Il y a des années qui ne s’oublient pas. Des années qui - TopicsExpress



          

Il y a des années qui ne s’oublient pas. Des années qui marquent les esprits à tout jamais et que l’on aimerait reproduire à l’infini. C’est le défi que va tenter de relever le champion de France en titre cette saison. Un défi, oui, parce que réaliser un doublé (championnat, Coupe de France) tous les ans, cela paraît difficile… Mais pas impossible. Metz a de l’ambition et lorgne plus que jamais sur une place dans le Top 8 européen. Mais avant cela, il faudra conforter sa place de leader national et se méfier de l’autre grand favori, Fleury (vice-champion de France en 2013), un concurrent aux dents longues qui vient d’étoffer son équipe calibrée pour gagner en s’offrant les services de l’internationale Audrey Bruneau (arrière gauche), de l’ex Messine Katty Piéjos et le retour de l’ex internationale française Maakan Tounkara. Expérience et jeunesse « Le titre de champion de France est notre priorité », a réaffirmé le président de Metz Handball, Thierry Weizman qui a également fait part de son ambition de remporter la Coupe de la Ligue dont Metz en est cette année l’organisateur. Un trophée dont Metz n’a jamais fait grand cas mais qui représente un enjeu particulier cette année. « Nous nous devons de faire plaisir à nos spectateurs en nous qualifiant pour la finale. Nous avons besoin d’être présents. » Un mot d’ordre qui ne s’appliquera pas cette fois à la Coupe de France gagnée en juin dernier à Bercy. « Pour moi, cette année, elle est anecdotique. » Oui, Metz a de l’ambition et l’a démontré lors du Tournoi de Plan-de-Cuques où il s’est imposé en enchaînant quatre victoires face à Nîmes, Plan-de-Cuques, Nice et Toulon. Une victoire qui a conforté le champion de France sur la scène nationale après la dure réalité continentale du tournoi de Györ (Hongrie). « Nous avons réussi à tenir une mi-temps face à Györ (13-16 avant de s’incliner 34-19) et à faire match nul contre Leipzig », se félicite Thierry Weizman qui, s’il a très peu modifié son équipe, a en revanche pris le parti de se doter de trois gardiennes de niveau international (La Tchèque Barbora Ranikova est venue renforcer le duo Glauser-Pierson) et d’un entraîneur adjoint, Yacine Messaoudi, qui n’est autre que le responsable du centre de formation messin. Une manière aussi d’imposer la jeunesse comme une force. Miser sur les jeunes recrues est une alternative qui a d’autres avantages que le simple fait de boucler un budget toujours trop serré. Avec la gardienne Laura Glauser (20 ans), la paire d’arrières gauches Grace Zaadi (20 ans) et l’Espagnole Lara Gonzalez Ortega (21 ans), l’arrière droite Laura Flippes (19 ans) ou encore l’arrière gauche Déborah Kpodar (19 ans) issue de l’équipe réserve, Metz fait un pari sur l’avenir qui n’est pas sans risques mais qui demeure mesuré. L’expérience des Nina Kanto, Ekaterina Andryushina, Paule Baudouin, Svetlana Ognjenovic, Anastasiya Pidpalova, Kristina Liscevic, Gervaise Pierson, Yvette Broch et même de la nouvelle gardienne tchèque Barbora Ranikova est là pour faire contrepoids.
Posted on: Fri, 06 Sep 2013 06:19:41 +0000

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