Le seul combat de Hollande : prendre le contre-pied de - TopicsExpress



          

Le seul combat de Hollande : prendre le contre-pied de Sarkozy par Fernand Chaput - Prendre le contre-pied de Sarkozy, c’est jusqu’à ce jour, le seul et véritable combat de François Hollande, il y excelle à merveille, donne à ses électeurs, matière à satisfaction. Mais Quid, de ce seul hiatus comme art de gouverner, jusqu’où et à quand ? Des efforts de commis, afin de gouverner autrement, il y en a, il les avait annoncés. Il y a surtout une chasse aux sorcières, faite aux plus aisés, particuliers ou entreprises, seule manière de justifier, dans le futur, les sacrifices qui seront demandés, aussi, aux moins fortunés. Cela peut surprendre certains, en décevoir d’autres, mais il est intéressant de constater que François Hollande, supposé modéré, n’a pas encore, renié ses engagements de campagne, quitte à apparaître, comme le socialiste le plus intransigeant avec l’argent. Pour le reste, on a découvert un président, qui frisait le ridicule dans les sommets internationaux, menant les relations internationales comme il le faisait des négociations au Parti socialiste… Hélas les européens, n’ont aucunement envie, de partager son art à la synthèse, applaudie par ses seules troupes, il ne peut s’en prévaloir, pour y contraindre les autres nations, notamment, l’Angleterre et l’Allemagne, qui comme les Pays-Bas, sont des nations, auxquelles il insupporte, les Euro bonds et autres fariboles du part socialiste Français, érigés comme l’alfa et l’oméga, pour affranchir la France à devoir enfin payer ses dettes, les donner aux pays du nord, afin de les endosser. Le mouvement général en Europe de « droitisation » devant la crise, éprouve et déconcerte la droite. Car, sous les compas européen et atlantique, la droite de Chirac, Juppé, Fillon, Raffarin garde un fond social-démocrate. Le cœur de l’exception française ? Ne dit-on point, à Londres comme à Berlin ? C’est que la droite française serait devenue de gauche ? Mais aussi, qu’elle a fait sienne, bon gré mal gré, le modèle socialisant et archaïque qui plombe aujourd’hui notre Nation. Chez elle, le logiciel jacobin, étatiste, bonapartiste, gaullien a, comme à gauche, relayé, au fil des siècles, l’héritage des Lumières et de la Révolution. Il a étouffé le courant libéral qui fleurit dans toutes les droites européennes. Cette singularité française, autant culturelle que politique, demeura encore intacte, jusqu’à ces temps derniers, au sein même des leaders de l’UMP et des centristes. Le mal de l’assistanat à outrance, dit de notre fameux modèle social, en encrasse aux faiblesses des intelligences rabougries, de tous ces heureux bénéficiaires, qui eux, veulent selon les promesses des syndicats et de François Hollande en particulier, toujours plus… L’alliance de l’étatisme et du corporatisme prospère dans l’idéologie rampante du toujours plus, mais aussi du pas assez vite ! Une religiosité de gauche aurait, à ce point-là, peu à peu, envahi notre Nation, l’intelligentsia, l’enseignement, les syndicats, la presse, les médias, la justice, frisant la démagogie et l’absurde, à devoir y adjoindre les Imams, appelant pour 700 d’entre eux, à voter François Hollande. Adieu, la laïcité, érigée en dogme depuis 1905, afin de mettre à bas, les puissances de l’église catholique. Un État laïque, ne se prévaut d’aucune institution religieuse spécifique pour justifier son autorité. Dans cette conception, l’État vise le bien-être général sans pour autant favoriser un groupe religieux spécifique, ni se conformer à une autre doctrine que la sienne. La loi de 1905, exige que l’État n’établisse pas une religion, comme religion d’État, qu’il n’impose pas une observance religieuse et qu’il n’intervienne pas pour légiférer sur la pratique religieuse, hors il est de constater, que le parti socialiste Français, pour gagner cette présidentielle, s’attacher les votes des musulmans de France, a rompu sur le fond et la forme, à la loi du 9 décembre 1905 ! C’est aussi, pour cela, que les jeunes des banlieues, pillent et brûlent leurs quartiers. (Pour l’irrespect de promesses, contre leur vote, pourtant dévolu au candidat socialiste pour plus de 80% d’entre eux.) La France, tient les réformes des social-démocraties elles-mêmes : Allemande ou Suédoise, pour des atteintes absolument insupportables au progrès républicain. La France de jadis eut, pour servir son vice, l’inflation et l’emprunt : ces deux portes, lui désormais verrouillées. La totalité des pouvoirs de l’État, sont acquis à la gauche. Il lui reste à accepter la vérité, l’adversité et le courage, ce dont nous doutons, tout au moins, aux vues des dispositions, prises dans toutes les hâtes, par voie de décrets, alors, qu’à l’Assemblée Nationale, pas plus qu’au Sénat, la Gauche n’a face à elle, aucune possible opposition ! L’Europe fonce vers une droitisation et la France vire à gauche ? Sommes-nous, tous devenus en cette nation, complétement stupides ou fous ? La question est ouverte, puisque nous faisons des lois pour des minorités en y sabordant le code de la famille, qui désormais n’est plus la citadelle imprenable pour la bienpensante gauche, pilier fédérateur à neutraliser, puisque les socialistes après en avoir défait l’église catholique, ont mis à mal ce pilier créateur de toute nation qu’est la famille. Hors porter atteinte au pilier fondateur de notre nation, La Famille, cela devait être soumis au congrès ou à référendum, c’est bien pour cela, que cette loi scélérate, devra un jour ou l’autre sous d’autres majorités, en passer par ces deux facteurs de notre démocratie : Congrès ou Référendum, mais ne peut nullement en rester au milieu d’un gué, dit celui de toutes les divisions sociétales. SV
Posted on: Wed, 20 Nov 2013 10:11:41 +0000

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