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POSITION DE L’ANAQ CONCERNANT LA FLUORATION DE L’EAU L’Association des naturopathes agréés du Québec (ANAQ) demande au gouvernement de ne pas donner suite au projet de fluoration de l’eau potable pour des raisons de santé publique et d’effet nuisible sur l’environnement. Aucune étude scientifique effectuée selon des critères scientifiques rigoureux n’a pu démontrer l’utilité du fluor pour la santé dentaire, comme l’ont démontré plusieurs méta-analyses dont celle de l’Université de York (Dr McDonagh et al. en 2000 : A SystematicReview of Public Water Fluoridation), ainsi que celle du National Research Council de la US National Academy of Science (2006). Selon l’étude de Warren, Levy et coll. un apport de 0.05 mg F/kg de poids entre l’âge de 6 mois et 6 ans était le seuil pour éviter la fluorose dentaire et qu’étant donné l’extrême variabilité de l’apport individuel en fluorure, il était impossible de fixer un apport « optimal » de fluorure. Conséquemment, une mesure de santé publique qui repose sur l’administration d’une substance dont la dose thérapeutique et la dose toxique se superposent et que le mode d’administration ne permet pas le contrôle de la dose administrée est une mesure socialement et scientifiquement inacceptable. Il est reconnu que la fluoration de l’eau potable à la concentration optimale est le principal facteur de risque de fluorose dentaire. Se fondant sur toutes les études disponibles, la recherche de McDonagh arrive au chiffre moyen de 54 % d’incidence de fluorose dentaire. Ces taux effarants de fluorose sont difficiles à nier quand le prestigieux Center for Disease Control (CDC, 2005) rapporte que 41% des adolescents américains en sont affligés et quand l’American Dental Association, dans leur EGram du 9 novembre, 2006, recommande aux parents de ne plus préparer le lait maternisé avec de l’eau fluorée parce que cela risque trop de provoquer la fluorose dentaire chez leur bébé. Étant donné qu’il n’y a pas d’évidence solide d’un bénéfice pour la santé à l’ajout du fluorure dans l’eau potable et considérant les risques qui y sont associés de fluorose, de diminution du quotient intellectuel, etc. et des effets néfastes potentiels sur l’environnement à des concentrations aussi basses que 0,2 ppm dans l’eau comme le souligne Environnement Canada et l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), 2002, dans son document , l’ANAQ demande donc au gouvernement du Québec d’appliquer le principe de précaution et de ne pas aller de l’avant avec ce projet de desservir 50% de la population du Québec avec de l’eau fluorée. Ref : Christiane Gendron ND.A, Présidente de l’ANAQ TEL 450-330-3080 Gilles Parent, ND.A, Porte-parole TEL 819-821-3998
Posted on: Fri, 05 Jul 2013 00:26:41 +0000

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