Le président Alpha Condé hué et conspué à Kankan réplique - TopicsExpress



          

Le président Alpha Condé hué et conspué à Kankan réplique "vous qui criez là, où vous étiez quand j’étais en prison ?" Le président Alpha Condé s’est finalement résolu à fouler la terre Kankannaise. C’était hier jeudi 15 Aout, jour de l’ascension. Au tant dire qu’il a fallu, pour le chef de l’Etat, compter sur les esprits saints, pour l’ascension de la montagne de désapprobations qui l’attendait dans son premier fief électoral : Kankan, la capitale de la Savane Guinéenne. Plusieurs fois repoussé, soit pour de raisons d’agenda, de calendrier mais surtout de sécurité, le safari présidentiel à Kankan a finalement eu lieu hier. La patience finie par avoir raison de toutes les résistances. A Kankan, le chef de l’Etat aura passé l’un des pires moments de sa carrière présidentielle. En effet, c’est aux cris assourdissants « A bas EDG ! A bas la SEG ! Préfet zéro ! Maire zéro ! Gouverneur zéro » que Monsieur Condé a eu l’agréable surprise d’entendre à son arrivée dans la capitale Manding. Ebahi et surpris, le chef de l’Etat, n’a pas mâché les mots pour rembarrer les populations en colères, «vous qui criez là, où vous étiez quand j’étais en prison ? Quand on me condamnait à mort, est-ce que vous avez le courage de vous battre ? Qui d’entre vous est capable de se battre et d’aller en prison ? Qui d’entre vous ? Ceux qui crient là, qui d’entre vous. Regardez vous d’abord dans le miroir, regardez-vous dans le miroir, qui vous êtes ? Regardez-vous dans le miroir; regardez-vous dans le miroir; avant de venir crier, regardez-vous dans le miroir. Pourquoi il n’y a pas de pont entre Mandiana et Siguiri ? Vous qui criez avec les pancartes, vous vous êtes posez la question ? Vous vous êtes posez la question ? ». C’est par ces douceurs que Monsieur Condé dans son courroux et dans son naturel, on sait que l’homme est cholérique et sanguin, entamera l’ascension de la montagne de mépris populaire qui l’attend dans le pays. Car ce n’est pas seulement les Kankannais qui sont furieux contre le président. C’est tout un peuple qui semble désorienté par une politique qui abime les espérances. Le peuple souffre et voit les gabegies du fils du chef de l’Etat, Mohamed Alpha Condé, qui est cité dans toutes les affaires de corruption, de détournement et de malversations dans le pays. A l’approche des législatives du 24 septembre, la mouvance présidentielle est de plus en plus inquiète. Les retours de l’arrière pays ne sont guère rassurants. Les notes des renseignements généraux et de la DST, expriment clairement les mécontentements populaires dans le pays profond. Il semble évident qu’avec le bilan actuel, le RPG arc-en-ciel a toutes les raisons de trembler. Le candidat Alpha Condé avait fait campagne en 2010 sur la lutte contre la corruption. Aujourd’hui c’est Mohamed Alpha Condé, son fils, la corruption. Il avait promu courant et eau à volonté, les Guinéens s’éclairent encore à la bougie et boivent l’eau des puits. Il avait promu des emplois aux jeunes, ces derniers continuent de tuer le temps autour d’un « Attayah ». Il avait promu que les ressources des mines iraient aux projets de développement, les seuls 700 millions de Rio Tinto se sont éparpillés dans la nature. Aucun Guinéen ne sait où est ce fameux pactole. Il avait promu de bâtir une nation, Alpha Condé n’a fait que diviser le pays, exclure tous ceux qui ont eu la malchance d’être nés ailleurs qu’en Haute Guinée. C’est ce bilan catastrophique que la mouvance aura à défendre lors de la campagne face aux Guinéens et face à l’opposition. Mais fort est à parier que c’est cette opposition qui sera finalement l’atout majeur de la mouvance. Trop faible et sans orientation, l’opposition, dont la plus part des leaders sont des anciens premiers ministres, aura-t-elle le courage de mettre en avant le bilan catastrophique des deux ans et demi de gestion du président Alpha Condé ? Elle est aussi comptable de la situation générale du pays, alors risquera-t-elle d’orienter le débat sur le bilan ? Encore quelques semaines, nous aurons quelques éléments de réponse. Pour l’heure, ce sont les candidats de la mouvance qui tremblement comme des hérissons fiévreux ? Aux dernières nouvelles, le pèlerinage présidentiel se poursuivra jusqu’au samedi. Avec les hués populaires comme accueil, certainement. Le président Alpha Condé hué et conspué à Kankan réplique "vous qui criez là, où vous étiez quand j’étais en prison ?" Le président Alpha Condé s’est finalement résolu à fouler la terre Kankannaise. C’était hier jeudi 15 Aout, jour de l’ascension. Au tant dire qu’il a fallu, pour le chef de l’Etat, compter sur les esprits saints, pour l’ascension de la montagne de désapprobations qui l’attendait dans son premier fief électoral : Kankan, la capitale de la Savane Guinéenne. Plusieurs fois repoussé, soit pour de raisons d’agenda, de calendrier mais surtout de sécurité, le safari présidentiel à Kankan a finalement eu lieu hier. La patience finie par avoir raison de toutes les résistances. A Kankan, le chef de l’Etat aura passé l’un des pires moments de sa carrière présidentielle. En effet, c’est aux cris assourdissants « A bas EDG ! A bas la SEG ! Préfet zéro ! Maire zéro ! Gouverneur zéro » que Monsieur Condé a eu l’agréable surprise d’entendre à son arrivée dans la capitale Manding. Ebahi et surpris, le chef de l’Etat, n’a pas mâché les mots pour rembarrer les populations en colères, «vous qui criez là, où vous étiez quand j’étais en prison ? Quand on me condamnait à mort, est-ce que vous avez le courage de vous battre ? Qui d’entre vous est capable de se battre et d’aller en prison ? Qui d’entre vous ? Ceux qui crient là, qui d’entre vous. Regardez vous d’abord dans le miroir, regardez-vous dans le miroir, qui vous êtes ? Regardez-vous dans le miroir; regardez-vous dans le miroir; avant de venir crier, regardez-vous dans le miroir. Pourquoi il n’y a pas de pont entre Mandiana et Siguiri ? Vous qui criez avec les pancartes, vous vous êtes posez la question ? Vous vous êtes posez la question ? ». C’est par ces douceurs que Monsieur Condé dans son courroux et dans son naturel, on sait que l’homme est cholérique et sanguin, entamera l’ascension de la montagne de mépris populaire qui l’attend dans le pays. Car ce n’est pas seulement les Kankannais qui sont furieux contre le président. C’est tout un peuple qui semble désorienté par une politique qui abime les espérances. Le peuple souffre et voit les gabegies du fils du chef de l’Etat, Mohamed Alpha Condé, qui est cité dans toutes les affaires de corruption, de détournement et de malversations dans le pays. A l’approche des législatives du 24 septembre, la mouvance présidentielle est de plus en plus inquiète. Les retours de l’arrière pays ne sont guère rassurants. Les notes des renseignements généraux et de la DST, expriment clairement les mécontentements populaires dans le pays profond. Il semble évident qu’avec le bilan actuel, le RPG arc-en-ciel a toutes les raisons de trembler. Le candidat Alpha Condé avait fait campagne en 2010 sur la lutte contre la corruption. Aujourd’hui c’est Mohamed Alpha Condé, son fils, la corruption. Il avait promu courant et eau à volonté, les Guinéens s’éclairent encore à la bougie et boivent l’eau des puits. Il avait promu des emplois aux jeunes, ces derniers continuent de tuer le temps autour d’un « Attayah ». Il avait promu que les ressources des mines iraient aux projets de développement, les seuls 700 millions de Rio Tinto se sont éparpillés dans la nature. Aucun Guinéen ne sait où est ce fameux pactole. Il avait promu de bâtir une nation, Alpha Condé n’a fait que diviser le pays, exclure tous ceux qui ont eu la malchance d’être nés ailleurs qu’en Haute Guinée. C’est ce bilan catastrophique que la mouvance aura à défendre lors de la campagne face aux Guinéens et face à l’opposition. Mais fort est à parier que c’est cette opposition qui sera finalement l’atout majeur de la mouvance. Trop faible et sans orientation, l’opposition, dont la plus part des leaders sont des anciens premiers ministres, aura-t-elle le courage de mettre en avant le bilan catastrophique des deux ans et demi de gestion du président Alpha Condé ? Elle est aussi comptable de la situation générale du pays, alors risquera-t-elle d’orienter le débat sur le bilan ? Encore quelques semaines, nous aurons quelques éléments de réponse. Pour l’heure, ce sont les candidats de la mouvance qui tremblement comme des hérissons fiévreux ? Aux dernières nouvelles, le pèlerinage présidentiel se poursuivra jusqu’au samedi. Avec les hués populaires comme accueil, certainement. Le président Alpha Condé hué et conspué à Kankan réplique "vous qui criez là, où vous étiez quand j’étais en prison ?" Le président Alpha Condé s’est finalement résolu à fouler la terre Kankannaise. C’était hier jeudi 15 Aout, jour de l’ascension. Au tant dire qu’il a fallu, pour le chef de l’Etat, compter sur les esprits saints, pour l’ascension de la montagne de désapprobations qui l’attendait dans son premier fief électoral : Kankan, la capitale de la Savane Guinéenne. Plusieurs fois repoussé, soit pour de raisons d’agenda, de calendrier mais surtout de sécurité, le safari présidentiel à Kankan a finalement eu lieu hier. La patience finie par avoir raison de toutes les résistances. A Kankan, le chef de l’Etat aura passé l’un des pires moments de sa carrière présidentielle. En effet, c’est aux cris assourdissants « A bas EDG ! A bas la SEG ! Préfet zéro ! Maire zéro ! Gouverneur zéro » que Monsieur Condé a eu l’agréable surprise d’entendre à son arrivée dans la capitale Manding. Ebahi et surpris, le chef de l’Etat, n’a pas mâché les mots pour rembarrer les populations en colères, «vous qui criez là, où vous étiez quand j’étais en prison ? Quand on me condamnait à mort, est-ce que vous avez le courage de vous battre ? Qui d’entre vous est capable de se battre et d’aller en prison ? Qui d’entre vous ? Ceux qui crient là, qui d’entre vous. Regardez vous d’abord dans le miroir, regardez-vous dans le miroir, qui vous êtes ? Regardez-vous dans le miroir; regardez-vous dans le miroir; avant de venir crier, regardez-vous dans le miroir. Pourquoi il n’y a pas de pont entre Mandiana et Siguiri ? Vous qui criez avec les pancartes, vous vous êtes posez la question ? Vous vous êtes posez la question ? ». C’est par ces douceurs que Monsieur Condé dans son courroux et dans son naturel, on sait que l’homme est cholérique et sanguin, entamera l’ascension de la montagne de mépris populaire qui l’attend dans le pays. Car ce n’est pas seulement les Kankannais qui sont furieux contre le président. C’est tout un peuple qui semble désorienté par une politique qui abime les espérances. Le peuple souffre et voit les gabegies du fils du chef de l’Etat, Mohamed Alpha Condé, qui est cité dans toutes les affaires de corruption, de détournement et de malversations dans le pays. A l’approche des législatives du 24 septembre, la mouvance présidentielle est de plus en plus inquiète. Les retours de l’arrière pays ne sont guère rassurants. Les notes des renseignements généraux et de la DST, expriment clairement les mécontentements populaires dans le pays profond. Il semble évident qu’avec le bilan actuel, le RPG arc-en-ciel a toutes les raisons de trembler. Le candidat Alpha Condé avait fait campagne en 2010 sur la lutte contre la corruption. Aujourd’hui c’est Mohamed Alpha Condé, son fils, la corruption. Il avait promu courant et eau à volonté, les Guinéens s’éclairent encore à la bougie et boivent l’eau des puits. Il avait promu des emplois aux jeunes, ces derniers continuent de tuer le temps autour d’un « Attayah ». Il avait promu que les ressources des mines iraient aux projets de développement, les seuls 700 millions de Rio Tinto se sont éparpillés dans la nature. Aucun Guinéen ne sait où est ce fameux pactole. Il avait promu de bâtir une nation, Alpha Condé n’a fait que diviser le pays, exclure tous ceux qui ont eu la malchance d’être nés ailleurs qu’en Haute Guinée. C’est ce bilan catastrophique que la mouvance aura à défendre lors de la campagne face aux Guinéens et face à l’opposition. Mais fort est à parier que c’est cette opposition qui sera finalement l’atout majeur de la mouvance. Trop faible et sans orientation, l’opposition, dont la plus part des leaders sont des anciens premiers ministres, aura-t-elle le courage de mettre en avant le bilan catastrophique des deux ans et demi de gestion du président Alpha Condé ? Elle est aussi comptable de la situation générale du pays, alors risquera-t-elle d’orienter le débat sur le bilan ? Encore quelques semaines, nous aurons quelques éléments de réponse. Pour l’heure, ce sont les candidats de la mouvance qui tremblement comme des hérissons fiévreux ? Aux dernières nouvelles, le pèlerinage présidentiel se poursuivra jusqu’au samedi. Avec les hués populaires comme accueil, certainement.
Posted on: Fri, 16 Aug 2013 14:08:23 +0000

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