La gestion d’une école de peinture comporte des problématiques - TopicsExpress



          

La gestion d’une école de peinture comporte des problématiques de surveillance des sources afin d’éviter que les « dilatations » ne finissent par se regrouper par critère d’affinités esthétiques, ou de particularisme éthique. En effet, cela à tendance à rendre la substance des sources, inexplicable, défectueux. Surveillance complexe. Le peintre superpose une vie linéaire, temporelle, historique avec un tout autre type de « vécu », purement spatial où le temps tire sa source de relations géométrico-algébrique, temps très plastique, très faiblement énergétique, et à teneur minérale. Cela explique pourquoi Corot disait « ironiquement » que la peinture est le métier le plus difficile au monde. Parce que la superposition de deux niveaux temporels issus de sources différentes, interdit de prendre un rythme vulgaire, et produit un quotidien peuplé d’accélérations brutales et donc fatalement impropre à la projection intellectuelle ou passionnelle commune. Le peintre semble disposé pleinement, quand un des deux temps s’« endors ». Il vit, expérimente, alors une sorte de pseudo-normalité, avec des états nerveux très marqués, états qui provoquent souvent, la consternation générale, la sidération et puis la jalousie. Des idées « d’effets physiques issus de la mentalisation artistique» ou de « modes de présence des substances», surgissent. Ces phénomènes matériels, crée des états d’hystérie, notamment chez certaines femmes manifestant une répulsion maladive, à toute forme d’urbanisation mentale. Cette pseudo-normalité, très fragile et sensible des peintres (de l’intelligence, de la lumière, en plein), explique aussi leurs vicissitudes incroyables (confrontés souvent à des d’emprisonnements formidables). Ceux ci se trouvent souvent ballottés très violemment par leurs propres « sujets », qui leur refusent tout secours pour les inciter à leur faire expérimenter ces sensations nouvelles d’ordre phénoménologiques. Aussi le peintre, ne peut contrôler, à court et moyen terme, les « passifs » relevant les histoires personnels de ses « sujets ». Ils sont en général (au point de rencontre) assez idiots, défaut courants chez les « jeunes sujets », du fait, qu’avant cette rencontre nécessaire avec le peintre, leur corps leur était resté inexpliqué. Il comprennent alors la nécessité pour eux, d’émanciper leur sensation via un système de contraintes, qui développe des « strates » physiques dans du roman. Ces strates, en outre, n’ont pas été assez élucidées par le monde artistique. On a beaucoup voulu laisser en jachère le «Secret», par fainéantise. Il faudrait ajouter de la « physique » supplémentaire, en réévaluant constamment l’utile et l’inutile, presque toute les heures. Chose qui nécessite d’avoir un caractère très gourmand, qualité rarement rencontré chez les gens. Les principes « d’horizons », tel que la de maternité, la de fraternité (république), est donc basée sur une sorte d’idée que ce genre de problématique reste mathématique, et trouverait sa résolution efficace, dans une réévaluation algébrique régulière des « rapports globaux», par l’entremise d’un « sens artistique infaillible ». Il est donc indispensable de savoir reconnaître clairement, « comment ça marcherait, dynamiquement» à chaque instant du temps, et de dogmatiser. La question des « formats » au cœur de la grande formule intime, doit rester une polémique inlassablement ouverte. Cette ouverture, une fois maintenue ouverte, la fraternité conjugale peut commencer à émerger, en grande pointe politique. Ce qui l’éclaire depuis plus siècle, la forme et la protège, c’est justement la grande peinture vivante et sa figure. La fraternité conjugale trouve racine dans la religion égyptienne antique laquelle est dotée d’une mythologie, très littéraire, et très profonde psychiquement (comprenant des strates « physiques et romanesques» très affirmées, nettes, propres). Cette religion (qui a donné lieu à la base hébraïque) est beaucoup plus stable et monogame (donc républicaine) que la source grecque (ou la dissimulation, le mensonge est souvent nécessaire). On peut à ce titre rajouter combien le couple Philippe Sollers et Julia Kristeva ont développé et élucidé ce principe moderne et républicain, en proposant dernièrement un audacieux article intitulé « Fidèle infidèle ». Donc possibilité de vivre une contradiction. Inda
Posted on: Mon, 18 Nov 2013 18:15:37 +0000

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