de l’Eglise primitive. Dans chaque réveil il arrivait chaque fois que tous ceux qui croyaient le message de l’heure qui leur était prêché — que ce soit l’enseignement de la justification, de la sanctification, ou de l’effusion du Saint-Esprit — cela ils l’expérimentaient personnellement. Martin Luther ne put prêcher la justification qu’après l’avoir vécue tout personnellement. Ce fut pareil pour John Wesley. Il a personnellement vécu la sanctification par la Parole, puis il la prêcha. Ce fut ainsi avec John Smith, qui a aidé à la percée du baptême de ceux qui étaient devenus croyants. Cela arriva aussi dans le réveil de Pentecôte. Premièrement les frères le reçurent à Los Angeles, puis partout sur la terre ils expérimentèrent le baptême de l’Esprit, c’est alors qu’ils publièrent cette expérience, et tous ceux qui crurent leur témoignage l’ont de même vécu personnellement. Après la Seconde Guerre mondiale le Seigneur fidèle a Lui-même suscité une vocation divine et avec cela il a donné une mission particulière. En considération du proche retour de Jésus- Christ, le 7 mai 1946 il fut donné à William Branham un appel surnaturel, de même qu’Il le fit avec l’apôtre Paul autrefois, et il fut chargé de prêcher le Message divin de l’origine, qui devait précéder la seconde venue de Christ. Depuis les jours de notre Seigneur et du temps des apôtres il n’avait plus été donné un tel ministère sur la terre: les malades retrouvèrent la santé, les aveugles purent voir, les sourds entendre, les paralytiques aller, et même quelques morts ressuscitèrent. Le plein Evangile fut comme au commencement alors de nouveau prêché et confirmé directement de manière surnaturelle. Il est en général connu qu’environ 500 évangélistes aux Etats-Unis ont été inspirés par ce qu’ils ont vu et expérimenté dans les réunions de William Branham, et ont alors commencé leur ministère. C’est ainsi que le grand réveil mondial, dans lequel le salut des âmes et la guérison des corps furent prêchés et expérimentés en un temps très court parvint jusqu’au bout de la terre. Moi-même, des années 1955 à 1965, je fus témoin, de mes yeux et de mes oreilles, de ce ministère unique et puissant. Maintenant il ne s’agit plus de vérités partielles, comme dans les siècles passés; maintenant il s’agit de la publication du plein Evangile avec toutes les expériences, de l’exposé de l’ensemble du conseil de Dieu pour le salut — le plein rétablissement de l’ordre de salut divin dans l’Eglise de Jésus-Christ. Il s’ensuit l’appel à sortir de ceux qui veulent être prêts lors du retour de Jésus-Christ. Conformément à Matthieu, chapitre 25, retentit maintenant le cri: “Voici l’époux; sortez à sa rencontre” (Mat. 25.6). Tous ceux qui appartiennent à l’Eglise-Epouse entendent la Voix de l’Epoux. Le dernier Message doit s’accorder à cent pour cent avec le premier Message, afin qu’à tous ceux qui appartiennent à l’Eglise de Jésus-Christ soient prêchées les mêmes doctrines sur la Divinité, le baptême, le souper du Seigneur, etc. etc., qu’ils les croient et les expérimentent. Ce ne sont pas tous ceux qui disent «Seigneur, Seigneur» qui entreront dans le Royaume de Dieu, même s’ils ont prophétisé et accompli des miracles (Mat. 7.21-23), mais bien seulement ceux qui maintenant font réellement la volonté du Père céleste. Par la notion «Message du temps de la fin» est reliée la sortie de toutes les traditions, littéralement de tout ce qui n’est pas en accord avec Dieu et avec la Parole de Dieu (2 Cor. 6.14-18; Apoc. 18.4). Personne ne contestera que le Christianisme se trouve dans un grand chaos, directement dans la confusion et l’esclavage babylonien, et que tous parlent chacun son propre langage religieux. De là résulte maintenant le commandement fait au peuple de Dieu de sortir de tout ce qui nous sépare de Dieu et les uns des autres, et de revenir à la pleine harmonie avec l’ensemble de la Parole. Celui qui est de Dieu entendra la Voix de Dieu et comprendra ce que l’Esprit dit maintenant aux Eglises. A tous ceux qui cherchent sincèrement, je ne peux que m’écrier pour leur propre salut: “Aujourd’hui, si vous entendez sa voix, n’endurcissez pas vos coe urs” (Héb. 3.15). Amen! et Amen signifie: Ainsi soit-il!
Posted on: Fri, 20 Sep 2013 10:08:34 +0000

Trending Topics



height:30px;">
Your Spirit Animal is a Hawk Like the hawk, you are the
Libertagia is a real growing company based in Portugal, it ensures
As a teacher we are face with many challenges that most of us try
Selling>> 21 TV (not flat screen) + playstation2 w/ 1 memory card
Serenity as a man thinketh by James Allen. Calmness of mind is
Maher tricks panel with racist Paul Ryan quote - except Michelle
De ceva timp incoace ,de cand am anuntat mitingul

Recently Viewed Topics




© 2015