LINDE , LA LANGUE ANGLAISE & LA CREATIVITE SPACIALE Ali Mahyaoui il y a 2 heures · Modifié · LInde vient de lancer, par une deuxième tentative, un satellite vers Mars. Grâce à nos relations commerciales avec ce pays,comme client potentiel dacheteur dacide phosphorique servant à la fabrication des engrais, javais pu voir leur méthode de travail et de calcule, à l’époque du manuel, pour déterminer le poids de la cargaison à bord de leur navire. Nous étions quatre personnes, à la fin de chargement. Ils étaient dune rapidité inouïe à trouver le chiffre du connaissement avant tout le monde, lexpert, étranger, compris. Le secret : Lécole public enseigne langlais comme langue officielle depuis la maternité. A bord, il y avait trois cuisines : Indoue,Musulmane et sikh. Leurs ingénieurs, ne cessaient de venir visiter nos installations, vers les début des années 1980, pour copier et prendre des mesures afin dimplanter des installations ou des machines semblables chez eux. Un jour, un de nos navires déplaçant 24.000 T.M, sétait incendié tout près des côtes de lInde, remorqué et et acheté par un armateur qui a vite transformé le revêtement débonite en Inox et la affrété à l OCP- même pour transporter une cargaison dacide. Javais été stupéfait de constater létat de transformation du navire quil a subi, en se débarrassant de cette installation frigorifique et sa superstructure destinée initialement au transport dalcool qui navait jamais fonctionné depuis sa mise en service et qui constitue un poids mort qui consomme des soutes en plus. A peine ce navire avait accosté , à Safi, je vois arriver un homme brun, gros ventre, de 1,60 m environ, portant un petit cartable. Croyant quil était un simple marin, arrivé en retard, il ma annoncé quil était larmateur de notre ex-navire bradé pour un prix presque dérisoire. Voilà , lInde maintenant, qui grâce à son enseignement public, de langue Anglaise, et malgré sa diversité ethnique et religieuse vient de réussir daccéder à la haute technologie et donne lassaut à la découverte des planètes les plus lointains. Nen parlons pas de son industrie concurrentielle. Aujourd’hui, je ne sais pas si, par rapport à ce pays, notre système public qui, non seulement recule mais il est suppléé par un enseignement privé qui note bien les élèves qui paient bien leur mensualité. Quant aux hautes Écoles Françaises qui alimentent nos Banques et nos Administrations en compte-goutte, notre niveau naurai aucune chance de dépasser la croute terrestre Publié il y a 6 minutes ago par Ali MAHYAOUI
Posted on: Tue, 05 Nov 2013 22:18:45 +0000