Nombreux sont les critiques, les analystes et chercheurs et des ‘think-tanks’ politiques mais dans nos jours hélas nul ne précise scientifiquement ses jugement à la place des émotions a caractère sentiments féodaux ! Quand on essaie d’examiner une situation donnée donc celle de Djibouti, on doit faire deux évaluations de chaque épreuve à part et ensuite, ensemble qui s’appellent ‘évaluation formative, ce que veut dire scruter comment les choses sont faites présentement’ et ‘évaluation sommative ce que veut dire examiner les processus en cours après changements, grand ou petit peu importe’ pour mieux juger ce qui se passe réellement au tour de nous. Savions-nous la différence juridico-politique entre une coalition électorale et un parti politique ? Faisons-nous distinguo juridico-politico-terminologique entre dialogue, pourparler, négociation et réconciliation ? Comment identifions-nous les sources des problèmes et les problèmes mêmes et comment priorisions-nous les actions nécessaires à prendre pour les résoudre ? Cette crise postélectorale a désormais fût nous dévoiler les vrais politiciens, les amateurs politicards et les ‘Tom Sawyers’ politiques ! La preuve, aucun communique conjoint et aucune cérémonie officielle de ratification des accords du ‘dialogue politique’, de le début, c’était comme on se dirigeait vers une route à sens unique et pourtant, certains se précipitent (et insistent a le faire malheureusement !) à nous déclarer des ‘promesses’ d’ici et de là ! Depuis quand sont les résultats d’un ‘dialogue politique’ présumé s’annonce à la manière des ‘promesses’ comme si nous investissons dans un magasin bric-à-brac d’une certaine ‘Aicha Qushi’? Bref, les ‘wadaads’ sont les boucs émissaires de cette effort avortée et ‘USN’ va se contenter à assiéger ses dix sièges parlementaires et nous, le peuple, font chanter ‘Gayaankay way jeclaa !’ en répétions au moins dans l’avenir prochain… Nabad iyo Caano.
Posted on: Tue, 10 Sep 2013 18:32:44 +0000
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