L’avenir de l’Islam en France : musulmans patriotes contre - TopicsExpress



          

L’avenir de l’Islam en France : musulmans patriotes contre islamo-racailles Quant à savoir si l’Islam est un bien ou un mal pour la France, rappelons que pour cette religion sans clergé, il n’existe pas qu’un Islam pilotant une horde compacte et disciplinée de musulmans du haut d’un quelconque Califat, mais une diversité de musulmans livrés à des pouvoirs divers, dont la plupart se tiennent loin de l’agitation comme de la politique. D’abord les anciens, issus du travail immigré d’avant le regroupement familial, qui pratiquent un Islam culturel et discret : vieux travailleurs prolétaires, au mieux petits commerçants encadrés à la fois par le pays d’origine, Algérie, Maroc, Tunisie… et l’Etat français, ministère de l’Intérieur, relais socialistes, CRIF… en apparence indépendants les uns des autres mais depuis des lustres la main dans la main. Une vieille génération de musulmans élevés dans la soumission et la crainte du pouvoir, que ce soit celui de l’ancienne France coloniale ou des dictatures « dé-colonisatrices » toutes aussi reluisantes qui lui ont succédé. Aussi, prétendre que ces petites gens, présents sur notre territoire depuis quarante ans et plus, posent des problèmes de délinquance est parfaitement malhonnête. Les jeunes ensuite, nés eux sur le territoire, Français n’ayant connu en fait que la France, et réagissant en Occidentaux nourris aux « droits de l’Homme », aux provocations anti-islamistes ; provocations qui sont devenues monnaie courante depuis le détournement d’alliance de la loi anti-foulard de 2004. Une nouvelle génération de musulmans qui ne suit plus l’ancienne, c’est-à-dire ni l’imam du bled ni celui du ministère de l’Intérieur ou du CRIF – c’est d’ailleurs le même – et qui, pour compliquer les choses, se divise en deux camps de plus en plus opposés. D’un côté : cette nouvelle génération de Français musulmans intégrés, diplômés et entrepreneurs, cherchant dans la théologie islamique les raisons de sortir de la catastrophique posture victimaire – imposée par SOS Racisme – afin de pouvoir enfin aimer pleinement et sincèrement leur pays : cette France dans laquelle ils savent, pour avoir les moyens de comparer avec le pays d’origine dans lequel ils n’ont aucune envie de retourner si ce n’est en vacances, qu’être né est une chance. De l’autre et à l’opposé : cette nouvelle génération de paumés, issus des ghettos de la relégation et d’un déclassement chaque jour aggravé par la crise mondiale, porteurs d’une idéologie délinquante américaine libérale prolongeant désormais dans un salafisme bricolé et superficiel – type Un prophète de l’ancien animateur de supérette rêvant d’Hollywood, Abdel Raouf Dafri – leur haine revancharde d’une France coloniale qui ne l’a jamais été de leur vivant ; une haine confuse et épaisse, issue en droite ligne du rap anti-gaulois fort peu islamique, mais étrangement promu depuis vingt ans au rang de « culture jeune » par les médias dominants. Les premiers, élevés dans patriarcat ayant échappé à la féminisation 68, à la fois issus de la gauche du travail (études menées à bien malgré le handicap social), mais pratiquant la droite des valeurs (retour à la tradition contre les sirènes du matérialisme moderniste) sont incontestablement une chance pour la France, si on entend par là l’espoir de son redressement. Les seconds, voyous apatrides, désormais ultra-violents, cultivant la haine du Blanc, et qui sont effectivement – sauf pour le facteur de Neuilly toujours fan, de son Montmartre bobo, du ringard Joey Starr – ce que tous les observateurs lucides en disent, que ce soient les démographes intègres, la police débordée, le petit peuple, toutes ethnies confondues, et même les « identitaires » qui sont, côté gaulois, leur exact pendant : ces « islamo-racaille » à mettre rapidement hors d’état de nuire avec, pourquoi pas, déchéance d’une nationalité française qu’ils haïssent et billet gratuit vers ces paradis islamiques qu’ils idéalisent : Kosovo, Tchétchénie, Arabie saoudite… Ce qui serait sans doute la plus cruelle, mais la plus salutaire sanction à leur infliger ! Pour une réconciliation nationale : Aoun et Nasrallah plutôt que Milosévic et le Kosovo De l’issue de ce combat entre ces deux jeunesses : musulmane patriote et islamo-racaille, désormais face à face et opposés en tout – y compris en Islam – dépend en fait, outre la crise économique, le chaos de la guerre civile ou le redressement par la réconciliation nationale. Et dans ce combat pour la France, nous devons apporter tout notre soutien aux premiers : ces patriotes musulmans qui travaillent, entreprennent et ramènent des médailles pour le drapeau dans les compétitions sportives… Comme nous devons rompre désormais avec toute dialectique de l’excuse, être intransigeants avec les seconds qui se comportent eux, n’en déplaise à la confuse et manipulée Houria Bouteldja, comme une horde de sous-chiens. Un combat qui ne se joue donc pas entre Français et musulmans, comme voudraient nous le faire croire les agents de l’Empire, mais entre fils de France aimant vraiment la France et ennemis de la France, toutes couleurs et religions confondues. Le salut du pays étant plutôt à aller chercher du côté de la réconciliation nationale entreprise au Liban par le général Aoun, président du Courant patriotique livre, chrétien maronite, et Hassan Nasrallah, secrétaire national du Hezbollah musulman, que du côté de la Yougoslavie, où l’entreprise de Reconquista menée par un Slobodan Milosévic entièrement noyauté par la CIA, a conduit finalement à la partition du Kosovo voulue par l’OTAN… [...]
Posted on: Thu, 15 Aug 2013 10:43:49 +0000

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