MONDE UTOPIQUE Parfois on a envie dun monde à notre vision, un - TopicsExpress



          

MONDE UTOPIQUE Parfois on a envie dun monde à notre vision, un monde damour, de respect, mais surtout épanouie. Existe til ? de Marie Extrait tome 1 Étrange découverte de La Voie De Lultime Espoir : mes passions. Copyright. bientôt en ligne ou chez vos libraire. lhistoire se déroule au 23e siècle. Cest parce quils oublient quau-delà de leur extrême pureté qui est loin den être pour plus dun, quil y a des êtres, sans être parfait, en harmonie et en équilibre avec leur corps, leur cœur et leur conscience et qui souhaite être libérés des contraintes quon leur impose dun extrême à lautre, donc qui nuisent à leur bien-être et santé. Pour éviter de les haïr et de céder à la vengeance, je préfère croire quil ny a que quelques-uns dentre eux qui ont contaminé le reste de leur équipe, à leur insu, mais il nempêche que cest réellement une cause perdue. Sauve qui peut son âme et sa conscience qui demeure son propre maître suprême. Au-delà, cest du domaine du trouble psychiatrique qui devient chevaleresque et légion, dans certains domaines politiques, économiques, sociaux et spirituels, voire cercles privés. Beurk ! Cest de lordre de la cradologie incurable des sciences humaines, politiques, sociales et spirituelles. Donc des peines perdues. - Pas totalement perdu, le relais n’appartient pas qu’au sportif, il suffit d’observer et de recruter les bons relayeurs, au bon moment ! Et surtout éduquer les adolescents et les jeunes, à une vision plus saine de lamour et des relations humaines, dans un cadre privé et adéquat. Je pense notamment à la médiation télévisée, sous forme de reportage ou à leur propre investissement sous forme dart, bien plus que lintervention humaine et leur long discours moraliste, pour éviter certaines dérives. De notre beauté jaillit le monde, né lhomme et se transmet sagesse, amour et bonté. Un jour viendra où ceux qui nous détruisent seront anéantis par les profondeurs et la noirceur de leur âme et conscience, dans la puanteur de leurs pensées et leurs actes de malheur. Et nous serons à nouveau épanouies. Mais ne commettez pas lerreur de blesser terriblement un véritable innocent, surtout en bas âge, dans son évolution existentielle, il deviendra le monstre que nous avons tant de mal à fuir et peut-être même un meurtrier en herbe. Nous sommes un peu responsables de chaque être humain qui croise notre route. Doù les idéaux de Martin Luther King, de Mandela, dEinstein, de Saint Exupéry, dHubert Reeves, Charlotte Whitton, Chris Savignan, une romancière engagée dans sa littérature et non sur le plan politique, et de bien dautres hommes et femmes des siècles derniers. et de bien dautres hommes et femmes des siècles derniers. Alors, oui, il faut réinstaurer une idéologie universelle adéquate et conforme à lhumanisme. - C’est vrai, à bien y réfléchir, ils ne sont pas les seuls à pouvoir monter des institutions de défense de leurs glorieuses valeurs chaotiques, nous aussi, nous devrions former une école du bonheur, avec de véritables soldats de l’amour, à caractère universel, citoyen, et non sectaire, même si lon sait davance quils ny respecteront jamais les frontières, suggérai-je, d’un ton dynamique et convaincu. On peut en faire autant et prendre ou récupérer ceux quils endoctrinent. Quoiquils se-raient capables den jouer pour justement y caser leur gosse, pendant quils prennent les nôtres. Mais il faut y croire et tenter le tout pour le tout, en surveillant leur stratagème. À la limite, peut-être qu’ils finiront par créer leurs propres ethnies et républiques, voire leur continent, sur lequel évoluer, vivre joyeusement leur doctrine ou se foutre joyeusement sur la tronche entre eux, ce qui serait comme a dit Neil Armstrong, « un petit pas pour l’homme, un grand pas pour l’humanité ». Voilà pourquoi j’ai eu cette altercation au lycée, c’était pour m’ouvrir la porte sur la compréhension du monde. Certains croient aux hasards, dautres aux destins, mais les deux croyances ne sopposent pas, car entre les deux se trouvent les briseurs de destins. Ceux-là sont les seuls à posséder le mystère des raisons de leur existence, parce que pour moi, ils sont inutiles. Mais ce qui pourraient les motiver à lâcher prise, cest quils au-raient en prime la reconnaissance de savoir respecter les frontières des valeurs de chacun, que de recruter des adeptes et victimes, au-delà de celles-ci. Ce qui n’est pas impossible, sachant qu’il y a des îles et pays qui disparaissent, mais pas aussi vite que ceux qui naissent, depuis la nuit des temps. Autant avoir une vision positive de l’avenir, que de sombrer dans la déprime et les états suicidaires que la psychiatrie n’a jamais réussi à résoudre véritablement, mais à empoisonner plus d’un et d’une. Tiens, je propose même un nom à notre légion, les chevaliers et chevalières de la résistance universelle et du relais éternel. - À mon avis, les hommes et femmes qui adoptent ces philosophies morbides de vie sont soi des lâches, soi de malades qui souffrent de troubles psychiatriques ou psychologiques, soi des délinquants, soi de potentiels criminels. Et quand ils conduisent leur propre victime à lauto-culpabilité de leur propre action nuisible ou mortelle, il protège leur conscience de la tourmente et donc dun acte répréhensible, mais à bien y réfléchir, celui qui sait et qui avoue quil peut être dangereux est de loin le plus fiable, que celui qui agit par lâcheté ou troubles du comportement, car il a tout de même conscience de devoir, en agissant ainsi protéger sa victime, argumenta Manou. Néanmoins, certains dentre eux agissent par automatisme intuitif et non par prise de conscience, lun dans lautre, cest à la victime de comprendre quelle a peut-être échappée au pire, dans la mesure où, rien ne nous en protège ni la loi ni la justice, si elle a réussi à partir dune telle relation. Au fond, jai connu quelques-uns qui étaient extrêmement bons, généreux et très ouverts aux autres, à lexception de leur souffre-douleur, dont tout en chacun en tire parti, en abandonnant la pauvre victime à son sort, malheureusement. Cest la loi des intérêts personnels qui priment. - Exact, ma douce mamounette, je ne voyais pas les choses sous langle criminologique ou délictuel, reconnus-je, dun air stupéfait. Finalement, ils ne sont pas tous au même stade de degré de folie, si certains parviennent à se calmer et à sassagir, par des actes de réparations de leurs fautes, auprès de leur victime ou de celle dun ou dune autre. Je crains tout de même quils puissent récidiver à tout moment et que le meilleur choix de vie, dans ces conditions, soit le célibat et des amourettes honnêtes, respectueuses et réciproques, avec leur homologue, mais pas une de leur proie à qui leur compatriote aura dressé un profil de per-vers narcissique, pour fuir leur propre image, sans être constamment sous les feux des projecteurs des préjugés destructeurs, autant au niveau de la pathologie psychique que de la liberté de vie. Et surtout, quiconque qui se sent devenir la proie ou le souffre-douleur de quelquun dautre, devrait avoir suffisamment dautonomie financière et physique pour ne pas rester, dans une relation toxique, quelle soit amicale ou amoureuse ou familiale. Les gens devraient tenter de comprendre chaque situation ou se taire, et encore moins rentrer dans un cercle infernal paranoïaque de ceux qui sont au bout de la ficelle de tous petits jeux de manipulations destructrices. Ceux-là mêmes qui sont au sommet de la hiérarchie de cette pyramide immonde et qui nauront jamais aucun regret ni remords ni de repenti du mal quils font, ni des potentielles retombées sur leurs enfants ou les enfants de leur proche ou amis. Ils devraient savoir que toute participation à un jeu de pourritures existentielles nest jamais sans conséquence pour eux également. Souvent les victimes qui se voient dresser le statut de pervers narcissiques sont celles qui ont osé déployer toutes les théories du monde pour sen défendre. Tout le monde a une part lumineuse et une part dombre en lui. Cette part dombre ne sert pas forcément à faire du mal, mais à se défendre de celles des autres. La meilleure défense demeure lindifférence, certes, mais après lanalyse de la circonstance réelle et ses potentiels impacts, sinon, il ne faut pas avoir peur ou hésiter de se défendre intelligemment ou brutalement. La légitime défense se juge sur le coup portée à son adversaire, par rapport à ses propres blessures. Pathologie ou délit, ce qui est certain est que celui qui ne ressent réellement aucun remords dun mal ou dun délit ou crime commis est un pervers. Et cette réalité est difficile à déterminer chez un joueur existentiel renommé, car cest un jeu qui sinstaure entre deux experts situés à des extrêmes opposés. - Et bien ça alors, si j’avais su que… » Malgré ses explications très enrichissantes et son sens de l’humour très véridique, ma pensée vagabonda quelques minutes, avant de m’en remettre et de lécouter attentivement. Savoir écouter, cest acquérir du savoir. « 338 ans ! Elle est donc née en 1886 ! Réfléchis-je, le regard illuminé d’admiration. C’est scientifiquement impossible... mais bon, inutile de la contrarier, elle est trop adorable ! » Certes, dans sa pseudo trois cent trente-huitième année, elle n’avait plus toute sa tête qu’en apparence, car elle cultivait sa forme et exerçait son art de redonner le moral à tous ceux qui lui faisaient confiance. Son allure élancée, sur ses 1 mètre 60, lui permettait encore d’adopter un mode vestimentaire très fun, d’une mamie très branchée. À un moment où ma réceptivité s’avérait plutôt détendue et alerte, son pantalon assorti à son tee-shirt et à son gilet déclencha ma crise de fou rire, lorsqu’elle m’expliqua le choix de son accoutrement. Elle prétendit qu’elle portait des pantalons, depuis la mort de son mari, parce qu’il n’y avait plus personne « pour porter la culotte et remplir ses poches d’oseilles ». Cet humour partagé et mon instinct empreint d’humanité me guidaient irrémédiablement vers elle. Mais trois heures s’étaient écoulées et les cris de Sami qui s’était réveillé de sa sieste, dans son berceau, résonnèrent à travers l’interphone. Abat-tue par mes contraintes existentielles cachées qui ressurgissaient de ma mémoire, je la remerciai de son accueil et gagnai mon duplex.
Posted on: Wed, 21 May 2014 12:20:19 +0000

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