MA PETITE FEE DES FLEURS Jerrais sur cette route, sans but. Pourtant, tout ce qui menvironnais, était beau. Il y avait mes copines les fleurs, mes potes les oiseaux, mes copains les arbres et toutes les merveilles de mon amie dame nature. :Préoccupé, par les tourments de mon âme et la tristesse dans mon coeur. Je ne les voyaient et ne les entendaient plus. Même mon ombre avait du mal à me suivre. Elle ployait, sous le fardeau de mes peines. Tout, ce qui mentourait, était devenu triste et sombre. Les arbres avaient perdus leurs feuilles leurs branches se faisaient menaçantes comme des griffes cherchant à me lacérer le visage. Les papillons navaient plus déclats leurs vols étaient lourds et disgracieux. Les fleurs perdaient leurs couleurs. Les oiseaux ne chantaient plus. Tout était maussade et morne. Et puis, une lueur qui virevoltait comme une luciole sapprochait de moi. Jai tendu le bras et elle cest posée sur la paume de ma main. Jétais fasciné par cette apparition ailée. Elle ma dit, je suis la fée Clochette. Aujourdhui cest jour de joie pour moi. Je vais munir à Peter Pan. tu pourras faire un voeu, un seul et je lexaucerai. Alors, va flâner et réfléchis bien. Ne continue pas sur cette route droite et uniforme, car elle mène au néant et au monde du rien. Prends plutôt ce petit chemin là bas qui serpente dans la plaine herbeuse et fleurie bonne chance, et à tout à lheure. Puis elle cest envolée. Cheminant depuis un moment déjà, du vague à lame dans mes pensées. Soudain comme la petite fée des fleurs, elle surgit là devant moi en compagnie dun chien et dun chat. Ces longs cheveux flottaient sous les cajoleries du vent. Elle était jeune et jolie. Un doux sourire illuminait son visage. Ses yeux émeraude et presque transparents rayonnaient fascinants. Qui de nous deux à parler en premier, je ne saurais le dire. Nous avons lier connaissance en promettant de nous revoir au même endroit. Et nos pas, ce sont croisés de nouveaux. Elle aussi, son âme était affligée et son coeur en souffrance. Nous avons parlé de nos tourments, elle ma écoutée. Elle à su trouver les mots , pour apaiser ma tristesse. Je lui ai fait dont des mien pour adoucir la sienne. Nos coeurs fermés par le chagrin et nos âme assombris par la mélancolie, depuis si longtemps. Se sont ouverts lun à lautre. Et des sentiments commençaient à se forger entre nous. Et je me suis rendu compte, que cétait nos pensées qui cétaient rencontrer et que nos corps étaient loin à lopposée. Mais malgré ça, les sentiments que nous éprouvions . étaient de plus en plus fort. La fée Clochette, est revenue vers moi. Me demandant, quelle était mon voeu. Je lui ai dit, que je voudrais devenir brise légère et fluide. Elle ma regarder en riant, pensant à une plaisanterie. Et me disant tu sais que je peux faire de toi un homme riche, beau, jeune et adoré de tous et cela ne tintéresse pas. Alors, je lui ai dit que la femme, que jaimais était loin là bas et quen devenant lamie du vent. Je pourrais franchir tout les obstacles et la retrouver. Que je pourrais lenvelopper dun voile de douceur. Que je deviendrais, bras bonheur, pour quelle puisse sy blottir, sy lover, en sentir la chaleur de mon affection et la garder là tout contre moi, pour quelle y reste à jamais. Que je me ferrais doigts de velours pour parcourir et caresser tous les grains de sa peau velouté. Que je deviendrait tourbillon léger et aérien pour menivrer de ses parfums et des ses arômes de fleurs des champs. Alors, elle ma dit, ce soir va tasseoir sur ton banc sous le firmament et attend. Puis elle est partie en virevoltant comme un feu follet. Là sur ce banc contemplant les étoiles, jai senti une main frôler la mienne et se refermer sur mes doigts. Je me suis retourner ébahi et ravi. Elle était là souriante et rayonnante de beauté ma mie. Et brusquement, toutes celles et tous ceux qui nous avaient quittés, qui étaient dans notre coeur pour toujours, que nous aimions, et qui voyageaient sur la voie lacté. Sont venus nous salués. Nos yeux, se sont embués pris par lémotion. Ils ont nous fait une haie de bonheur et de joie, en jetant sur nous, de leurs gestes auguste une pluie de poussière détoiles. Pour nous guidés jusquà la porte des merveilles, qui cest ouverte sur nous. Main dans la main, nous sommes entrés dans cet univers merveilleux. Dans ce monde fantastique et beau. Les fleurs, ne fanaient jamais, les arbres étaient éternellement vert. Leau des rivières et des lacs pures et limpide comme du cristal. Le lion marchait à coté de la gazelle, le loup conversait avec lagneau. Le ciel continuellement bleu. Les rayons du soleil tièdes et doux. Jai pris ses mains dans les miennes et en la regardant dans les yeux, sous cette arcade de roses. Je lui ai dit ce mot, qui était resté enfermé depuis si longtemps dans mon coeur et dans mon âme. Ce mot magique et féerique; je tAIME. Des larmes ont perlées au coin de ses paupières. Avec douceurs et tendresses, dans de tendre baisers, je les ai prises délicatement et gardées dans lécrin de mes lèvres, ses perles damour . Nous avons levé les yeux. Et dans le ciel bleu azur, en poussières détoiles, brillaient en lettres dor. Les mots AMOUR et TOUJOURS. GUY BOUVOT
Posted on: Mon, 28 Oct 2013 08:35:21 +0000
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