Le numéro 414 de la revue Lumières dans la nuit LDLN 414 Par - TopicsExpress



          

Le numéro 414 de la revue Lumières dans la nuit LDLN 414 Par Blog LDLN le dimanche 20 octobre 2013, 18:57 - Nouveau Numéro ! - Lien permanent La couverture de ce numéro 414 est illustrée par deux photos. Il s’agit, dans les deux cas, de photos-surprises, ce qui n’a rien d’étonnant, puisque la quasi-totalité des photos d’objets insolites obtenues ces dernières années l’ont été sans que le photographe voit quoi que ce soit d’anormal au moment de la prise de vues. L’une d’elles a été prise par Jonathan Giné, lors du défilé du 14 juillet 2013 : à proximité immédiate (du moins sur l’image) d’un Super Etendard, on voit distinctement une forme allongée parallèlement à l’axe de l’avion. Cette vue est extraite d’une séquence prise en mode rafale, et aucune anomalie n’apparait sur les vues précédentes et suivantes, ce qui rend improbable la thèse du passage d’un volatile. L’autre photo est un agrandissement partiel d’une vue prise par Stéphane Brignone, à Montauroux, le 5 mai de cette année. On y voit une forme de boomerang, bien contrastée par rapport au ciel. Il se trouve que Stéphane Brignone a obtenu une anomalie très comparable, le 14 juin, en photographiant un hélicoptère Tigre qui passait à proximité. Les lecteurs qui douteraient de la pertinence des « crashes de rien, de type 1 » en trouveront un exemple assez caractéristique, qui date de… mars 1913 ! C’est le trente-sixième cas dont nous ayons eu connaissance. Maurice Thil l’a découvert dans le London Times du 14 mai 1913. Près de Potsdam, deux femmes ont vu un dirigeable en feu s’écraser dans une forêt. Elles ont même précisé que la nacelle, elle-même en feu, s’était détachée et avait plongé vers le sol. D’importants moyens de secours sont intervenus rapidement, mais n’ont rien trouvé. Aucun dirigeable n’avait disparu. Jacques Vallée nous révèle un cas de bruits étranges et de lumières aériennes, qui est presque aussi ancien, puisqu’il date de février 1918. Suite à l’article de LDLN 412, dans lequel Jean-Pierre D’Hondt avait attiré notre attention sur « l’effet téléobjectif » constaté lors de certaines apparitions d’ovnis, Jacques Bonabot nous apprend que ce même effet s’est manifesté à diverses reprises lors des premiers vols spatiaux, dans les années soixante. Il sera intéressant de suivre l’évolution de cette énigme… C’est un triple témoignage, particulièrement convaincant, qui est ensuite exposé : il y a une trentaine d’années, un soir à la nuit tombante, trois personnes (un couple et leur fille d’une dizaine d’années) ont observé pendant environ un quart d’heure, à une distance de 400 mètres, un objet lumineux immobile à basse altitude, au-dessus d’un bois. Cet objet a changé de forme, de façon soudaine, à deux reprises, et quand il est parti, à grande vitesse, c’est sur une trajectoire qui le rapprochait des témoins… qui ont eu le réflexe de baisser la tête à son passage. Patrick Boutonnet nous apporte un exemple supplémentaire au dossier des « cigares d’Afrique du Nord », puis Claude Lavat met nos facultés intellectuelles à rude épreuve, en proposant une variante améliorée de l’équation de Drake, par ajout de deux facteurs. Alain Bauquet est un témoin privilégié, particulièrement sérieux et crédible. On se souvient de sa toute première observation, quand il était enfant, à Madagascar, et de diverses photos étonnantes qu’il a réalisées depuis quelques années (notamment celle de Rome, qui montre un objet très structuré). Il nous raconte les observations que son entourage proche et lui-même ont faites, dans le Val d’Oise en 1979, puis, dix ans plus tard, à Nice. L’exemple le plus récent n’est autre qu’un cas nocturne intra muros, qui confine à la RR4. Ensuite, Jonathan Giné nous raconte la belle enquête qu’il a réalisée avec ses amis du RDO, et aussi avec Maurice Thil, sur un cas de prétendu crop circle en Moselle, cet été. La conclusion est nette : il s’agit d’un faux, probablement réalisé dans un but assez malhonnête. Les photos-surprises occupent une place prépondérante dans la rubrique « observations récentes en France », et certaines d’entre elles suggèrent l’hypothèse d’objets invisibles à l’œil nu, qui accompagneraient des avions en vol. Aucune preuve digne de ce nom ne peut être avancée ; ce sont simplement des indices qui s’accumulent au fil des ans. Le degré d’implication des personnes qui s’intéressent à cette question est variable, et comme toujours, les plus incrédules ne sont pas les plus présents sur le terrain. Ces observations récentes en France montrent, une fois de plus, que les départements du Var et des Alpes-Maritimes sont ceux dont nous recevons le plus de rapports d’observations, alors que d’autres régions semblent être de véritables déserts ufologiques. Voilà encore une tendance apparente, qui semble très affirmée. Relèverait-elle, en fin de compte, de l’illusion ? Jean Sider nous fait part de ce qu’il a pu apprendre sur un sujet qui ne relève pas directement de l’ufologie, mais qu’on peut considérer comme « un phénomène connexe » : l’énigme (assez terrifiante) des combustions humaines spontanées. La suite de son travail paraîtra dans LDLN 415. Dans la rubrique « les Nouvelles », il est question, entre autres choses, de deux très bons livres sur les ovnis en Corse (dus à Christophe Canioni), d’une Ford Mustang gravement cabossée par un ovni, d’observations de panthères noires en Espagne, et d’une étrange excavation cylindrique apparue cet été sur la pelouse d’une propriété entourée de hauts murs, en Haute-Vienne.
Posted on: Sun, 20 Oct 2013 20:45:37 +0000

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