POUR UNE FOIS, HARMAGUEDDOUN CE MECREANT A RAISON ! Il fait bien de rappeler que je n’ai cité que les premières parties des versets 156 et 157 de la sourate 4. Le motif est simple : Ils coïncident avec l’attestation biblique du fait public de la crucifixion du CHRIST. Ce que je n’ai pas reproduit, ce sont les fins de versets, niant la crucifixion de JESUS qui justement font l objet de mon développement ultérieur, où je démontre que ces allégations coraniques invérifiées, ne sont pas soutenables, face à l’ensemble des faits que j’ai évoqué. Je ne veux pour preuve que les faits publics ci-suites et suivant: SUR LA CONTRADICTION AVEC LES FAITS PUBLICS RAPPORTÉS DE MANIERE CONCORDANTE PAR LA BIBLE ET LE CORAN Pour ses meurtriers et les témoins oculaires, il était impossible d’imaginer que le CHRIST se soit échappé, puisque son exécution ne pouvait être contestée là où elle s’était déroulée avec leur concours ou devant eux. Les faits étaient d’autant moins contestables qu’ils s’étaient déroulés de manière publique, cest-à-dire en toute lumière, au vu et au su de tous. Toute spéculation sur une quelconque intervention Divine (secrète ou non) pendant les événements, devenait alors impossible, de la part de quiconque. En niant la réalité de la Crucifixion et la mort du CHRIST… comment expliquer alors qu’ALLAH ait contredit des faits qui 600 ans plus tôt, étaient de notoriété publique et incontestables ; tout simplement parce qu’ils s’étaient déroulés en toute lumière, au vu et au su de tous ? Par ailleurs, un autre problème non moins virulent surgit lorsqu’on prend en compte 600 ans de silence d’ALLAH, entre l’événement de la Crucifixion et l’annonce coranique sur l’intervention Divine présumé, pour sauver le Messie. Là où la communauté musulmane et le reste du monde sont encore sous le coup de l’émotion, suscitée par le contre-pied surprise d’ALLAH au moment de l’arrestation et de la Crucifixion du Messie… Comment comprendre qu’ALLAH ait continué à abuser le monde entier pendent 600 ans ; en le laissant vivre dans une conviction contraire à ce qui s’était réellement passé pendent la Crucifixion ? Qui pourrait encore dans ces conditions faire confiance à ALLAH, si ce qu’Il annonce, dit ou promet ne peut définitivement être tenu pour acquis? Comment oublier que plus de 2000 ans avant MAHOMET, DIEU avait déjà établi le critère essentiel par lequel tout prophète pouvait être reconnu comme tel. Dans le livre biblique du DEUTERONOME au chapitre 18 et au verset 22, DIEU dit : « Quand ce que dira le prophète naura pas lieu et narrivera pas, ce sera une parole que lÉternel naura point dite. Cest par audace que le prophète laura dite: naie pas peur de lui ». SUR LA PRIMAUTÉ DU CONSTAT VISUEL En France après un véritable imbroglio, le début du Ramadan a été déplacé d’un jour (du 9 au 10 juillet), afin qu’il puisse coïncider avec l’observation effective de la lune à l’œil nu par la communauté musulmane en pays d’islam. S’agissant d’un événement de cette nature, la décision imposait de s’appuyer sur une observation incontestable de l’apparition de la lune, et non sur les affirmations de quelques initiés. Sur la base de la même logique, s’agissant de la Crucifixion et de la mort du CHRIST, la primauté du constat des faits ne pouvait reposer que sur ce qui s’est déroulé en public ; cest-à-dire en toute lumière. Toute autre spéculation isolée et tardive sur des faits cachés devient alors insoutenable… Il ne faut surtout pas perdre de vue que la révélation divine supposée, qui aurait été faite à MAHOMET reste un évènement strictement privé qui est expérimenté de manière solitaire. Comment pourrait-on lui donner la primauté par rapport aux faits publics constatés par des témoins oculaires. Il n’existe en effet aucun endroit au monde, où l’usage serait de privilégier les allégations sur des faits cachés et inconnus de tous ; par rapport à ceux qui se seraient déroulés en pleine lumière, c’est à dire au vu et au su de tous. Pourquoi en serait-il autrement, là où il s’agirait de la crucifixion et de la mort du CHRIST ? Serait-ce musulman, le fait de privilégier les fables et les mythes au détriment de la réalité, là même où celle-ci est flagrante ? A la veille du début du Ramadan, au moment où tout le monde constate l’apparition de la lune et s’apprête au jeûne du lendemain, imaginons la scène suivante où quelqu’un viendrait dire : « Ecoutez-bien, ouvrez bien les yeux et regardez vers le ciel ; ALLAH est puissant et sage ! Cette lune que vous voyez clairement n’en est réellement pas une… Vous êtes tout simplement abusé par un astre qui ressemble à la lune ! ». Quelle serait votre réaction si au lieu de vous parler de la lune que vous observez au moment de son discours, il préférait vous expliquer que certaines autres lunes aperçues en certaines veilles de Ramadan n’étaient que des leurres ? Sachant qu’ALLAH n’a pas cessé d’être puissant et sage, serait-il possible d’expliquer pourquoi la réaction ne serait pas la même, là où il s’agirait de la Crucifixion du CHRIST? SUR LA CONTRADICTION AVEC L’ÉVOLUTION ULTÉRIEURE DE L’HISTOIRE DE L’HUMANITÉ Entre l’instant de la Crucifixion publique du CHRIST et les prêches de MAHOMET au 7ième siècle, bien de choses se sont produites qu’on ne saurait ignorer. En effet, selon la logique du récit coranique, l’ascension du CHRIST vers DIEU était une chose secrète, de telle sorte qu’on ne pouvait garder que la certitude de sa mort, celle-ci étant fondée sur l’élimination publique du Messie. Une telle fin tragique et publique du CHRIST par sa mort brutale n’étant suivie d’aucun autre événement dans le Coran, il devait en résulter tout naturellement, étant donné le choc et le vide créés par l’élimination exemplaire de JÉSUS, la fin du Christianisme... Or dans la suite des temps, c’est tout le contraire qui s’est produit…Car l’Eglise est née et les chrétiens se sont multipliés. Il fallait donc que qu’une chose d’extraordinaire se fut produite après la scène de la Crucifixion pour expliquer un tel bouleversement de l’évolution prévisible de l’histoire. Le Coran n’apporte aucune explication à ce basculement de l’histoire de l’humanité ; de telle sorte que le musulman ne saurait dire quels sont les faits publics vérifiables qui en sont la cause.
Posted on: Thu, 17 Oct 2013 19:07:56 +0000