LA BIOGRAPHIE DE VITAL KAMERHE Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi - TopicsExpress



          

LA BIOGRAPHIE DE VITAL KAMERHE Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi, SELON LE GRAC par mpp le 14 juillet 2011 Chers compatriotes, Le GRARC met à votre disposition la biographie plus ou moins exhaustive du sieur Vital Kamerhere Rwakanyasigize,alias Lwa Kanyiginyi Nkingi. Le GRARC demande à chacun de vous de s’en imprégner ,afin d’ouvir l’oeil et le bon,pour que,plus jamais,notre pays ne retombe sous la coupe d’une puissance extérieure,fût-elle le Rwanda . Je vous en souhaite une bonne lecture Bonne journée/soirée chez vous, Thomas MBEMBEL Président du GRARC VITAL KAMERHE Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi ET LES 200 MILLIONS DE $ DETOURNES ————————————————————————————————————————— Mise au point : Chers compatriotes, Le GRARC ,qui a pris la décision de ne plus laisser les congolais dans les ténèbres de l’ignorance, a décidé de vous présenter aujourd’hui un des rares spécimens de l’imposture dont les jongleries ont longtemps fait illusion, au point de séduire et de tromper même ceux d’entre nous qui ne sont pourtant pas dépourvus d’équilibre psychologique. Il s’agit de monsieur Vital Kamere ou Kamerhe Rwakanyasigize alias Lwa Kanyiginyi Nkingi Vital Kamerhere, en effet,est accusé par une grande majorité de Congolais, notamment ceux de Kikwit où il avait passé la majeure partie de sa jeunesse, comme étant originaire du Rwanda. De ce fait, comme le souligne l’ambassadeur américain à Kinshasa (voire Wikileaks) et plusieurs diplomates occidentaux, il est un artiste, menteur, jongleur et manipulateur. Les mêmes qualificatifs dénoncés par tous ceux qui connaissent bien tous les Tutsi. En réalité, il est donc prudent de faire attention quand nous parlons d’un Rwandais et ou d’un Tutsi car il n’y a pas de différence par leur façon de percevoir la vérité. C’est dire que toute leur existence socio-politico-économique est émaillée par les mensonges dépassant tout entendement du plus petit au plus grand en passant par les autorités publiques. C’est dans leur nature. Le mot « Kamere » est qui signifie en Kinyarwanda : nature, habitude, comportement alors qu’il n’existe pas dans la langue dont il se réclame : le « Shi ». Les ethnologues trouveront les matériaux permettant de rétablir la vérité dans un avenir proche pour le compte de l’histoire de la nation congolaise. I.- NAISSANCE ET ETUDES : Il est né un certain 4 mars 1959, à Cyangugu, au Rwanda, poste frontalier avec le Congo dans le Sud-Kivu. Sa grand-mère est Rwandaise et vit encore à Cyangugu et son cousin est le général de brigade rwandais Gratien KABILIGI. Fils de Constantin, arrêté le 18 juillet 1997 par le Tribunal Pénal International pour le Rwanda et transféré à Arusha, en Tanzanie. Leur grand-père commun est M. KANYIGINYA du clan royal Hutu des Banyiginya de la Préfecture de Cyangugu. Le général Gratien KABILIGI est né à Rusunyi en décembre 1951 et il a fait ses études secondaires au Collège St Paul à Bukavu ,sous les bons soins de son oncle paternel Constantin KAMERE. Avant le génocide de 1994 au Rwanda, le général Kabiligi était commandant des opérations à Byumba, au Rwanda, avant de devenir commandant des opérations au Sud-Kivu pendant l’aventure de l’AFDL. On retrouvera Vital Kamerhere dans les années 70 à Kikwit, dans le Bandundu avec son oncle, travaillant à l’Office des Routes pour les uns et comme Assistant à l’I.S.P./Kikwit, pour les autres. Et lui, il est parti étudier à Kikwit Sacré/Cœur plus précisément à INDOBO (Institut St Jean-Bosco, des Frères Joséphites) de 1971 à 1975. Lui-même dira , à l’Institut St François Xavier (en maths et Physique), Institut Sadisana (ex ISFX). Il quittera Kikwit pour Kananga, ,pour étudier à l’Institut Mulemba de 1976 à 1980, pour avoir son diplôme d’Etat, en 1980. Il mettra à son actif ce périple riche en découvertes pour apprendre à parler non seulement les quatre langues nationales du Congo (tshiluba, kikongo, swahili et le lingala) mais aussi le Kinyarwanda et le kirundi. Mais il ne saura se comparer à certains intellectuels congolais tels que le Professeur Mathieu Musey qui en parle et écrit couramment 11 langues et le Cardinal Monsengwo, 16 langues du monde et du Congo. Cette perfidie de polyglotte aurait facilité et en même temps justifié amplement le recrutement de Rwakanyasigize Kamere dans les services de renseignements rwandais afin d’infiltrer les institutions de notre pays. Il ira s’inscrire à l’Université Nationale du Zaïre (UNIKIN) à Kinshasa, de 1980 à 1987 pour obtenir une Licence en Economie agricole (C’est sa spécialité) et il sera retenu comme assistant de 1987 à 1995. En 1995, il sera chargé des cours à l’IPN, en gestion financière. Il est marié à la fille de l’honorable BOJI, Mme Mamick Boji, une Mushi du Sud-Kivu, il est père de huit enfants. C’est sa femme qui est originaire du village Ngweshe, Secteur Bulwi, territoire de Walungu, district et province du Sud-Kivu. Par stratégie, il a endossé l’étiquette de « mushi » à la place de son épouse. II.- Carrière politique : 1.- Sous Mobutu : 1988-1989 : Il était coordinateur de la Cellule d’études et de planification de l’Enseignement supérieur et universitaire ; 1989-1990 : Il fut conseiller dans le cabinet du Ministre des Mines et Energie (Mushobekwa Kalimba wa Katana ?) ; 1991-1992 : Conseiller au cabinet du vice-premier ministre et ministre de l’Industries et PME et, en 1992-1993 : conseiller au cabinet du Ministre des PTT ; 2.- Sous la Transition : Il se dit président de la Jeunesse de l’USORAL. Je peux confirmer ici que cette structure n’avait jamais existé à l’USORAL (qui n’a été créée qu’après les négociations du Palais du Peuple). A l’USOR, il y avait le STOP (Secrétariat technique de l’Opposition radicale, avec souvent, Kibasa-Maliba, Jacques Matanda, José Otshudi Olengankoy etc…). Mais d’autres sources confirment qu’il militait en ce moment là, au sein du FROJEMO (Front des Jeunes Mobutistes) qui, à l’époque, avait assassiné l’Editeur du journal NSEMO et Inspecteur des Finances, Adolphe KAVULA (conseiller financier de l’UDPS). Il semble qu’il avait été directeur de cabinet de Loseke Tharcisse alors ministre de l’Environnement et du Tourisme de Tshisekedi dans le gouvernement issu de la Conférence Nationale Souveraine. Il reste à vérifier ! En 1994, il est dans la cellule de crise du cabinet du Premier ministre, Léon Lubicz alias Kengo wa Dondo et participera à certaines négociations. C’est donc depuis des années que le sieur Vital Kamerhere travaille en intelligence avec le Rwanda, son pays d’origine, jouant fidèlement une partition conçue et exécutée par les Maestro Paul Kagame et Hyppolite Kanambe. 3.- Sous l’AFDL ET « Joseph Kabila » : 1997-1998 : Il est directeur administratif (des ressources humaines) au Service National, au cabinet du général Denis Kalume ,dans le cadre de la politique de l’autosuffisance alimentaire (Il avait le profil de l’emploi au vu de son diplôme, économie agricole !). Son comparse, Kikaya Bin Ramazani, dit de lui : « Sur ces entrefaites survient la guerre du 2 août 1998, le général Denis Kalume se voit confier des missions militaires. Kamere se retrouve tout naturellement dans les rangs des négociateurs de l’Accord de Lusaka. Voilà comment M. Kamerhe, à l’ombre du général Kalume, entre dans le pré carré de M’zee. Charmeur notoire, pianotant sur les fibres swahiliphones, il parvient à contourner son chef direct et tente même de marginaliser M. Yerodia Abdoulaye Ndombasi pendant les négociations. L’audace va jusqu’à pousser Vital Kamerhe à signer des documents non-avalisés par ses supérieurs, ce qui a failli lui coûter la prison, n’eût été la clémence du président Laurent Désiré Kabila ». C’est à Lusaka qu’il sera découvert comme agent appartenant aux services secrets rwandais de Paul Kagame et de Ruberwa Azarias distribuant l’argent de la corruption aux délégués congolais. De retour à Kinshasa, il sera entendu sur procès-verbal au Comité National de Sécurité (sous Nono Lutula) pour ses activités subversives pro-rwandais à ces assises. Vital Kamerhe Rwakanyasigize sera ainsi démasqué comme sujet Rwandais infiltré au Congo depuis sa jeunesse. 1998-1999 : Il est directeur de cabinet au Ministère de la Reconstruction nationale, chez le général Kalume. 5.- LA MONUC ET LE CONGO : 1999-2002 : Au moment de la signature de l’accord de siège entre la RDC et l’ONU pour la mise sur pied de la MONUC, il sera désigné Commissaire général adjoint du gouvernement auprès de la MONUC. Le titulaire est M. Léonard NTWAREMBA ONFRE. Gustave VANGU Mambweni, sera nommé aussi Commissaire général adjoint comme lui. A la recherche de la visibilité et voulant être de toutes les négociations, Vital Kamerhe va davantage pianoter sur les fibres swahiliphones pour supplanter son nouveau chef. Son comportement de mouchard va desservir la cause nationale et annihile l’action de cette structure qui avait pour mission de gérer les relations entre le gouvernement et la MONUC. Vous remarquerez que dans son C.V. lancé sur son site, il ne parle que de lui, expert ( !) (Economie agricole ?!) dans la signature de certains accords avec la MONUC et les agresseurs, alors qu’il n’était qu’un adjoint de Léonard Ntwaremba et collègue de Vangu Mambweni qui a fini par être empoisonné ! (expert en co-rédaction, en co-signature ! n’étant ni politologue ni juriste !). 2002-2003 : Il est nommé par « Joseph Kabila », en qualité de Commissaire général chargé de la Paix dans les Grands Lacs. A ce titre, il prendra part aux négociations de Gaborone, Addis-Abeba, Pretoria, Luanda, Lusaka et SUN CITY (Afrique du Sud). 6.- DIALOGUE CONGOLO-RWANDAIS (D.I.C) : « NOUS SOMMES TOUS LES ENFANTS DU RWANDA » A l’aube de l’étape préparatoire de ces pourparlers, un médiateur, mieux un facilitateur a été nommé en la personne de Sieur Ketumile Massire, ancien président du Botswana. Les invitations ont été lancées pour une première rencontre à Gaborone, en 2001 et ensuite, aux étapes d’Addis-Abeba, Luanda, Pretoria et Sun City I et II. Durant toutes ces étapes, Vital Kamerhere a toujours cherché à être à la pointe de toutes ces négociations, mais la charge revenait tour à tour à Léonard She Okitundu, Théophile Mbemba et Augustin Katumba Mwanke. Simple délégué, il voulait toujours s’attribuer le rôle prépondérant en s’autoproclamant ,sans titre ,porte-parole de cette délégation. Pour ce, dit encore Kikaya, il s’attire l’attention des médias en apparaissant toujours aux côtés de M. Azarias Ruberwa du RCD/Goma (Rwanda) et d’Olivier Kamitatu (Ouganda et MLC). On remarquera à Sun City, qu’au moment où ces deux « collabos » du Rwanda et Ouganda brillaient, Vital Kamerhere (économie agricole) se perdait dans un verbiage creux, sans substance, faisant du camp gouvernemental, celui qui communiquait très mal. Etait-ce une stratégie, une intelligence, une complicité pour faire triompher la cause des Rwandais ? Est-ce que ses autres compagnons avaient-ils tenu compte de ce qui s’était passé avec ce Monsieur à Lusaka ? au CNS ? ou est-ce par simple naïveté, incompétence ? (En dehors du juriste Okitundu, les autres n’étaient que des scientifiques .L’un, Théophile Mbemba, est chimiste et l’autre, Katumba Mwanke, ingénieur en mécanique ! Leses affaires internationales n’étaient donc pas de leur compétence ! Faut-il vous dire que M. Vital Kamerhere, en ambitieux démesuré, réclamera à sa composante le poste de Vice-président de la République du fait que son frère Ruberwa était désigné de son côté aussi vice-président. C’est aussi pendant les travaux de Sun City, qu’un bureau d’études rwandais va le reconnaître comme un enfant du pays, le Rwanda. Et les documents fiables sortiront de ces assises, le taxant de RWANDAIS, fils du pays. Un article sortira d’ailleurs à Sun City, intitulé : « Nous sommes tous les enfants du Rwanda » et la délégation du Gouvernement (à cause de « Joseph Kabila » et de Kamerhe) et le RCD/GOMA. Mais il sera rappelé à l’ordre ,et n’obtiendra que le poste de ministre à l’information en dernière instance, ayant joué au suicide ! 2003-2004 : Il va devenir, en dernière minute, ministre de l’Information et Presse. En effet, son nom ne figurait pas sur la liste à l’atterrissage dans la ville de Mbandaka où siégeait « la composante » gouvernement. Les bruits circulaient à Mbandaka de son suicide. « Joseph Kabila » va faire marche arrière et demander à Kikaya de lui laisser ce poste là. Il fera la remise-et-reprise avec le cabinet de son ami Kikaya Bin Karubi où travaillait sa petite sœur, la Rwandaise (l’épouse du gouverneur José Makila). 7.- A L’ASSEMBLEE NATIONALE : Le 31 mars 2004 : Le PPRD ,Parti du Peuple pour la Reconstruction et le Développement est créé, soi-disant, d’obédience Social-démocrate. Et le 1er juillet 2004, il sera désigné, eu égard à ses arguments relatifs aux 4 langues nationales, le secrétaire général du PPRD. Des millions de dollars US seront débloqués pour qu’il implante le parti à travers tout le pays et surtout , pour relever le pari électoral en faisant campagne pour son maître ,tout en écartant ses autres camarades du parti et les autres forces approchées, n’étant pas favorable à l’A.M.P. Le 10 mars 2006, dans le cadre de la campagne présidentielle et pour soutenir la candidature d’Hyppolite Kanambe alias « Joseph Kabila », il publie un livre : Pourquoi j’ai choisi Joseph Kabila ? C’est dans ce livre qu’il va livrer certains secrets et détails démontrant comment son président, Brutus, a participé minutieusement à l’assassinat de Laurent Désiré Kabila, le 16 janvier 2001. Même s’il n’est pas dit quelque part, qu’il était complice ou en intelligence, dans cet odieux assassinat ! En juillet 2006, aux résultats des élections législatives, il est élu député national du P.P.R.D. du Sud-Kivu et en décembre de la même année, il est élu président du Bureau définitif de l’Assemblée nationale avec toutes les voix réunies de l’AMP et de l’opposition, alors qu’il ambitionnait de devenir le Premier ministre en lieu et place de Monsieur Antoine Gizenga. C’est pendant son règne en qualité de secrétaire général du PPRD et de la présidence de l’Assemblée nationale (cumul des fonctions) ,qu’il va exclure les Congolais de la Diaspora du processus électoral. Pendant son mandat , il va jouer à l’équilibriste en favorisant de temps en temps l’Opposition dans certaines prises de position ,au détriment de sa propre majorité. Il donne l’impression de se venger de n’avoir pas été désigné Premier ministre. Il va refuser d’initier une démarche pour demander un Tribunal Pénal International pour le Congo, n’ayant aucune considération pour les 8 millions de morts congolais, crimes perpétrés pourtant par ses frères Rwandais dont il est complice. En revanche , sous son règne, monsieur Kamerhe a plutôt choisi d’accorder une amnistie collective à ces mêmes criminels tels que Nkund[abattoir de Mushaki], Jean-Bosco Ntaganda,Amisi alias Tangofort, etc. pour des crimes de guerre et contre l’humanité pourtant imprescriptibles ! C’est aussi pendant qu’il était au perchoir qu’une partie du Territoire de Kahemba avait été lâchée et cédée aux Angolais. C’est encore lui qui avait fait voter un moratoire de six mois, finalement à durée indéterminée, pour couvrir tous les députés (comme lui-même) non Congolais qui siègent au sein du parlement (problème de double nationalité, anti constitutionnel). C’est pendant qu’il était au pouvoir au Parlement que la pétition initiée pour déchoir « Joseph Kabila » de ses fonctions, constitutionnellement, pour haute trahison ,avait été détournée ! Le fond de l’histoire est que Kamerhe n’a pas contesté
Posted on: Thu, 12 Sep 2013 08:36:44 +0000

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