Ma réflexion du 7e gouvernement tchadien de 2013 En 23 ans de pouvoir, IDI compte au bas mot 760 ministres à ce jour. Multipliez le nombre de ses Premiers ministres [14] par 40, moyenne de ministres par gouvernement. Ajoutez à ceci les 200 serviteurs de Dadnadji cooptés en 5 remaniements. IDI serait-il un polyandre ? Je donne ma langue au chat ! Commentaire du dernier gouvernement : kalzeubé n’a surpris personne ; il n’aurait rien proposé en termes de ministre. Car la même équipe qui serait complice de l’échec du gouvernement Dadnadji selon ses députés immolateurs du MPS, est reconduite presqu’en l’état. Sylla bakary et Padaré, caisse de résonnance du MPS, en campagne depuis belle lurette, sont maintenus pour parachever cette mission délicate. Kalzeubé ne pouvait pas non plus toucher à un seul cheveu de Moussa faki, Younousmi, Sabre, Gata, Adrien, Bédoumra… C’est le début du commencement de l’épreuve pour le Pm. L’opposition : elle est châtiée. Dahalop, le natif de Toukra, président du MDST est viré. Le MSA de Koulamallah émerge avec un fauteuil tandis que Dayang Enock, seul comme l’apôtre Pierre derrière Jésus, reste encore le seul rescapé du viva/rndp dans le gouvernement kalzeubé. Mon constat : puisqu’il ne peut y avoir qu’un seul hippopotame mâle dans un bief, Ahmet Djidda et Mackaye TaÏsso ne restent jamais dans un même gouvernement. Allez savoir pourquoi ! NB : ce gouvernement numérique est un habit trop ample pour l’économiste kalzeubé : pantalon de Moriba et veste de Meka.
Posted on: Mon, 25 Nov 2013 10:42:09 +0000
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