Ne laisse pas ta flamme s’éteindre, étincelle après précieuse étincelle. Ne laisse pas périr ce héros qui habite ton âme dans les regrets frustré d’une vie que tu aurais mérité et que tu n’as plus jamais atteint .Tu peux gagner ce monde que tu désires tant, il existe, il est bien réelle, il t’appartient, tout est possible. Pour rester sois même dans un monde qui s’évertue jour et nuit à vous rendre n’importe qui, il faut gagner la plus rude bataille qu’un humain ne puisse livrer, et cette bataille n’a pas de fin. A mon avis lorsqu’on est confrontée à des choix que ce soit en acte ou en pensé gardons à l’esprit que nous sommes mortelles, et tachons de vivre de manière à ce que personne n’est à se réjouirent de notre mort. Pendant un bref moment tout était différent quelque chose s’était établie, quelque chose de profond, le temps c’est arrêté, le mouvement aussi et la vie a repris son cours. Quelle étrange machine que l’être humain ? Un assemblage de réglage cadran et de signaux, dons nous pouvons déchiffrer qu’une partie et encore sans doute d’une façon très précise. Certains pensent que le vol d’un corbeau guide les voyageurs jusqu’à leur destination, d’autre croit que la nuit d’un corbeau solitaire est un heureux présage, par contre si en envoie plusieurs à la fois des ennuis sont à prévoir. L’univers paraît étrangement bien ordonnée on l’en voit à la régularité du mouvement des étoiles, de la rotation de la terre, du passage des saisons, mais la vie humaine et l’expression même du Cao. Chaque personne tente de faire valoir ses droits, d’imposer sa volonté, ses sentiments sans comprendre ce qui fait avancer les autres, ni ce qui l’ai fait avancer eux-mêmes. Personne ne peut pendant très longtemps se montrer un visage à lui-même et en présenter un autre au reste du monde, sans finir par s’y prendre et se demander lequel des deux et le vrai. Parfois on a l’impression que notre vie entière était une espèce de rêve et on se demandait parfois qui était le rêveur, et si ce qu’on imaginait nous plaisait. C’est malheureux de s’égarer mais il y’a pire que de prendre son chemin, c’est perdre sa raison d’avancer, mais lorsqu’on se perd en chemin ont a deux sol, tenter de retrouver la personne qu’on aime ou lui dire adieux pour toujours. Il faut savoir oublier la personne qu’on était pour se souvenir de la personne qu’on aurait dû être. Parfois la peine prend une si grande place dans notre vie, qu’on s’attend à ce qu’elle soit toujours là parce qu’on n’arrive pas à se souvenir d’un moment où elle n’était pas là. Mais arrive un jour ou on ressent autre chose, quelque chose qui semble anormal seulement parce que c’est inhabituel, et dans ces moments-là on se rend compte qu’on est heureux. Ne pleurez pas votre passé car il s’est enfuit à jamais, ne craignez pas votre avenir car il n’existe pas encore, vivez votre présent et rendez le magnifique pour vous en souvenir à jamais. A ce moments précis il y’a 7 096 650 204 personnes dans le monde, certains prennent peur, certains rentrent chez eux, certains racontent des mensonges pour s’en sortir, d’autres font simplement face à la vérité, certains sont des êtres maléfique en guerre avec le bien et certains sont bon luttent contre le mal. Sept milliards de personnes, sept milliards d’âmes, et parfois il ne vous en faut qu’une seul. Vous êtes-vous déjà demander quelle trace laisse notre passage sur terre, si une seule vie peut réellement avoir un effet sur le monde, ou si la chose que nous faisons ou une quelconque importance. Moi je crois que oui, et je crois qu’un seul homme peut changer la vie de beaucoup d’autre pour le meilleur ou pour le pire. Ça vous est déjà arrivé de regardé une photo de vous et de vous demander qui est cette inconnu à l’arrière-plan ? On ne peut pas s’empêcher de se demander qui est cette inconnu ?et combien nous on en photo à l’arrière-plan, et dans combien de vies on a fait une apparition. Est-ce qu’on a traversé la vie de quelqu’un ou moment où il a réalisé sont plus grand rêve ? Ou bien en a fait exprès traversé cette vie ? Comme si d’une manière en était destinée à faire une apparition. Ou est-ce que le flash qui nous a capturé par surprise ? Parfois on dirait que c’était l’époque du collège, dire au revoir à cette impression qu’on on avait 16 ou 17 ans que personne dans l’histoire du monde n’a jamais était aussi proche de son adolescence, n’a jamais aimé aussi intensément, ni ri aussi fort, ni a compté autant. On est devenue des experts dans le sabotage de notre bonheur. Personne ne peut savoir si le monde est fantastique ou réel, et s’il existe une différence entre rêver et vivre, car chaque instant de la vie est un pas vers la mort. La vie nous doit rien ou contraire c’est nous qui devons un devoir envers le monde, et même si tu crois toucher le fond, ne plus croire en rien, penser au pire, il y’aura toujours un espoir que tu te réveilleras le bonheur au bout des lèvres. A moins que votre monde soit complètement différent du mien, mais même si c’est le cas regarder le d’un peu plus près, vous est verrez surement quelqu’un qui vous ressemble, quelqu’un qui se cherche un avenir, quelqu’un qui se cherche une place, quelqu’un qui se cherche tout simplement. Parfois on peut facilement avoir l’impression d’être le seul à souffrir en ce monde, d’être le seul à ne pas avoir ce qu’on veut, le seul à ne pas être heureux, mais cette impression est fausse il suffit de tenir un peut, de trouvé le courage d’affronté le monde encore une journée, ou que quelqu’un ou quelque chose vient tout arranger, parce qu’ ont à tous besoin d’aide de temps en temps, on a tous besoin que quelqu’un nous rappelle combien la vie est belle, et quel ne sera pas toujours ce quel est. Cette personne existe quelque part et elle finira par vous retrouver. Moi je préfère croire au contes de fées, au moins ces histoires la finissent toujours bien. En finit par être seul un jour ou l’autre. La tristesse est comme un voleur dans la nuit, silencieux, incontrôlable, injuste. J’ai le cœur anesthésié par la peur de souffrir, on n’a pas le choix pour aller de l’avant, il faut faire un pas devant l’autre, et si on essaie d’éviter ce qui nous fait mal alors on n’ira jamais nulle part. Il faut affronter le monde en espérant que tout ira pour le mieux, il se peut même quand apprenne des choses en cour de route. On ne peut pas fuir la réalité sous prétexte que rien n’est éternel, la vie est pleines de surprises bonnes au mauvaises, elle vaut la peine d’être vécue. Vous êtes-vous déjà demandé combien de temps faut pour que votre vie change ? Combien de temps pour bouleverser une existence ?est-ce un mois, une semaine ou un jour ? Votre vie peut t’-elle changer en un mois ? Une semaine ou même un seul jour ? On est toujours pressé de grandir, de changer d’endroit, d’aller de l’avant. Mais quand on est jeune une heure peut tout changer. J’ai perdu gout à la vie depuis quelque années ou début je croyais que c’était récent ce mal être qui vie en moi, mais en fait ça dure depuis mon plus jeune âge, j’essaye de me raccroché a quelque chose, un souvenir, mais rien. Je n’arrive même plus à me raccroché à l’existence, tout me parait si sombre. J’ai cette forte envie de mettre fin à mes souffrances, mais je préfère refouler l’envie de perdre la vie, et du coup j’ai des sautes d’humeur brutale. Tout ça me pèse le cœur j’ai si mal, sentiment d’impuissance, de vide comment faire pour taire cette souffrance qui crie si fort. Je souffre du monde réel et quand je m’allonge je ferme les yeux et je me retrouve dans le monde imaginaire, un monde que j’ai créé, à qui j’ai donné vie et j’aimerais ne plus me réveiller dormir éternellement. Je n’ai pas envie de faire quelque chose dans ma vie, je veux servir a rien j’ai aucun intérêt particulier aucune motivation, ni l’envie d’aimer, chaque jour j’ai hâte qu’il fasse nuit juste pour m’endormir et m’évader à nouveau dans mon monde. Tout est vain dans la vie, tout fini par s’effacer, s’écrouler, disparaitre rien ne reste, même dans quelque milliard d’années la terre et ces sciences, son art et sa villes s’effacera, tout est éphémère. Alors pourquoi vous levez vous ? Pourquoi vivez-vous ? Vous reproduisez ? Vous travaillez ?construisez-vous des choses ? Alors que tout cela ne sert à rien, je n’en tire aucun bien la vie est une souffrance qui n’a pas de sens et qu’en plus elle est douloureuse. Si j’écris ça c’est qu’un fil d’espoir me retient encore que je n’arrive pas à couper, alors qu’au fond je n’y crois pas, je sais que les réponses ne m’apporteront rien mais j’espère encore. J’ai oublié le gout du bonheur, l’insouciance, la légèreté de la vie je n’ai que ce gout acre et amer qui me brule le cœur et la gorge, que je ne plus supporter longtemps. J’aurais besoin d’une seule raison de ne pas en finir et d’endurer tout ça.
Posted on: Fri, 21 Jun 2013 16:44:51 +0000