Mes petits loups, pas passé une bonne nuit ! me suis réveillé - TopicsExpress



          

Mes petits loups, pas passé une bonne nuit ! me suis réveillé souvent ! enfin, ce matin, je me remets au clavier pour pas très longtemps pour vous concocter un choix arbitraire - puisque mien !- concernant les éphémérides de ce jour. Voici donc le résultat de mes cogitations ! : -1213 – 14 octobre : Société - Acte n° 370 des vicomtes de Marseille. A Montélimar, promesse de mariage entre Bertrand des Baux, fils de Raimond, et Eudiarde, fille de Giraud Adémar, seigneur de Montélimar, et de Mabile, vicomtesse de Marseille. La dot est constituée de Gardanne, Roquevaire, Gémenos, le Plan d’Aups, les domaines laissés par la mère de Mabile, Laure, femme de feu le vicomte Guillaume le Gros et aïeule de la fiancée, à Saint-Julien, Artigues, Vinon, Ginasservis, Rians, et les fiefs qui provenaient des vicomtes, à savoir Pourcieux, Pourrières, Rousset, Manosque, Ceyreste. -1299 – 14 octobre : Justice - 14 octobre 1299, instrument authentique contenant la procédure faite par le juge de la cour royale de Draguignan qui prouve que Rossolin de Fos comme seigneur majeur de la Môle, y ayant pleine et entière juridiction, a toujours été en possession de connaître des premières appellations et de tous les crimes commis dans ladite terre tant par ses propres officiers que par les coseigneurs entre lesquels la dite terre était divisée en vertu des privilèges et de l’échange fait avec le Comte de Provence. -1399 – 14 octobre : Communications - Economie – Impôts - Péage – Lettres patentes de la Reine Marie et du roi Louis touchant la franchise du péage pour toute la Provence. -1419 - 14 octobre : Armée – Economie - Guerre - Population - Les gens de la Valette s’engagent avec ceux de Toulon, a faire farots et gardia nuyt et jort en la montagne appelée Bada (le Faron), terroir de Toulon, par l’espace de cinq ans, à raison de quatorze florins , chascun an, avec condition que iceluy gardien ne logera icelle garde ny nuit ny jort. Et après soleil caché, chascun jort pour seureté fera un farot, et, pour chaque fuste armée passant en mer de jort, faire fumée et nombre de l’armée que passera. -1554 – 14 octobre : Agriculture – Municipalité - Industrie - Les moulins à huile ont appartenu anciennement à la communauté de Six-Fours, et par ainsi on pourrait les reprendre et les rendre banaux. La possession que la communauté avait desdits moulins, apert par un mémoire écrit de la main de feu Maître Jean Lombard, notaire, du 14 octobre 1554, portant que les syndics de la communauté arrentèrent les droits qu’ils avaient sur les moulins à huile, à Guilhem Curet pour deux bouttes et demi d’huile. Et que sur les enchères qui furent faites au pied dudit arrentement, fut délivré audit Guilhem Curet une boutte dudit huile, à raison de neuf florins, un sol la millerolle, une boutte à Charles Vicard, à raison de 10 florins, un sol la millerolle, et demi boutte à Bernard Audibert, à quatre écus, moins deux sols. Pour une plus grande justification que les moulins à huile appartenaient à la communauté, il est justifié, que par acte reçu par Maître Lombard, notaire, le 5 novembre 1559, Bernard Guigou et Anthoine Aycard, syndics de la communauté, arrentèrent à Pierre Isnard, le moulin de graignans (grignons) ou (os) d’olive, appartenant à la communauté, pour une année, moyennant le prix de 28 florins. -1629 – 14 octobre : Commerce – Métiers de la mer autres que pêcheur – Pêche - Risques majeurs - IMPOSITION FAITE SUR LE NEGOCE DE LA MER : Par délibération du conseil de la communauté de Six-Fours, du 14 octobre 1629, serait (aurait) été imposé un droit de trois pour cent sur tous les profits des corps des vaisseaux et barques. Tant seulement, lequel droit fut affermé pour une année, à Maître Jean Lombard, notaire, intervenant pour et au nom de Sieur Michel Tortel, par acte reçu par Maître Lieutaud, notaire, le trois décembre audit an. Par lequel est porté que le fermier ne pourra demander plus grands droits que ceux décrits et spécifiés aux ordonnances portant imposition faite par le conseil, du 3 et 28 juin 1626, du profit tant seulement des vaisseaux et barques, à la susdite raison de trois pour cent, à ce, ladite imposition verbalement réduite, et par ainsi, que tous les vaisseaux et barques qui étaient en voyage, le droit appartiendrait au fermier et ceux qui étaient au port, de retour soit en ce pays ou autres lieux destinés pour leur voyage, avant ledit jour, appartiendront à la communauté. Et son année finie, en serait fait de même. Que la communauté ne serait tenue d’aucune (aduirie) audit fermier, soit par peste, guerre ou autrement, aussi seulement en cas de guerre déclarée entre la France et l’Espaigne. A tel cas, que l’acte serait pour non fait, et ledit fermier tenu de payer à proportion de temps qu’il aurait demeuré fermier, jusqu’au jour qu’il en aurait fait déclaration publique, et ce, moyennant la somme de 3 400 livres. -1669 – 14 octobre : Armée - Santé - « Sépulture à la cathédrale (de Toulon) de M. le chevalier dEstournel, capitaine-major au régiment de Brandeville-Picard, de retour de Candie, tombé malade à Saint-Mandrier, y décédé le 14 octobre 1669». Rappelons que lhôpital de Saint-Mandrier a été créé pour accueillir les blessés et malades en provenances des guerres que la France conduit en Méditerranée. -1711 - 14 octobre : Impôts - Municipalité - Le Conseil dOllioules donne une décharge en faveur de Cyprien Lantier, consul en 1697 « du récépissé qu’il avait en mains de la somme de 742 livres par lui payées pour les droits d’armoiries des habitants.» Ce court texte mérite un instant dattention. Dune part, on nous apprend que les communautés doivent payer des droits pour avoir les armoiries que le roi les oblige à posséder ; ce qui ne manque pas de sel ! Dautre part, cest le consul (cest-à-dire le maire, qui lui-même a dû payer pour avoir sa charge - eh oui ! il nest plus élu !) qui a avancé la somme que la communauté doit lui restituer. Rappelons, pour la petite histoire, que les consuls (ils sont trois), élus pour un an, sont garants sur leurs deniers des sommes engagés par la communauté. Si les dépenses dépassent les rentrées, il leur faut payer de leur poche la différence ! à réfléchir ! -1720 – 14 octobre : Municipalité - Population – Risques majeurs - Santé - le quatorze octobre trois personnes décédèrent à Bandol. -1725 – 14 octobre : Municipalité - Population – Le 8 Octobre 1725, en exécution dune lettre du roi du 7 Septembre dernier et de celle de monseigneur le Premier président, il fut prescrit à la communauté, comme aux autres, de faire chanter un Te Deum pour le 14 du courant, pour faire des réjouissances à loccasion du mariage du roi Louis XV avec Marie Leczinska. Pour donner toutes les marques de réjouis¬sance, on devait faire une feu de joye, faire tirer le canon, mettrç les~ habitants sous les armes. On acheta des flarnbeaux, des chandelles, des sarments pour le feu et autres choses dont il fallut régler la dépense. Le roi sera fidèle à son épouse jusquen 1737. Ensuite, il aura des intrigues amoureuses et particulièrement avec Pauline de Mailly de Vintimille, de qui naîtra un fils qui deviendra le dernier seigneur d’Ollioules-Sanary la Révolution. De son côté, Ollioules vote une dépense de 103 livres à l’occasion de ce mariage de Louis XV avec Marie Leczinska. Nota : De l’union du roi et de Marie naîtront 10 enfants dont un seul survivra. -1791 - 14 octobre et 1792 – 3 mai : Armée – Municipalité – Population - En exécution de la loi du 14 octobre 1791, eut lieu le 3 mai 1792 la création de la Garde Nationale du canton de Saint-Nazaire (Sanary). Celle-ci comprit 5 compagnies, au total 230 hommes qui passeront à 327 par la suite : compagnie de Grenadiers (30 hommes) ; compagnie de sainte Catherine, capitaine Jacques Dussueil (50 hommes) ; compagnie de Pénitents blancs, capitaine Antoine Venel (50 hommes) ; compagnie de sainte Ternide, capitaine Antoine Soleillet (50 hommes) ; compagnie de la Tourelle, capitaine Joachim Gautier (50 hommes). Etat-major : Pierre Fabre, commandant ; Jean Paul, adjudant ; Jérôme Pardigon, porte-drapeau. Première section, dite du Levant : Antoine Venel, Pierre Armelin, Joseph Gracq, Charles Forest, Pierre Gay, Joseph Rey, Louis Boyer, Pierre Rey, Antoine Boyer, Jacques Arnaud. Deuxième section, dite « du Ponent » : Jacques Dussueil, Jean-Baptiste Arnaud, Antoine Deprat, Pierre Augier, André Taneron, Antoine Imbert, Jacques Courreau, Lazare Aubert, Barthélemy Reboul, Joseph Blanc. Troisième section, dite de « Sainte Ternide » : Antoine Soleillet, Joseph Giboin, Laurent Laugier, Jean-Baptiste Boyer, Louis Brun, Jean Gravier, Joseph Soleillet, Pierre Pignol, Esprit Pignol.] -1793 – 11, 12, 14 et 22 octobre : Armée – Collectivités - Guerre – International – Municipalité – Population - Analysons quelques délibérations du Comité de Salut Public de Saint-Nazaire (Sanary). Les 11 et 12 octobre fut dressée la liste générale des personnes se trouvant « dans la traite ville de Toulon, soit avant ou après larrivée du général Cartaud ». Elle comprenait : 1° Jérôme Fournier, Laurens Deprat, Charles Hermitte, Antoine Aicard, Barthélémy Reboul, Jean André, Calixte Rous-tan, Laurent Sabatier, Jean-Louis Reboul, Joseph Reboul, Antoine Andrac,Toussaint Andrac, Joseph Lien, Antoine Deprat, Nazaire Daniel et Deloulle, tous embarqués sur les vais¬seaux de la République ; 2° Jean-Louis Arnoux, Barthélémy Vidal et son iils, Jean Allègre, Louis Comte, Pierre Armelin et son fils, Cyprien Vernet, François Vernet, Nicolas Dugué, Jean Mislre, employés à lArsenal ; 3° Jacques Fournier, pa¬tron dun bâtiment de la côte, Duvignos, commissaire de la marine, habitant Toulon, Hédouin, officier dartillerie, marié à Sanary, Jean Gautier fixé à Toulon depuis 15 ans, Grâce Andrac, mariée à Toulon depuis 12 ans, Jean-Jacques Verdillon au service de la République, soit en tout 33 personnes. La femme et les enfants, le cas échéant, de 3 personnes seulement sétaient réfugiés, disait-on, à Toulon ; la sœur de 2 autres avait pris la même détermination. Le 14 octobre furent ajoutés à ce tableau, deux citoyens habitant Toulon : Joseph Aicard, officier bombardier dans cette ville, possédant des immeubles à Saint-Nazaire, et Jean-Joseph Tournaire, embarqué sur les vaisseaux de la République. Trois noms de Toulonnais, propriétaires de biens à Sanary, furent encore relevés (22 octobre). -1793 – 14 octobre : Armée – Guerre – International – Le 14 octobre les Anglais lancent une attaque sur les batteries du plateau des Arènes, de Gaux, de la Goubran. Bonaparte se précipite, consolide les positions et reste avec ses batteries en place (douteux, n’est pas corroboré par d’autres témoignages). En revanche, on sait que la reprise de la batterie fut suivie dune attque poussée par les troupes conventionnelles jusque dans les fossés de la redoute Malbousquet. Beaucoup dhommes y laisseront la vie et un grand nombre de balles seront utilisées en vain. Ce qui reculera dautant loffensive finale contre la forteresse. -1793 – 14 octobre : Collectivités - Guerre – Industrie - Justice – Métiers de la mer autres que pêcheur - Municipalité – Pêche - Population - Pour atténuer le mauvais effet des décisions relatives aux absents, parut une lettre des administrateurs du district du Beausset, déclarant que les ouvriers et les marins employés à Toulon étaient à labri de larrêté des représentants du 14 septembre, à moins davoir donné des preuves dincivisme depuis le commencement de la Révolution. Dailleurs ils ne pouvaient pas sortir de cette ville et lon faisait feu sur ceux qui cherchaient à séchapper (14 octobre). -1793 – 14 octobre : Justice – Population – Société - TRABUC François, né à Hyères (Var) mais arrêté à La Seyne; âgé de 48 ans. Jugé par le Tribunal révolutionnaire des Bouches-du-Rhône devant lequel il comparut pendant le siège de Toulon. II fut condamné à mort le 14 octobre 1793. HERMITTE Jean, de La Seyne. Jugé par le Tribunal révolutionnaire des Bouches-du-Rhône devant lequel il comparut pendant le siège de Toulon. II fut condamné à mort le 14 octobre 1793. -1795 – 14 octobre (22 vendémiaire an IV) : Collectivités – Economie - Organisation de ladministration des monnaies. -1796 – 14 octobre (23 vendémiaire an V) : Collectivités – Justice - Population – Société – Le 23, les citoyennes Sophie et Victoire Coulomb sont rayées de la liste des émigrés et réintégrées dans leurs biens à Toulon. -1811 – 10 et 14 octobre : Armée – Communications - Guerre - Linspecteur sémaphorique rend compte à lautorité maritime des travaux relatifs au changement du mât du sémaphore de Sicié. (Lettres des 10 et 14 octobre 1811). -1877 - été : Climat – Eté anormalement froid avec 8°C à Paris les 7 et 8 juillet, 6°C à Paris le 9 août, 5°C à Paris le 6 septembre (6°C la veille). Mais 24,20°C à Paris le 14 octobre. -1893 – 14 octobre : Armée - Cimetière - International - Risques majeurs - En 1893, lescadre russe vient rendre à notre marine linoubliable visite faite à Cronstadt len 1891. Cest en cet honneur que Toulon a donné le nom de Cronstadt à l’un de ses quais. Cette visite a une portée particulière. Lescadre russe ne sera pas reçue comme le sont habituellement les escadres étrangères par les autorités maritimes. Le Ministre de la Marine, en personne souhaitera la bienvenue à lAmiral Avellane de la part du gouvernement français. De même à Paris les officiers russes seront reçus par le Président de la République et les membres du gouvernement naturellement, puis par la ville de Paris. Nous voyons donc quà léchelon national cette visite est entoutrée dun grand éclat. Le vendredi 13 octobre 1893 lescadre russe appproche. Les bateaux à vapeur de Toulon-Saint-Mandrier arrivent bondés de voyageurs, qui se dispersent le long de la côte et plus particulièrement vers le sommet du fort de La Carraque où se trouve un emplacement des mieux choisis pour voir défiler les flottes russe et française, ainsi que le long de la plage de La Vieille jusquà la pointe portant le même nom. La vigie de la Croix des Signaux signale les bâtiments russes en vue à 5 milles dans le Sud-Ouest du Cap Cépet. Au passage du cuirassé «LEmpereur Nicolas», battant pavillon du Contre-amiral Avellane, la musique entonne «lhymne russe» aux applaudisse¬ments dune foule nombreuse dispersée dans une multitude dembarcations aux alentours du phare. Lhymne russe est ainsi répété à chaque navire russe. Les pavillons flottent joyeusement aux mâts et les cloches sonnent à toute volée. Le croiseur Davout qui accompagne lescadre russe, est salué à son passage, aux accents de La Marseillaise. Lescadre française et lescadre russe franchissent la passe en même temps. L’Empereur Nicolas 1er salue la terre de vingt et un coups de canon, salut aussitôt rendu par le Formidable. Noublions pas de dire que de nombreuses réjouissances furent organisées et que les matelots russes permissionnaires fraternisèrent avec les matelots français et furent reçus avec enthousiasme par la population. Des fêtes franco-russes sont données dans de nombreuses villes de France, on porte des toasts au Tsar, à la Russie, à lAmiral Avellane, à ses marins. De nombreux délégués des différentes agglomérations sont envoyés à Toulon pour assister aux festivités et pour porter des messages de sympathie. Le lendemain soir, samedi 14 octobre, une fête vénitienne donnée dans la rade, attire encore du monde sur les hauteurs de Saint-Mandrier. «Des projecteurs électriques sont dirigés sur tous les points de la rade ; des jets et des nappes de lumière blanche sétendent sur le port et la ville ; des feux de bengale incendient la rade en mettant en relief les carènes et les mâtures des bâtiments. -1927 - du 30 juillet au 14 octobre : Armée - Industrie – Le porte-avions Béarn est à Milhaud jusquau 14 octobre. -1960 – 11 au 14 octobre : Armée - La préfecture maritime communique que des tirs à la mer seront effectués par la batterie de Saint-Elme, le mardi 11 octobre, de quatorze heures à seize heures, et par la batterie de La Renardière les 12, 13, et 14 octobre, de huit heures trente à douze heures et de quatorze. Nota : sous loccupation allemande (1942-1944), la batterie de La Renardière avait pour mission principale la protection de Toulon et de Saint-Mandrier contre les raids aériens alliés. Elle était dotée de quatre canons de 105 mm. La batterie de Saint-Elme, située face au fort du même nom, était prévue pour parer à toute velléité dattaque de la flotte alliée. Pour cela, loccupant lavait pourvue de trois pièces de 138 mm. Le personnel était constitué de deux officiers, dix huit sous-officiers et de deux cent quatre artilleurs. Cette infrastructure côtière possédait également une section déclairage composée de cinq canons mis en batterie aux Sablettes (deux de 75 mm, trois de 100 mm). Ces deux ouvrages seront récupérés après la guerre par la Marine nationale (centre dessais pour le premier, école de tir pour le second) -1964 – 14 octobre : Armée – Divers - Mercredi 14 octobre, 14h 50 très exactement. Une alouette II de lescadrille 23 S basée à Saint-Mandrier sabîme en mer entre lîle de la Fourmi et lîle du Levant. Léquipage de lescorteur descadre DEstrées qui patrouille à proximité des îles dHyères est témoin de la chute verticale de laéronef. Des hélicoptères de laéronavale, des plongeurs du G.E.R.S., des bâtiments rapides et des dragueurs de la 3ème escadre se portent immédiatement sur les lieux du crash. La mer démontée ne facilite pas les recherches. 17h 30 : seules les roues de lappareil ont été repêchées. -1994 – 14 octobre : Justice – Politique - Le ministre de lIndustrie, des Postes et Télécommunications et du Commerce extérieur Gérard Longuet démissionne de ses fonctions. Il est impliqué dans laffaire du financement de sa villa de Saint-Tropez (Var) – pour laquelle il sera mis en examen le 12 janvier 1995 – et dans laffaire du financement du Parti républicain (P.R.) quil préside. Références : Arch. départem. des B.-du-Rh., dépôt annexe dAix : L. 94, 103, 103 bis, 448. Archives communales de Toulon, série G.G., registre n° 4, 1669, cité par Octave Teissier. Archives de Sanary, D4. Archives de Sanary, I2. Barthélemy Rotger, 1984. Catalogue des titres de la terre de la Môle, n° 6 : Cayol M., 1980 de Gérin-Ricard: B. Arch. départ. des Bouches du Rhône, B 308; a. Dr Barthélemy, Recherches... sur la maison des Baux, dans le Congrés archéologique de France, Arles 1876, p. 403; IND. Dr Barthélemy, Inventaire, n° 159.. de Ribbe, 1898, p. 26 (se référantà Henry, Notice sur l’origine du nom de la montagne de Faron. Eugène Castellan, 1937 Henri Ribot, archives personnelles. Henriette Trojani, La société et la vie à Toulon de 1795 à 1815. Thèse pour le doctorat duniversité, CRDP, Aix-en-Provence, n.d., 440 p., dactyl. la.climatologie.free.fr/intemperies/tableau4.htm lucotte.fr/fr/documentation/general-a-24-ans/ Jean Denans, 1713. Jean Moulin, Morareau Lucien, Picard Claude, 2001 - Le Béarn et le Commandant-Teste. Ken Nicolas. Louis Baudoin, 1965, p. 440. O. Viguier. - Mémento … 1993. Rotger B., 1982, p. 462. Yann Fauchois, 2001.
Posted on: Mon, 14 Oct 2013 04:46:34 +0000

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