NOTRE HISTOIRE OCCULTÉE Ferhat Ben Soltane..! Bou-Rennane : - TopicsExpress



          

NOTRE HISTOIRE OCCULTÉE Ferhat Ben Soltane..! Bou-Rennane : Histoire Chevaleresque (1713 _ 1785) par Mokrane Mokrani ⋅ samedi 20 août 2011 ⋅ Répondre à cet article Sidi-Bou-Zid ben Sidi Betka qui est le deuxième Cheikh de la Medjana, mort en 1734 fut enterré à Tazerout (Oulad Khelouf) Cne El-Kssour, au cimetière du marabout Sidi-Ali-el-Tiar, auquel il avait accordé beaucoup de terres en dotation. Depuis cette époque, et jusqu’à la domination française, les Mokrani ont eu à Tazerout leurs tombeaux de famille. Sidi-bou-Zid laissa quatre fils : Abd-er-Rebou, El Hadj : (Promoteur du Soff des Oulad El Hadj) , Bou-Rennane :(Promoteur du Soff des Oulad Bou-Rennane) et Abd-es-Selam : (Promoteur du Soff des Oulad Abd-es-Selam), tous issus d’une même mère, nommée El-Hadja-Zouïna, originaire de l’Oued-el-Djenane du Dira d’Aumale (Sour-El-Ghozlane). Du consentement de ses frères, EI-Hadj prit en main le pouvoir suprême. Bou-Rennane, homme au caractère fougueux, ne pouvant supporter le repos et l’oisiveté, et ne se plaisant qu’à la chasse ou à la guerre se chargea de réduire les Oulad-Màdhi qui s’étaient révoltés peu de temps avant la mort de son père.Il parvint en effet, à leur faire éprouver de grandes pertes et les refouler dans le Sud. Pendant trois ans, les Oulad-Màdhi n’osèrent reparaître dans le Hodna, et leurs terres, si fertiles, restèrent abandonnées durant cette période. Abattus par leurs malheurs successifs, ils durent se soumettre à Bou-Rennane, qui les traita toujours en tributaires. A cette époque, la guerre éclata entre les Turcs et les Mokrani. Voici quelles furent les causes qui la provoquèrent : El-Hadja-Zouïna, veuve de Sidi-bou-Zid, avait accompli le pèlerinage de la Mecque peu de temps avant la mort de son mari. Dans la caravane qui la ramenait l’Orient, se trouvait un Turc, nommé El-Hadj-Bakir, khalifa du bey de Constantine, qui, par amour, ou peut-être même dans l’espoir de s’allier à une riche et puissante famille, offrit à la veuve de l’épouser. Celle-ci refusa mais le Turc insista et abusa de sa force pour satisfaire sa passion brutale. Quand El-Hadja-Zouïna arriva à Tunis elle se hâta d’écrire à ses quatre fils, se plaignant amèrement de la conduite tenue à son égard par le khalifa Bakir. « Si vous ne me vengez pas de cette insulte en tuant cet homme, disait-elle, en terminant sa lettre, je vous renie pour mes enfants, et jamais plus je ne remettrai les pieds dans la Medjana. » Le khalifa Bakir, de retour à Constantine, ne tarda pas à recevoir l’ordre de se mettre en route pour Alger, ou il devait porter au pacha le tribut de la province, a son arrivée dans la Medjana, les Oulad-Mokrane et les Hachem allèrent à sa rencontre, ainsi qu’on avait l’habitude de le faire pour les dignitaires et les troupes turques traversaient le territoire. Il était d’usage que les goums arabes se groupent à distance, et que le chef du pays suivi seulement des principaux membres de sa famille se porte au milieu de la colonne pour souhaiter la bienvenue au bey ou au khalifa. Ce jour-là ; El-Hadj et Bou-Rennane, n’observant pas les formalités établies précédemment pour ces sortes de réception, s’avancèrent avec leurs cavaliers jusqu’au milieu de la colonne turque à laquelle ils se mêlèrent ; Bou-Rennane, placé à côté du khalifa Bakir, lui appuya le canon d’un pistolet sur la poitrine et le tua raide. A ce signal, le reste de la colonne, marchant sans défiance, fut écrasé en quelques secondes ; chaque cavalier avait choisi sa victime. Les Turcs, surpris par cette attaque subite, se troublèrent, et la confusion se mit dans leurs rangs. Se sauvant dans tous les sens, ils ne songèrent qu’à sauver leur tête ; mais tous subirent sans merci le sort du khalifa. Cette affaire que l’on peut, sans hésitation, qualifier de guet-apens, se passa à Teniet-el-Hamil, à l’endroit que signale encore un tas de pierres nommé Neza-Bakir, le tumulus de Bâkir. Quand les colonnes turques repassèrent plus lard dans ces lieux, elles prirent l’habitude de suspendre la batterie de leurs tambours, et de faire une pose pour rendre hommage aux victimes de ce massacre. Lorsque les Turcs apprirent le massacre de leurs frères, ils se portèrent dans la Medjana avec des forces imposantes et de nombreux auxiliaires arabes recrutés dans le reste de la province. Parmi ces auxiliaires, figurait un membre de la famille des Mokrani : c’était Aziz-ben-el-Guendouz, qui servait d’aveugle instrument à la politique turque dont la maxime, bien connue, était de diviser pour régner. J’appelle l’attention du lecteur sur ce fait important, .qui, devenant l’origine d’un antagonisme de prétentions, d’opiniâtres et sanglantes discordes, sera le commencement de calamités annonçant le début de la décadence des Oulad-Mokrane. A partir de cette, époque jusqu’au moment de la conquête française, c’est à peine si on peut compter une succession de quelques années de paix. Ce ne sont plus que révoltes, guerres et trahisons. La colonne du bey établit son quartier général à Aïn- Medjana. El-Hadj , Bou-Rennane, Abd-es-Selam et les autres Mokrani, rassemblèrent leurs forces sur les crêtes de Drâ-Methnan, dans l’intention d’opposer une vive résistance. Mais les deux armées restèrent en présence pendant plusieurs jours, sans oser en venir aux mains sérieusement. Pendant ce temps, les Turcs ne restaient pas inactifs ; ils travaillaient dans l’ombre pour briser l’accord des Mokrani, et ils réussirent à faire pénétrer dans leur camp quelques agents dévoués, qui, flattant alternativement les passions et les instincts des uns au détriment des autres, ne tardèrent pas à soulever parmi eux des sentiments de jalousie et d’animosité. De pareilles dissensions menaient inévitablement à des actes de violence. Bou-Rennane et son frère Abd-es-Selam, poussés secrètement l’un contre l’autre par des insinuations perfides, eurent une violente altercation qui éclata à l’occasion du commandement des goums ; chacun d’eux prétendant avoir une valeur personnelle supérieure à celle de son rival, voulait avoir l’omnipotence. Ils en vinrent rapidement aux grosses paroles ; mais comme chacun s’employait à apaiser leur courroux, on les décida à soumettre le différend au jugement de leur frère aîné Si-el-Hadj. « Nous venons te trouver, lui dirent-ils, pour que décides lequel de nous deux aura le commandement goums. » Si-el-Hadj, en homme sage, chercha d’abords à calmer les deux antagonistes. Quand il vit que tous ses raisonnements étaient inutiles, il leur dit : « Ne mettons pas en parallèle ce que vous avez pu accomplir dans le passé. Mais, puisque l’ennemi est devant nous, faites-moi connaître les moyens que chacun de vous compte employer pour le combattre. Votre réponse témoignera de votre valeur personnelle ? » « Je monterai à cheval, dit d’abord Abd-es-Selam ; me placerai sur le chemin que voudra prendre l’ennemi, je l’attendrai de pied ferme, et, quelque nombreux qu’il soit, je me fais fort de soutenir son choc sans reculer d’un pas. » Bou-Rennane prit la parole à son tour : « Si nos cavaliers sont mis en déroute, je me tiendrai seul à l’arrière-garde, pour couvrir la retraite et relever les blessés. Tant que je serai debout sur mes étriers, je défie l’ennemi de toucher à aucun des nôtres. » Si-el-Hadj ayant entendu, prononça son jugement en ces termes : « 0 Abd-es-Selam ! J’accorde la préférence à ton frère Bou-Rennane ; si tu es blessé ou que ton cheval s’abatte, tu ne cours aucun danger, puisque ton goum te suit et peut te protéger. Tandis que si le même accident arrive à Bou-Rennane, il succombera, afin de sauver ses frères. » Choqué par la justesse de ce langage, Abd-es-Selam se retira dans sa tente, le coeur plein d’amertume et de haine. La préférence accordée à son frère, préférence qu’il regardait comme un outrage, lui causait un violent dépit. Avant le jour, il part seul, disant à ses serviteurs qu’il a juré d’aller abreuver son cheval à Aïn-Medjana, autour de laquelle campe la colonne turque. Il arrive, en effet, à la fontaine et y abreuve son cheval, après avoir pénétré sans obstacle au milieu des tentes ennemies. Au moment de repartir, survient un palefrenier amenant à l’abreuvoir le cheval du khalifa turc commandant de la colonne. Abd-es-Selam s’en empare et disparaît galop, sans laisser aux Turcs le temps de l’arrêter. Arrivé Teniet-el-Hamil, il lâche son cheval et monte celui du khalifa ; mais à peine a-t-il posé le pied à l’étrier de nombreux cavaliers, lancés du camp à sa pou apparaissent et l’entourent. Cependant, les Oulad-Mokrane, s’étant aperçus du départ d’Abd-es-Selam, que l’on savait très mécontent, se mire à battre la campagne pour découvrir ses traces. Au bruit d’une vive fusillade, ils pressent la marche, et voient bientôt, dans la plaine, un seul cavalier résistant avec vigueur contre un goum nombreux, qui tire sur lui sans oser l’approcher. C’est Abd-es-Selam ; ses frères le rejoignent et, tous ensemble, se portant alors en avant, dispersent l’ennemi. L’acte audacieux d’Abd-es-Selam irrita le caractère fier et bouillant de Bou-Rennane. Lui aussi se promettait d’accomplir des prouesses. Les Oulad-Mâdhi, travaillés par Aziz-ben-el-Guendouz, étaient hostiles aux Oulad-Mokrane. Bou-Rennane projette de les châtier sans le secours de ses frères. Suivi de deux cavaliers seulement, il se met en route sans prévenir personne, et ne s’arrête qu’à l’Oued-Chellal, où il fait sa prière pendant qu’il laisse aux chevaux Je temps de souffler. Il s’approche ensuite des douars des Oulad-Mâdhi, et enlève, sous leurs yeux, plusieurs troupeaux de chameaux répandus dans les champs l’alerte est bientôt donnée, et, de tous côtés, on se met à la poursuite des audacieux ravisseurs. Bou-Rennane avait donc à se défendre contre une population qui le haïssait déjà depuis longtemps, et dont la colère était, poussée à bout par la capture de ses bestiaux. Les deux serviteurs, hommes d’une bravoure éprouvée, portaient chacun deux fusils ; leur chef était armé dé la même manière. La lutte s’engagea, et, pendant que Bou-Rennane faisait feu partout où se présentait l’ennemi, ses compagnons rechargeaient les armes et chassaient rapidement les troupeaux devant eux. Sept Oulad-Màdhi Ayant été tués presque à bout portant, la poursuite discontinua, et Bou-Rennane rejoignit paisiblement ses frères, auxquels il offrit le partage de sa razzia, les priant de nouveau d’être juges entre lui et Abd-es-Selam. Tous ces exploits superflus, ces actes d’héroïsme extravagants, dans un moment critique, n’eurent d’autre résultat que d’aigrir davantage l’humeur déjà surexcitée des Oulad-Mokrane, et de les épuiser avant la lutte décisive L’esprit de calcul et de prévoyance leur fit défaut ; chacun d’eux fit, dès lors, bande à part et chercha à se crée un parti distinct, lorsque, contre un péril commun, il fallait le secours de tous. Bientôt, ils cessèrent de s’étendre ; ce ne fut plus qu’un corps désagrégé ; et quand la colonne turque, tenue au courant de ces mésintelligences intestines, prit l’offensive, les Mokrani ne purent résister. Enfoncés et dispersés isolément, ils se virent obligés de fuir, laissant la plaine jonchée de leurs morts Pour échapper aux poursuites, ils s’exilèrent dans la montagne, les uns à la Qalâa, les autres à Kolla, chez les Beni-Aïdèl, ou bien encore dans l’Ouennôugha. Ils vécurent errants, mais toujours séparés et hostiles aux autres, dans une résignation fataliste, pendant une période de sept à huit ans. Bou-Rennane, au caractère violent et impétueux, à qui il fallait des espaces sans fin à parcourir pour calmer son ardeur, retourna dans le Ilodna, fil la guerre aux Oulad-Mâdhi, de concert avec Abd-es-Selam, les soumit après avoir chassé son compétiteur, Aziz-ben-el-Guendouz, et continua à vivre parmi eux. Il soumit également les Oulad-Naïl, qu’il battit à Aïn-Tlela, du côté de Boghar. C’était lui qui exécutait tous les hardis coups de main, pour étendre l’influence de la famille. Le sentiment du danger ne trouvait pas accès dans cette âme fortement trempée. En hiver, il avait l’habitude d’aller chasser au vol et à courre dans le Sud avec son ami El-Hadj-Aïssa, marabout du pays d’El-Aghouat. Ce dernier passait pour avoir le don de prévoir l’avenir : on raconte qu’il disait souvent à son compagnon de chasse : « 0 Bou-Rennane ! Je te conseille de fixer ta résidence à la Qalâa et de renoncer à vivre sous la tente. Cesse d’être aussi violent que le faucon qui plane dans les cieux ; car le faucon, vois-tu, à toujours le chagrin retrouver son aire vide. » Bou-Rennane, à qui l’activité était nécessaire, n’en continua pas moins sa vie aventureuse, et finit par périr victime de son audace. Un homme des Oulad-Mâdhi, qu’i avait grièvement blessé dans un moment de colère, trouva l’occasion de se venger et le tua, sur les bords de l’Ouad el-Abiod, un jour qu’il était en chasse. Bou-Rennane fut enterré à M’sila, auprès de la koubba de Sidi-bou-Djemline (vers 1785). Quelque temps avant sa mort, c’est-à-dire vers 1783, le voyageur français Desfontaines traversait la Medjana écrivait ainsi ses impressions de voyage : Le cheikh de la Medjana est chérif d’une famille ancienne. Ces Arabes sont riches et très bien vêtus ; ils ont de très beaux chevaux et d’immenses troupeaux ; ils rappellent l’idée des premiers âges du monde. Leur courage et le voisinage des montagnes les ont sauvés de la servitude. Ils ont détruit les forteresses que les Turcs avaient établies dans leur voisinage. Ils font payer les Arabes, des montagnes voisines, et leur commandent en souverains ; mais ils ne payent rien à personne. Le pays se nomme Medjana et la nation M’karnia (Mokrania). Le cheikh se nomme Bou-Rennane : l’année dernière, il était en guerre avec Alger, et enlevait des bestiaux sur le territoire de Constantine. Il faisait aussi la guerre à un autre cheikh, son parent, qui se nomme (Ben-el-Guendouz). » Bou-Rennane laissa après lui cinq enfants : Ahmed, Ali, Abd-Allah, Bou-Zid et El-Ouennoughi. Leur oncle Si-el-Hadj, les recueillit et les éleva. Les Bou-Rennane d’aujourdhui sont ceux de Medjana, d’el Achir, de Bordj Bou Arréridj, de Tougourt et les Bou-Rennane cherif de la Zmala de Bordj Ghedir). P/Mokrane Mokrani Étiquettes Mokrane Mokrani Répondre à cet article Commentaires 1 Message Bou-Rennane : Histoire Chevaleresque (1713 _ 1785) saha eftourkoum, permettez moi d’ajouter un plus a votre article de Bourenan de son vrais nom abou ghanam. voici un extrait de l ouvrage de desfontaines.qui est passé par la region de bordj vers 1780 les Arabes qui l’habitent sont nombreux. Le cheikh est chérif d’une famille ancienne. Ces Arabes sont riches et très bien vêtus ; ils ont de très beaux chevaux et d’immenses troupeaux, ils rappellent l’idée des premiers âges du monde. Leur courage et le voisinage des montagnes les ont sauvés de la servitude. Ils ont détruit les forteresses que les Turcs avaient bâties dans leur voisinage. Ils font payer les Arabes des montagnes voisines, et leur commandent en souverain ; mais ils ne paient rien à personne. L’année dernière , ils étaient en guerre avec Constantine. Le pays se nomme Megenah , et la nation Moffaina. Le cheikh se nomme Bouremen : son parent, autre cheikh , se nomme Bengendouss. Les habitans des montagnes, au midi de la plaine, s’appellent Ben-Echech. Le nom de la montagne est Gibel Ayave. Tous les Arabes des environs de la Porte de fer se nomment Ouan-Oura ; ceux de la gauche, Beni Ebbess ; ceux-ci ne font de mal à personne ; ceux de ce côté qui avoisine la Porte, se nomment Beni-Ortou ; et les peuples qui sont du côté de Boujica, en descendant la rivière, Zouaou. supposant que : moffaina=mokarnia djebel ayave=djebel emrraissan zouaou= nom de qlqes familles qui habitent actuellement la riviere meguedem qui descend de djebel emraissan et c’est cette riviere qui était le chemin pour aller a bejaia boujica. vous pouvez consulter l’ ouvrage de desfantaines via ce lien books.google/books?id=edUOAAAAYAAJ&pg=PA88&lpg=PA88&dq=boujica&source=bl&ots=ZFvjWp0Ln-&sig=fRe3kCtEskMtGd_RnxT_bsFeG7A&hl=fr#v=onepage&q=boujica&f=false voici un extrait du voyageur peysonnel qui est passé par la région de Bordj vers 1720 Le 19, nous entrâmes dans le pays de sultan Bouzid, qui commande dans les montagnes qui se trouvent les Portes-de-Fer. Ce sultan,roi ou chef des Arabes , a une nation formidable et qui se réfugie dans les montagnes à l’abri des insultes des Turcs. Nous passâmes à travers une plaine remplie de douars de la nation du sultan, et nous fûmes obligés de camper à Medjana, auprès d’une fontaine, sans tentes ni arbres, ni rien qui pût nous garantir des ardeurs du soleil, qui fut ce jour-là très violent. C’est ici que la peur fit bien changer de ton à messieurs les Turcs. Nous étions au milieu des douars et des monceaux de paille, sans oser en prendre ; les moutons venaient boire auprès de nous et personne n’osait y toucher, quoique plusieurs n’eussent que du pain à manger. Sultan Bouzid, chef de cette nation, ne permet pas que l’on fasse la moindre insulte ; il ne paie aucun tribut, et l’on s’estime encore heureux d’être en paix avec lui, sans quoi il faudrait aller passer dans le Sahara, pour aller d’Alger à Constantine. On veilla toute la nuit, crainte des voleurs ou de quelque surprise. Nous partîmes deux heures avant le jour pour entrer dans les montagnes de Biban ou des Portes-de-Fer. La route fut O.-N.-O. six lieux. vous pouvez consulter l ouvrage de peysonnel via ce lien books.google/books?id=SPRCAAAAcAAJ&pg=PA374&lpg=PA374&dq=sultan+bouzit+peyssonnel&source=bl&ots=XGYkHIBg6O sig=6aqz6Cz7IohnyL93Tx6otqQQc_g&hl=fr#v=onepage&q&f=falses
Posted on: Sat, 02 Nov 2013 19:20:39 +0000

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