Le New York Times, qui édite également le NEW YORK HERALD - TopicsExpress



          

Le New York Times, qui édite également le NEW YORK HERALD TRIBUNE, n’est certes pas le porte-parole officiel de la Maison Blanche. Pour autant, chacun s’accorde à voir dans ce groupe de presse (dont les actions de classe B – seules à disposer du droit de vote – sont détenues à 98% par la famille Ochs-Sulzberger depuis 1896) la tribune officieuse de la classe politique dirigeante nord-américaine dite La Bien-Pensante. Traduction : celle qui obéit aux ordres. Depuis mon article Le Bœuf et le Minotaure, je suis régulièrement accusé par certains d’antiaméricanisme primaire. Parlons franc : on ajoute toujours le mot primaire pour taxer l’émetteur d’une opinion de gros-con-inculte. Avantage appréciable : il évite aux détracteurs d’émettre un contre-argumentaire. Pour la bonne raison qu’ils en sont incapables. Retenez bien « primaire », ce mot-magique : son usage économisera vos neurones ! Cet antiaméricanisme, dont je suis régulièrement taxé par d’aucuns, est une accusation fausse et injustifiée. Je ne regrette qu’une chose : que mes détracteurs soient de bonne foi. La Pensée Unique qui nous est injectée au quotidien par les médias du Système comme un SIDA intellectuel, prive peu à peu les hommes de toute défense immunitaire. Je ne parle pas des Français mais de l’humanité toute entière, plus particulièrement des Européens. L’Axe du Bien contre l’Axe du Mal. Tu parles, Charles ! Accusation fausse et injustifiée certes. J’entretins des relations amicales avec de nombreux Américains (et même Américaines si je compte ma première épouse !) dont nombre de Navy SEAL et membres des Special Forces qui collaborèrent comme instructeurs au centre d’instruction "sensible-zone CP" (CP, close protection – protection rapprochée en zone sensible) que j’eus l’honneur de codiriger en Thaïlande, la High Risk Academy. Ne serait-il pas absurde d’accuser un Étranger d’être antifrançais au motif qu’il ne prend pas notre gouvernement actuel au sérieux, émet à son encontre les accusations les plus graves, ou qu’il l’accuse d’habiller de façon différente les erreurs et fautes lourdes du gouvernement précédent dans un amalgame passé dans le langage courant sous le signe UMPS ? Non. Le Peuple américain est sympathique, chaleureux et fraternel. De nombreux soldats venus du Middle West, des Appalaches, du Minnesota et d’ailleurs ont versé leur sang sur les plages de Normandie pour que la France recouvre sa liberté. Mais il n’est pas sûr que ces garçons seraient partis de gaîté de cœur s’ils avaient su que leur Président, Franklin Roosevelt, s’apprêtait à allumer la mèche du baril de pétrole le 14 février 1945 à bord du croiseur lourd USS Quincy au retour de Yalta, avec Abdelaziz Ibn Seoud, pour soumettre plus tard – aujourd’hui – les Européens à une dictature nouvelle mais ô combien plus implacable et verrouillée s’il en est. Mais ceci est une autre histoire… Histoire dont nous reparlerons bien sûr. Or donc, pour en revenir au NEW YORK TIMES, il est intéressant de lire la description paradisiaque de ce que nous réserve Oncle Sam. « Islam : Roubaix, ville modèle » titre ce canard bien gras, migrant du Potomac à l’East River pour se gaver des Dollars tout neufs que lui jette l’ONU en guise de nourriture. Je vous laisse faire les commentaires qui s’imposent. Luc Sommeyre
Posted on: Sun, 11 Aug 2013 15:40:46 +0000

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