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Je vous conseille de lire cette lettre ouverte à Mme la Sénatrice Sylvie Goy-Chavent et de regarder la vidéo du débat, grand moment de mauvaise foi, aucune connaissance de la question, attaque en règle contre la communauté juive, visiblement elle est venue avec peu d’arguments si ce n’est, le seul qui compte pour elle, son antisémitisme puant , grosse saloppe ! En fait, je pense que la partie du nom qu’elle porte ‘’GOY’’ y est pour quelque chose, cela à dû lui porter préjudice tout au long de sa chienne de vie ! Lettre ouverte à la sénatrice Sylvie Goy-Chavent novembre 20th, 2013 Europe-Israel.org Madame, j’ai vu et écouté attentivement le débat du 23 juil. 2013 sur Youtube et dont vous êtes l’instigatrice (voir la vidéo ici), Ce débat, auquel participaient Monsieur Joël Mergui président du Consistoire Israélite de France et le rabbin Bruno Fiszon, vétérinaire, vous vous êtes évertuée à en faire un procès d’intention. Et, bien que confinés dans un rôle d’accusés, ce sont eux qui vous maintenaient fermement sur votre fauteuil de procureur tout au long de votre prestation, chaque fois que vous étiez hors sujet. Et vous l’étiez en permanence, alors que le sujet était la souffrance des animaux : - À la 7ème minute et 10ème seconde, la taxe rabbinique que vous évoquiez est un accord tacite entre israélites et dont vous n’avez nul droit de vous immiscer. Mais vous le faites pour établir et conforter l’amalgame grossier de l’argent et des juifs. - À la 8ème minute et 14ème seconde du débat, vous vous trémoussiez de satisfaction après avoir posé une question à Monsieur Mergui, question que vous croyiez imparable, pour ensuite vous mordiller les lèvres, gesticuler, et, pour peu, lancer un cri de victoire. Secondes hallucinantes, Madame Goy-Chavent, revoyez ce moment… C’était à ne rien comprendre à votre jubilation : en quoi la liberté de conscience des uns (manger casher) peut-elle interférer avec celle des autres, (manger non casher) ? Si ce n’est que votre volonté affirmée de dresser un procès d’intention à la communauté israélite de France. - À la 18ème minute et 30ème seconde, vous évoquez les pratiques d’abattage en Israël. Là encore, pourquoi parler de ce pays, quand ce débat se déroule en France ? Ce n’est un secret pour personne : vous n’aimez pas Israël. - À la 21ème minute, comme pratiquement durant toute cette comédie, vous ne cessez de dodeliner de la tête, de sourire en coin, de jouer des lèvres et du regard… Et vos haussements d’épaules à répétition, vos jeux de mains à la marionnettiste, vos soupirs de fausse exaspération, vos mimiques, où donc vous croyiez-vous, sur une scène de spectacle ? Je vous recommande fortement de revoir l’enregistrement, ce qui vous permettrait d’adopter une attitude plus conforme à votre titre lors de vos prochains débats. - À la 22ème minute et 11ème seconde, vous demeurez de bois, lorsque Monsieur Mergui vous éclairait sur le respect que le Judaïsme accorde aux animaux. Et il est bon que je vous le répète, pour que cela soit bien enfoncé dans votre tête, sachant que vous foutez du bien être des animaux comme de votre première chemise et que votre seul but hypocrite est de diaboliser les Juifs, et Israël par extension. Le Dixième commandement stipule de ne pas faire travailler son animal domestique, son serviteur, son invité, etc… Et, ainsi que Monsieur Mergui vous l’a souligné, que l’homme a le devoir de nourrir son animal avant sa personne. Dans quelle autre religion, ou parti politique, trouverait-on pareille éthique humanitaire ? - À la 43ème minute et 56ème seconde, vous persistez à dire que les scientifiques (certifiant que la bête abattue selon les règles de la casherout ne souffre pas outre mesure), sont juifs, vous faites preuve là d’une nette propension à l’antisémitisme, cet antisémitisme d’autant plus sournois et dangereux que vous le vouliez subtil. - À la 59ème minute et 22ème seconde, un intervenant se mêle les pinceaux et discrédite lui aussi la pertinence d’un tel débat ; tout comme les autres intervenants, dont Madame la Présidente, Bernadette Bourzaj qui, elle, ne trouve pas ses mots pour justifier la nécessité de cette rencontre. Tant de temps et de moyens perdus, rien que pour vous, Madame Goy-Chavent ! Ce débat, initié par vos soins, était une véritable tartufferie à laquelle Messieurs Joël Mergui et Bruno Fiszon s’étaient pourtant prêtés avec tact et patience, face au procès d’intention, indigne de toute instance gouvernementale. Dans le rôle de procureur que vous vous êtes assignée, votre prestation était plutôt celle d’un médiocre universitaire dans sa soutenance de thèse, tant vos connaissances en la matière étaient superficielles. De quoi s’agissait-il, au juste, dans cette absurde commedia del arte ? De votre humanisme à l’égard de certains animaux, élevés et abattus en territoire français, sur lesquels vous verseriez des larmes parce qu’ils ne sont pas assommés avant d’être abattus ? Mais pour que votre humanisme soit pris en considération, il aurait fallu que vous soyez une Brigitte Bardot végétarienne avant toute chose et que vous l’ayez signifié tout au début. N’était-ce Monsieur Mergui, qui vous éclairait et vous guidait dans votre stratégie, personne dans les tribunes n’aurait compris où vous vouliez en venir. Vous le savez maintenant, les porcs (carnivores de leur état, mangeurs de leurs propres excréments pour l’avoir constaté dans mon enfance), le cheval – meilleur ami de l’homme -, les carnassiers, les charognards, les oiseaux de proie, les bestioles de mer, bref tout ce qui n’est pas ruminant et ayant le sabot fendu, tout ce qui n’a pas d’écailles et de nageoires, tout cela est impropre à la consommation pour celles et ceux qui désirent manger casher… Tout comme le sang des animaux, après abattage, l’est également : d’où l’absorption du sang des viandes crues par le sel, pour que seules les fibres musculaires demeurent. Bref, des règles d’hygiène alimentaire datant de plus de 2000 ans. Pas mal, n’est-ce pas, pour un peuple à la nuque raide, et dont les préceptes alimentaires ont préservé les mangeurs casher des scandales et des méfaits du commerce de la vache folle. Vous vous en souvenez ? Vous prétendez, âme sensible, que la bête souffre si elle est n’est pas assommée avant d’être égorgée. Qu’en savez-vous ? Une vache, un agneau, un mouton ressuscité serait-il venu vous le dire ? Vous avanciez des arguments scientifiques et Messieurs Mergui et Fiszon en avançaient de plus fiables. Lorsque Monsieur Mergui évoquait la pratique de la chasse et des corridas, interdite dans la religion juive, vous rétorquiez que la chasse, (cribler de plomb un cerf dans un bois), ce n’est pas grave, quand on songe à l’agonie d’un chevreuil ou d’une biche blessée ; et la pratique barbare des corridas vous laisse de glace… vous qui clamez vouloir éviter la souffrance aux animaux. Une telle bévue ne pouvait que vous discréditer sur le champ. Zéro pointé, Madame Goy-Chaven. Encore une fois, ce débat n’était rien d’autre qu’une tartufferie. Les chiffres, les statistiques que Messieurs Mergui et Fiszon vous soumettaient, ne risquaient pas de vous faire dévier d’un degré de votre parti pris. Vous leur lanciez, avant même d’en prendre note, être certaine de ne pas être convaincue. N’a-t-on jamais vu une telle manifestation de mauvaise foi, vous, une sénatrice, prise en flagrant délit de mauvaise foi ! Craindriez-vous de donner raison au dicton disant qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis ? À chercher ainsi de poux là où il n’y en a pas, l’on se demande à qui cela profite. Et votre prochain débat serait sur quoi ? La circoncision en France, les façades des synagogues, les tenues vestimentaires juives, le port de la kipa, le placement de la mezouzasur les portes d’entrée juives ? En quoi cela vous regarde, toutes ces pratiques religieuses juives datant de 2000 ans ? Ou, en vérité, une tactique pour exacerber sournoisement le sentiment antisémite qui n’est que trop ancré et de plus en plus galopant en France. Madame Goy-Chavent, cela ne fait pas l’ombre d’un doute, vous êtes une antisémite, ayez le courage de l’assumer pleinement, sans faux semblant… Mais c’est dans l’espoir qu’il vous reste tout de même une part de bonne foi, que je vous suggère de lire l’essai intitulé L’antisémitisme expliqué aux antisémites de Frédéric Ray Yvellin. Vous comprendrez tout, et peut-être même feriez-vous votre mea culpa, au point de devenir une amie des Juifs et d’Israël. L’essai dont je vous parle n’est pas encore vendu en librairie, mais je ferai en sorte que vous puissiez l’obtenir, si vous me le demandiez. Dans l’attente de vos nouvelles, Raphaël Lévy raphael-a-levy raphael.levy.26@gmail Auteur de « L’homme qui voulait changer le monde » et de « David, la vie fabuleuse du berger devenu roi d’Israël ».
Posted on: Thu, 21 Nov 2013 22:00:41 +0000

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