Le Général Adoum Rakis, D.G.A de la police centrafricaine monte - TopicsExpress



          

Le Général Adoum Rakis, D.G.A de la police centrafricaine monte au créneau quant aux évènements du PK 12 Dans la nuit du mardi au mercredi 6 novembre 2013, un incident s’est produit à la barrière du PK 12. Cet incident a été dramatisé par les médias tant nationaux qu’internationaux. Le D.G.A de la police centrafricaine, le Général Adoum Rakis qui a vécu les évènements de bout en bout, est monté au créneau. Cette nuit, aux alentours de 19 heures, le colonel Abdelaziz Ali Saïr a voulu traverser la barrière du PK 12 avec sa voiture pour se rendre au PK 13. Il a mis les pleins phares sur lesdits éléments des forces nouvelles qui étaient sur la barrière. Cela a crée un malentendu et lesdits éléments en ont profité pour le désarmer de son PA (Pistolet automatique) alors que cela n’était pas de leur compétence. Cela a suscité un mal entendu. Informé, le Directeur général adjoint de la police centrafricaine est venu à la rescousse pour calmer la tension. En voulant ramener les uns et les autres à la raison et récupérer le P.A du Colonel pour le lui remettre, la tension a monté d’un cran et des coups de feu ont été tirés. Ils ont fait trois blessés parmi des ex-Séléka tous Centrafricains. Cet incident a été mal interprété et récupéré par les politiciens qui ont voulu en faire leur chou gras. Certaines allégations font état de ce que cet incident s’était produit entre un ex-Séléka centrafricain et un ex-Séléka tchadien. Entre un ex-Séléka Goula et un ex-Séléka tchadien. Tout cela est archi-faux! Ce malentendu a été aussi vite réglé par le Directeur général adjoint de la police, le Général Adoum Rakis et le Directeur général de la sécurité, le général Arda Akouma dès les premières heures cette nuit. Ce n’est pas une affaire entre Centrafricains et Tchadiens comme le prétendent beaucoup de médias. C’est une affaire Centrafricano-centrafricaine entre ex-éléments de la Séléka faisant partie intégrante maintenant des Forces nouvelles de défense et de sécurité. Malheureusement, les balles perdues ont blessé trois personnes dont quelques uns parmi les ex-Séléka au nombre de neuf qui revenaient d’une balade au PK 13. Ceux-ci s’étaient arrêtés pour suivre le dénouement du malentendu. Au-delà, l’un de ces blessés est mort le lendemain matin. Il s’agit de Moustapha Moussa, natif de Kabo où ses parents sont arrivés depuis 1935. N’est-il pas Centrafricain? Avant l’inhumation, le DGA de la police nationale, le Général Adoum Rakis, le Général Arda Hakouma ont été rejoints les officiers généraux tels que le chef d’Etat major adjoint, Abdel-Karim, le rapproché du chef de l’Etat, Ramadane, le ministre d’Etat, Nourreldine Adam, Oumar Sodiam, Alkhatim, Abdel Kader Khalil, Yaya Issa, Hissène Koursy etc. pour troncher à l’amiable ce différend entre des fils du pays. Même après l’inhumation de Mahamat Moussa, il y a eu un regain de tension et ces hautes personnalités militaires se sont impliquées pour ramener la paix et tout est rentré dans l’ordre. La situation est maîtrisée et il n’y a plus rien à redouter. Il faut souligner que quand il y avait les tirs cette nuit du mardi, le colonel Abdelaziz Ali Saïr qui était désarmé, était resté sur sa chaise jusqu’à l’arrivée du Général Adoum Rakis, DGA de la police centrafricaine. L’heure est à la paix, faisons la paix et ne jetons pas de lui sur le feu inutilement. Tout ce qu’il faut retenir est que les ex-Séléka sont tous des Centrafricains et qu’il n’y a aucun tchadien dans les rangs des Forces nouvelles de défense et de sécurité. Ce n’est pas parce que certains portent des noms musulmans qu’ils sont d’office des tchadiens. Concernant les Arabes, cette race a été depuis belle lurette en Oubangui-Chari dans les ann1920. Alors? De grâce, allant à l’essentiel qui est la paix
Posted on: Fri, 08 Nov 2013 20:16:19 +0000

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