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Je vous invite à lire notre lettre dinformation n°37 Octobre 2013 Nouvelle Série n°37 Initiative pour le Socialisme est une association à but non lucratif (JO du 20.12.2008) ÉDITORIAL : Chaque semaine en France, et dans une grande partie de la zone euro, des délocalisations, des suppressions massives d’emploi, notamment industrielles, sont annoncées. Les défenseurs du sytéme économique invoque la crise sans plus la définir. Qu’est-ce qu’une crise ? Pour ceux qui pensent que l’économie fonctionne par cycle c’est un moment de retournement brutal du cycle économique. Cette théorie pourrait expliquer la crise de 1973, peut être celle de 2008 (crise financière) mais pas la situation actuelle. Pour d’autres économistes la crise est une période de stagnation durable de la conjoncture économique. La crise financière de 2008 est sans doute terminée, le cours des valeurs mobilières n’est plus à la baisse ce qui ne veut pas dire que le système financier ait retrouvé des bases plus saines. Mais la situation actuelle est-elle vraiment une crise ? ce n’est pas certain il s’agit plutôt d’une restructuration du capital à l’échelle internationale. La recherche du profit aboutit à pratiquer le dumping social et fiscal à une grande échelle et à mettre les différents pays en concurrence sur ce plan. En France il y a eu plus de résistances sociales et la diminution des protections sociales a été moins forte et moins rapide que dans d’autres pays de la zone euro d’où cette accélération des « réformes » de ces dernières années et le chantage patronal permanent à la perte de compétitivité. L’alternance de gouvernement n’est pas fondamental face à ce phénomène. En Espagne l’alternance entre le PSOE et le Parti Populaire n’a pas créé de vraie rupture, en France il en va de même dans l’alternance UMP-PS tout au plus une surenchère verbale de l’UMP. A chaque alternance le nouveau gouvernement justifie les mesures anti-populaires par le passif laissé par son prédécesseur. En réalité ces mesures anti-populaires aggravent la situation. Les réflexes électoralistes ont la vie dure et les victimes recherchent souvent un parti ou une personne providentielle fusse-t-elle nationaliste. Bien sûr ce choix se révélerait être une nouvelle impasse. Il est certes beaucoup plus difficile de se dire qu’il n’existe pas d’autre sauveur que notre capacité de résistance et notre action collective. ALBERT SAGEAT SOMMAIRE Éditorial : Page 1 Panorama Social : La réforme des retraites,La Pauvreté Pages 2-3 Panorama Politique : Nucléaire, Gaz de schiste, Front Républicain, Front Réactionnaire… Pages 3-4 International : Kosovo, Palestine Pages 4 -5-6 PANORAMA SOCIAL La Réforme des Retraites Le 10 Septembre dernier à l’appel de la CGT, de la CGT-FO, de la FSU et de Solidaires s’est déroulée, en France, une journée de grève et de manifestations. Les manifestations ont revêtu une certaine ampleur (plus de 300 000 manifestants en France) alors même que les principaux médias avaient annoncé, à l’avance, un échec des manifestations. Certes les mots d’ordre dans ces manifestations n’étaient pas toujours exempts d’ambiguité. Un document de la CGT titrait « une bonne réforme des retraites c’est possible « alors que la revendication d’une autre réforme est en elle-même démobilisatrice et, qu’en l’occurrence, ce qui est en jeu c’est la viabilité du système par répartition ou sa mise en concurrence avec un système par capitalisation. Le document CGT reconnaît que l’allongement de la durée de cotisations n’a pas pour objectif de faire travailler plus longtemps, mais vise à abaisser les pensions, c’est le cœur de cette réforme. Certes bon nombre de salariès n’étaient pas en grève, ni dans la rue parce qu’ils sont désabusés après les 2 défaites de 2003 et de 2010 et qu’ils subissent le matraquage médiatique selon lequel il n’y aurait pas d’argent dans l’avenir pour payer les retraites. Le gouvernement a fait ce choix de s’attaquer au système par répartition et de promouvoir la capitalisation. Cette réforme commencera à prendre effet en 2020 et atteindra son effet maximal en 2035. Pourquoi un tel délai ? En étalant cette réforme sur 15 ans la capitalisation (sous diverses formes) pourrait se substituer progressivement auprès des jeunes générations et les générations les plus proches de la retraite- souvent plus mobilisées - seront relativement épargnées. Cette réforme sacrifie les jeunes générations et parmi eux encore plus les étudiants ce que soulignait l’Unef. Les étudiants devront continuer à racheter des trimestres de cotisations à des prix exhorbitants alors même que les apprentis verront l’ensemble des trimestres d’apprentissage être validés. Il faudra être issu d’une famille aisée pour faire des études à temps plein demain et parier sur la capitalisation. Les établissements financiers, mais aussi parfois mutualistes, ont bien compris le sens de cette réforme et multiplient les actions de promotion pour les produits de capitalisation. Pendant ce temps les directions syndicales, opposées à cette réforme (CGT-FO-Fsu-Solidaires),pratiquaient une longue pause dans l’action de plusieurs semaines. La mini-mobilisation du 15 octobre correspond à un minimum syndical et non à une volonté de mettre en échec le gouvernement. Le gouvernement et sa majorité, plus disciplinée qu’on ne le dit, avance à marche forcée. L’article 2 du projet de loi, qui porte progressivement à 43 annuités la durée de cotisation pour avoir une retraite entière, a été adopté par une minorité de députés présents dans la nuit du 9 octobre (101 voix pour et 64 contre sur 577 députés !). Le gouvernement a su faire le rappel des troupes et faire adopter le projet de loi par la majorité PS. 268 députés PS ont voté pour, 17 se sont abstenus. La plupart des députés d’Europe- Ecologie et du groupe Radical se sont abstenus ce qui a permis au gouvernement de crier victoire, si ces députés écologistes et radicaux avaient fait preuve de courage politique et voté contre ils auraient permis le rejet du projet (sous réserve que les groupes conservateurs ne changent pas leur vote). Si les députés Front de Gauche ont logiquement voté contre, le vote contre des députés UDI et UMP est plus surprenant (l’UMP souhaitant porter l’âge légal à 65 ans). Surtout l’UMP ne souhaitait pas voir le gouvernement triompher tout en sachant que le projet de loi passerait. Il faut noter que la procédure est rapide, les débats relativement brefs : rien à voir avec les longs débats qui ont précédé l’adoption de la loi pour le mariage pour tous ! Certes le texte est aujourd’hui devant le Sénat mais il n’y a pas grand-chose à espérer de cette navette parlementaire… Selon toute vraisemblance le projet de loi devrait être promulgué dans les prochaines semaines alors qu’il s’agit d’une régression sociale très importante beaucoup plus que la réforme Woerth-Sarkozy. Le 23.10.2013 Certains groupes réactionnaires visent à semer le trouble et à opposer salariés du public et du privé. De nombreux salariés et retraités ont reçu un courrier d’une association « Sauvegarde Retraites » et appelant à signer une pétition… contre les avantages des retraités de l’EDF qui pilleraient et mettraient en danger la Caisse Nationale d’Assurance Vieillesse au moment même où le gouvernement présente un projet de loi qui menace la solidarité inter-générationnelle. La Pauvreté En France 8.6 millions de personnes vivent en dessous du seuil de pauvreté (977 euros par mois pour une personne seule). Parmi cette population pauvre 31 % ne peuvent se chauffer convenablement, 43 % ne mangent pas de viande un jour sur deux, 21 % n’ont pas d’automobile… Les personnes vivant en dessous du seuil de pauvreté ne sont pas toujours au chômage mais certains chômeurs renoncent à des CDD de très courte durée car ces contrats entraînent des frais supplémentaires pour un revenu supplémentaire faible. Contrairement à une idée reçue tous les pauvres ne sont pas des assistés, certains bénéficiaires potentiels d’aides sociales ( en particulier le RSA ou le tarif de première nécessité d’EDF) renoncent à en faire la demande pour des raisons diverses. PANORAMA POLITIQUE NUCLEAIRE Le Collectif » STOP-EPR ni à Penly ni ailleurs » considère la prolongation de la durée dexploitation des réacteurs nucléaires de France comme inacceptable. Selon ce collectif le gouvernement Ayrault sapprêterait à annoncer un nouveau prolongement des réacteurs nucléaires. Si le conseil de politique nucléaire, institution créée par Nicolas Sarkozy pour réaffirmer le pilotage politique de la filière nucléaire, décidait effectivement détendre lexploitation des réacteurs nucléaires il répondrait favorablement aux revendications dEDF aux dépends des intérêts du plus grand nombre. En effet lancien groupe public ne cesse de faire pression sur les pouvoirs publics depuis une décennie pour utiliser les centrales au delà de la durée envisagée lors de leur construction, bénéficiant de revenus confortables apportés par des installations amorties depuis longtemps. Il faut reconnaître une réelle contradiction entre cette intention du gouvernement… et le modeste engagement de campagne du candidat Hollande de ramener de 75 % à 50 % la part du nucléaire dans lélectricité consommée en France. Le gouvernement Ayrault na manifestement pas entendu lavertissement clair de lAutorité de sureté nucléaire. Le 2 octobre dernier, Pierre-Frank Chevet lui-même rappelait que la France ne doit pas compter sur ses réacteurs nucléaires au-delà de 40 ans Le conseil de politique nucléaire devrait concevoir un calendrier précis darrêt des réacteurs nucléaires dici 2025. La fermeture de la seule centrale de Fessenheim ne suffit pas. Il sagit aujourdhui denvisager un plan de transition énergétique à la mesure de la menace économique, sociale et environnementale que représente le nucléaire. Pour plus d’information contacter Le Collectif » STOP-EPR ni à Penly ni ailleurs » c/o Maison des associations et de la Solidarité 22, rue Dumont dUrville, 76 000 Rouen GAZ DE SCHISTE Le Conseil Constitutionnel, à l’occasion d’une question prioritaire de Constitutionnalité a déclaré la loi du 13 juillet 2011 conforme à la Constitution. Il y a 118 demandes de permis (ou de renouvellement) sur lesquelles l’Etat doit se prononcer et promulguer des arrêtés de rejet. Pour les 59 permis de recherche et les 64 permis d’exploitation déjà attribués, les Collectifs STOP AU PETROLE ET AU GAZ DE SCHISTE demandent qu’un examen technique rigoureux soit réalisé et, s’il y a lieu, que les permis soient abrogés. Par ailleurs un rassemblement réussi de plus de 2000 personnes à Saint –Claude (Jura) le 19 octobre dernier contre la fracturation hydraulique a tenu à rappeler son opposition totale à ce type d’extraction . Pour plus d’information contacter [email protected] Front Républicain ? Front Réactionnaire ? Le Front Républicain a été mis en échec à Brignoles. Cette alliance contre-nature du PCF à l’UMP a fonctionné un certain temps, avec un pic au deuxième tour de la présidentielle de 2002. Elle a donc empêché un petit nombre d’élus du Front National au prix d’une déperdition de voix et d’un renforcement du Front National (justifiant sa thèse de la bande des 4 puis de l’UMP PS). Ce front a surtout fonctionné au profit de l’UMP (avant 2002 du RPR ou de l’UDF) plutôt que du PS. En niant tout clivage de classe, en faisant du fraudeur, du spéculateur l’allié du salarié il a découragé nombre d’électeurs des partis se référant à la gauche. L’électorat de l’UMP d’aujourd’hui (très peu populaire) est beaucoup moins sensible à cette alliance que celui du RPR d’autrefois… la seconde guerre mondiale, la guerre d’Algérie sont loin. Le Front National, qui dénonce les dirigeants de l’UMP pour leur soumission à l’Europe de Bruxelles, au mondialisme retrouve des vertus aux représentants locaux de l’UMP qu’il qualifie de “patriotes” (sic). Ainsi se dessine un front réactionnaire entre des nationalistes et des libéraux faisant l’impasse sur l’Union Européenne, le libre-échange et le souverainisme. De son côté le Front de Gauche a du mal à dégager une stratégie cohérente. Etre (ou ne pas être) dans l’opposition au gouvernement. Le PCF, au moins au niveau des majorités municipales, continue à faire alliance avec le PS dont il dénonce le caractère nocif de sa politique au niveau national. Le Parti de gauche réfute, généralement, cette stratégie et préfére aller sous ses propres couleurs. Pour la population cette stratégie électoraliste est peu compréhensible et pousse l’électorat populaire vers l’abstention. INTERNATIONAL Kosovo La région du Kosovo fut occupée par l’empire ottoman à partir de 1459. Le Kosovo fut intégré à la Serbie par le traité de Bucarest qui mis fin à la deuxième guerre balkanique en 1913. Cette région historiquement serbe a vu sa population albanaise devenir majoritaire au fil des années. Après la seconde guerre mondiale le Kosovo devint une province autonome de la République de Serbie au sein de la Fédération Yougoslave. En 1974 cette autonomie du Kosovo est renforcée. En mars 1981 des manifestations d’albanais ont réclamé le statut de république ce qui a entraîné des violences et une répression de la part des autorités fédérales. En 1989 cet équilibre fragile est rompu suite à des tensions inter-ethniques, S. Milosevic et son gouvernement supprime l’autonomie constitutionnelle du Kosovo ce qui constitue une erreur politique. Les Kosovars albanais font une déclaration constitutionnelle de scission. Le Président kosovar auto-proclamé I. Rugova n’exerce pas réellement le pouvoir. En 1997, grâce à l’armement occidental, se constitue une armée kosovare albanaise l’UCK qui multiplie les actions de guerilla. Le gouvernement allemand présente un faux plan serbe de déportation des kosovars albanais dit le plan « Fer à cheval » dans le but de provoquer l’intervention militaire de l’OTAN. Entre mars et juin 1999 l’aviation de l’OTAN a bombardé et détruit de nombreuses infrastructures civiles de la Serbie et du Monténégro. La police et l’armée serbe se sont retirées du Kosovo laissant 300 000 civils serbes cohabiter avec plus de 1 600 000 kosovars albanais. Le Kosovo est, théoriquement, placé sous mandat de l’ONU en fait les forces occidentales (Minuk, Kfor) qui occupent le Kosovo ne protègent guère les civils serbes dont plus de la moitié ont dù partir. En 2001 l’UCK de Hashim Thaçi a donné naissance au Parti Démocratique du Kosovo qui a remporté les élections de novembre 2007. Hashim Thaçi, à l’origine marxiste-léniniste sur le modèle albanais, s’appuye, aujourd’hui, sur les USA et veut faire du Kosovo une base arrière de l’OTAN. Il proclame, unilatéralement, l’indépendance du Kosovo en février 2008 qui est immédiatement reconnue par les USA et ses alliés mais pas par la Russie, ni la République Serbe. Cette indépendance risque de provoquer un nouvel exode des serbes du Kosovo et des autres minorités notamment rom (dans un référendum les serbes du nord du Kosovo ont rejeté cette indépendance). Hashim Thaçi et ses hommes sont souvent accusés (y compris par le Conseil de l’Europe) de prélévements d’organes sur des prisonniers et de divers trafics dont le trafic de la drogue. L’Union Européenne a imposé à la République de Serbie de renoncer à soutenir les Serbes du nord du Kosovo. C’est la monnaie d’échange à l’ouverture de négociations sur l’adhésion de la Serbie à l’Union Européenne. Le Kosovo, dirigé, par les albanophones, accepterait de reconnaître une certaine autonomie aux serbes du Kosovo (accord d’avril qui offre trés peu de garanties à ces derniers). Au début novembre sont organisées des élections municipales au Kosovo. Le pouvoir serbe de Belgrade les pousse à participer à des élections qui signifieraient une acceptation de fait de la sécession du Kosovo. En effet ce scrutin est appuyé par l’U.E. qui y voit une application concréte de l’accord d’avril dernier. Le régime serbe multiplie les pressions sur les serbes du nord du Kosovo pour qu’ils participent à ces élections. La population serbe, notamment de Mitrovica, reste hostile, à ce jour, à ces élections. Les kosovars albanais, minoritaires dans le nord du Kosovo, présenteront des listes pour s’emparer des municipalités. Les Serbes du Kosovo, abandonnés par l’état serbe, ont des choix difficiles à faire. Le droit à l’autodétermination des peuples est un principe qui n’est pas à géométrie variable. Ce droit pose un problème à chaque fois qu’un état comprend plusieurs peuples : le droit à l’autodétermination d’un peuple ne doit pas mener à la négation ou à l’expulsion des autres. Dans ce cas la solution de la sécession paraît inadéquate, la fédération paraît bien préférable, la partition du pays n’est pas une bonne solution mais peut être admise, dans certaines circonstances historiques, lorsque les populations refusent de cohabiter. L’exemple de l’éclatement de la Fédération Yougoslave a amené à une impasse entraînant l’expulsion de populations entières. Les Serbes, en particulier ceux du Kosovo, sont, aujourd’hui, victimes, après avoir voulu imposer une Grande Serbie au détriment d’autres peuples de la Fédération. L’impérialisme a choisi de soutenir les kosovars albanais. Pourquoi ? Parce que le Kosovo est la région la plus pauvre et dépendra étroitement de la puissance dominante. * *Voir la LI N°1 de Mars 2008 PALESTINE Comme il était prévisible le “succès diplomatique” à l’ONU de l’Autorité Palestinienne concernant le statut d’état observateur non membre n’a débouché sur aucune avancée concrète pour le peuple palestinien…Ces derniers mois la colonisation sioniste s’est intensifiée en Cisjordanie, le blocus de Gaza perdure. Le chef de l’Autorité Palestinienne a affirmé que son objectif était un accord de paix définitif avec Israël et non de nouveaux accords intermédiaires. Ces négociations qui durent depuis les accords d’Oslo il y a vingt ans sont une impasse. Depuis le vote de l’ONU l’AP s’est totalement alignée sur la thése des deux états qui interdit de fait le retour des réfugiés. Israël est dans une situation de force, il bénéficie d’une division profonde entre les pays musulmans dominés par les sunnites (Qatar, Turquie, Arabie Saoudite…) et ceux à prédominance chiite (Iran et ses alliés). La guerre civile en Syrie est pour Israël une situation très favorable. L’état sioniste soutient les rebelles dans leur déstabilisation du pays. Toutefois Israël n’a aucun intérêt à voir s’installer un pouvoir fondamentaliste à Damas. Israël pourrait se permettre une reprise des pourparlers avec M. Abbas mais n’a pas d’intérêt à la conclusion d’un accord. Selon un récent sondage la majorité des Israëliens serait favorable à une solution à deux états mais beaucoup voudraient conserver les colonies en Cisjordanie. Au sein même du gouvernement israëlien certains refusent toute négociation sur la base des frontières de juin 67. Dans ces conditions les autres formations palestiniennes (Hamas, Front Populaire de libération de la Palestine…) sont plutôt opposées à des négociations sans préalable, ni garantie. Reste la relation entre Israël et les USA. Les USA tirent-ils les ficelles et Israël serait un éxécutant comme le pensent certains anti-impérialistes ou toute au contraire aucun gouvernement américain ne peut s’opposer à Israël en raison de l’influence sioniste aux USA comme le pensent d’autres ? La réalité est sans doute entre les deux, Israël et les USA sont en interaction et non dans un rapport de dominant-dominé. Jean-Pierre Richaudeau Directeur de Publication Il suffit d’adresser un message à [email protected] pour communiquer une information. Vous pouvez librement reprendre les informations publiées dans la LI en indiquant la source. La Lettre d’Information n’est affiliée à aucun parti politique. Si vous n’êtes pas intéressé par la Lettre d’Information il suffit de nous demander de cesser de vous adresser cette lettre d’information.
Posted on: Sun, 27 Oct 2013 14:30:20 +0000

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