On dirait que des fous, enflammés de fureur, conscients du - TopicsExpress



          

On dirait que des fous, enflammés de fureur, conscients du mariage forcé dont ils ne peuvent se délivrer, ont décidé d’en faire une étreinte mortelle. Forcés de vivre ensemble, et incapables de s’unir, ils décident au moins de mourir ensemble. Et chacun, par ses excès renforçant les raisons, et les excès, de l’autre la tempête de mort qui s’est abattue sur notre pays ne peut que croître jusqu’à la destruction générale. Albert Camus, Chroniques Algériennes
Posted on: Fri, 05 Jul 2013 01:44:50 +0000

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