" Le printemps des larmes": Poème XVII Ce monde qu’on juge On parlait d’un monde devenu éloquent, et tout s’y tenait de bien conséquent, pour autant qu’on facilitât la médisance, encore mieux on en fit tel cas d’intolérance. On ne pouvait pas acheter une parole libre, on ne retenait pas un souffle qui vibre, pour si juste que cela soit une réalité, telle victime succombait en une malignité. Ce ne fut pas un tort que se servir de sa cervelle, en telle analyse qui ne fut pas conjoncturelle, qu’en effet il fallait s’engager en une vérité franche, la médiocrité n’étant pas d’un lieu où on se retranche. Qu’en tel, on savait porter un jugement, Duquel on s’identifiait d’oser un retournement, en tel de s’améliorer à ne pas être un servile, selon que l’évidence éloignait du fait difficile. Pour telle pensée, on dut bien combattre, par une bravoure qui fut contre tel monstre, qu’autre vertu qu’on assombrit à la calomnie, et de tout compromis qu’endurer l’ignominie. Il avait résisté à ce supplice assez fréquent, le bonheur par la sapience restait subséquent, aussi, il faisait surtout telle belle attirance, pour laquelle toute chose fut une assurance. Par la pensée, on était à tout équilibre, on la tenait pour tout fait qui rende sobre, puisqu’elle permettait de saisir l’équité, à partir de laquelle on repoussait l’absurdité. Observer fut certes une réflexion conventionnelle, on la tenait pour ce qu’elle est d’exceptionnelle, qu’alors, elle permettait d’avoir telle qualité, à toute mesure que favoriser une intégrité. On se permit une raison contre ce détournement, qu’autant, on fit sans attention pour tel fourvoiement, puisque l’un fut à tout effort qui restait utile, et de fermeté contre toute abjection futile. Par la pensée, on espéra encore débattre, il en fut d’un peu qu’on osa se permettre, que savoir combien la cognition faisait un génie, pour être telle valeur que nul ne renie.
Posted on: Wed, 25 Sep 2013 20:33:15 +0000
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