LES USA CHERCHENT POUR LA TUNISIE UN DICTATEUR INTELLIGENT J’ai - TopicsExpress



          

LES USA CHERCHENT POUR LA TUNISIE UN DICTATEUR INTELLIGENT J’ai eu une information, mais je n’en connais point sa véracité. Apparemment, un groupe de personnes avec l’aide d’Etats étrangers dont l’Arabie Saoudite se préparent pour prendre le pouvoir en Tunisie ! Jusque là l’info, ne semble pas être extraordinaire, sauf que c’est du dictateur Ben Ali qu’il s’agit de recycler et de remettre aux commandes de la Tunisie, avec entre autre Mezri Haddad et bien d’autres. Cela ne m’étonne point, quand on voit les réunions multiples et en plein jour et sous les feux de la rampe toutes les factions politiques tant de l’opposition ou du gouvernement prendre des directives et même des ordres d’Etat étrangers. Cela est bien arrivé avant, et après des révolutions qu’on a remises : Exemple : Le 15 octobre 1997, soit cinq ans après sa défaite au premier tour à la seule élection présidentielle transparente libre et démocratique, le général Denis Sassou Nguesso, aidé par les troupes étrangères proclamait sa victoire militaire, mettant ainsi fin à plus de cinq mois de guerre meurtrière. Sauf que cette victoire, considérée dans la foulée par certains comme un ouf de soulagement, devient un vrai cauchemar pour nombreux Congolais. » Le Guatemala, le Congo, la République dominicaine, le Vietnam, le Brésil, le Chili, et lIran... sept pays ont en commun davoir vu leur gouvernement renversé, pendant la seconde moitié du XXe siècle, par des coups dEtat clandestinement soutenus par les Etats-Unis... avant dêtre officiellement reconnus. Foreign Policy en a dressé la liste – sans compter les renversements dans lequel le rôle de la CIA est seulement suspecté. Pour arriver à ses fins, la CIA a acheté Marzouki, Ben Jaafar, et l’opposition (un vrai tabbour khamess), des journaux américains et tunisiens pour réaliser ses objectifs, et des manifestations dans les rues de Tunis pour justifier le changement de pouvoir. Elle a aussi versé des millions de dollars à ses traitres et à Ennahda. Bref, cette opération de politique étrangère américaine menée sous le nom de code le printemps arabe », , nest que lun des nombreux coups dEtat soutenus par les Etats-Unis pour sétablir partout dans le monde pendant la guerre froide, qui a touché des dictateurs comme des leaders démocratiquement élus, relève Foreign Policy. • Guatemala, 1954 : Un an après lIran, les Etats-Unis décident décarter le président Jacobo Arbenz, avec qui les relations se sont dégradées à cause dune réforme agraire qui menaçait les propriétés de la United Fruit Company. Pour ce faire, la CIA arme notamment des rebelles et des troupes paramilitaires. Son départ sera suivi par une successions de juntes militaires au pouvoir. • Congo, 1960 : Une intervention de larmée belge, soutenue par les Etats-Unis, chasse du pouvoir le premier ministre Patrice Lumumba. Face à sa résistance, la CIA prend contact et soutient des personnes planifiant de lassassiner, selon The Church Comittee, un organisme qui surveille les actions clandestines de lagence américaine. Après une première tentative ratée dempoisonnement, elle informe les troupes congolaises de sa localisation. Il est capturé puis tué lannée suivante. • République dominicaine, 1961 : La CIA aide lassassin du dictateur Rafael Trujillo, notamment en fournissant des armes. • Sud-Vietnam, 1963 : La CIA aide des généraux qui prévoient dassassiner le président Ngo Dinh Diem. Selon un document du Pentagone, A partir daoût 1963, nous avons tour à tour autorisé, sanctionné et encouragé leffort des généraux vietnamiens pour organiser un coup dEtat. (...) Nous avons maintenu un contact clandestin avec eux au cours de la planification et de lexécution du coup dEtat, cherché à réviser leur plan opérationnel, et proposé un nouveau gouvernement. • Brésil, 1964 : Les Etats-Unis soutiennent le coup dEtat du général Humberto Castello Branco, en poussant à des manifestations contre le gouvernement et en fournissant de lessence et des armes non originaires des Etats-Unis aux partisans des militaires, qui ont ensuite gouverné le pays jusquen 1985. • Chili, 1973 : Washington ne voit pas dun bon œil larrivée au pouvoir du socialiste Salvador Allende, élu président en 1970. Pour lécarter, la stratégie consiste à faire crier léconomie chilienne, selon les termes du président Richard Nixon, et à travailler avec des groupes fomentant un coup dEtat. Jusquà celui du général Pinochet, qui sera ensuite soutenu par une campagne de propagande conduite par la CIA, malgré la connaissance de graves violations des droits de lhomme, et notamment de lassassinat dopposants politiques.
Posted on: Fri, 08 Nov 2013 07:30:16 +0000

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