Part n°1 : A lire avec : - TopicsExpress



          

Part n°1 : A lire avec : youtube/watch?v=CX4g36bhzqY&NR=1&feature=endscreen Dix huit mois, 10 jours, 20 heures, 45 minutes et 18 secondes que je vis dans l’ombre de son absence. Dix mois que cette putain de voiture aurait du me percuter plutôt que lui. Dix mois que s’il est dans se lit, dans cet hôpital, c’est de ma faute. Si je ne l’avais pas forcer à jouer avec moi sur le trottoir, tout cela ne serait pas arrivé. Aujourd’hui, moi comme sa famille nous craignons que jamais il ne rouvre ses magnifiques yeux pacifiques. Que plus jamais nous ne puissions entendre son rire si mélodieux, si merveilleux. Je veux retrouver mon meilleur ami, mon ange gardien, mon protecteur de la première heure. Pas facile de grandir sans famille d’attache, j’ai grandit sans parents. J’ai été balloté de famille d’accueil en famille d’accueil sans avoir aucun port ou m’échouer les soirs de chute. Quand je l’ai rencontré, il est devenu la mienne, il est devenu ma famille. Comme quelqu’un la si bien dit : « Ohana signifie de personne ne doit être abandonné ni oublié » Il ne m’a jamais abandonné, même si je ne lui ai pas toujours rendu la vie facile. Il n’a jamais baissé les bras et n’a jamais renoncé à me sortir des innombrables merdiers dans lesquels je m’étais fourrée de nombreuses fois. C’est lui qui m’a appris à donner ma confiance, mais il m’a aussi appris que dans chaque personne, il y a quelque chose de bon. Nous nous sommes rencontrés, nous devions avoir pas loin de 6 ans. C’était dans le parc près de ma maison, ou je vivais à l’époque. Comme à mon habitude, j’y venais pour jouer à la fin de ma journée d’école. Mais ce soir tout allait être différent. J’étais assise seule sur la balançoire quand un petit bonhomme vint vers moi pour me demander s’il pouvait jouer avec moi et de là, et partie notre si belle amitié. Bien que cette amitié ait connue de nombreux tourment, nous sommes toujours restés soudé, dans le meilleur comme dans le pire. Et là je crois que j’étais en train de vivre le pire. Je pense que vous ne savez ce que c’est de voir son meilleur ami de toujours couché dans ce lit, entouré de drap blanc, les yeux clos, sans que personne ne puisse rien y faire. D’après les médecins, il ne reste plus beaucoup d’espoir pour qu’il ouvre un jour ses yeux. Mais je ne renoncerais pas ! Jamais ! Il ne m’a jamais abandonné donc à mon tour de veiller sur lui pour qu’il trouve le courage de me revenir… Part n°2 : A lire avec : youtube/watch?NR=1&v=phEv1AzdWG8&feature=endscreen Aujourd’hui est un jour comme tout les autres, ou je suis avachit sur mon canapé en attendant l’heure ou je pourrai aller lui rendre visite à l’hôpital. Oui maintenant j’ai un appartement à moi, enfin nous avions un appartement à nous deux, et pas un petit appart. C’est l’avantage d’avoir un ami chanteur. Si je vous dis Niall Horan, vous me répondez One Direction ! Tout juste ! Sauf que depuis l’accident de Niall, il n’y a plus de One Direction. Les garçons ont chacun repris leurs vies, mais ils passent de temps en temps voir leur ami et prendre de mes nouvelles. Enfin quand je dis de temps en temps, je veux dire tous les jours. Fermons la parenthèse. Encore deux longues, très longues heures à tenir avant de pouvoir lui prendre la main et de poser mes lèvres sur ses joues tièdes et si pâles. Je regardais dans la direction de la télé, sans la voir, j’étais perdu dans mes pensées, je divaguer vers mes souvenirs. Les souvenirs c’est tout ce qu’il nous reste quand nous perdons un ami proche. La sonnerie de mon portable me fit sortir de mes songes. Je l’attrapais avec agilité et rapidité. - Allô ! dis-je d’une voix tremblante - Bonjour Mademoiselle Johns ! - Docteur Wyatt !? - Oui c’est bien moi ! Je tenais à vous informer de la décision que la famille de Mr. Horan à prise. - Je… je vous écoute ! répondis je d’une voix douce, tremblante et remplit de larme - Ses parents ont pris la décision de débrancher les machines respiratoires ce soir à 21h35. - Non pourquoi ! Pourquoi ne lui donne t’il pas une chance ! hurlai-je dans le téléphone. Je peux quand même venir le voir, pour lui dire au revoir ! - Il faut les comprendre Mademoiselle, c’est dur de voir votre enfant dans un lit d’hôpital sans vraiment savoir s’il se réveillera un jour. Bien sur, cela vous ai même conseillé ! - Très bien ! J’arrive ! Merci de m’avoir prévenu docteur. Je raccrochai sans attendre de réponse de la part du docteur. J’ai lancé mon téléphone contre le mur, autant vous dire qu’il a explosé en millions de morceaux, et je m’effondrais sur le sol ramenant mes jambes vers ma poitrine. Une douleur affreuse me transperça le cœur tel un coup de couteau plantait en plein centre de mon organe vital. Je mis mes mains sur mon visage pour masquer les flots de larmes que je ne pouvais contenir. Me relevant tant bien que mal, je partis dans l’entrée, pris mon trousseau de clé et mon manteau et je partis en direction du Mercy Hospital grand hôpital de Mullingar. Part n°3 : A lire avec : youtube/watch?v=XkF-w0t_zm0&feature=relmfu J’arrivais devant cette putain de porte, celle qui fermait la chambre blanche dans laquelle dormait paisiblement Niall. Quand j’ouvris la porte, je pu apercevoir Louis, Liam et Zayn. Harry arriva peu de temps après moi. Chacun leurs tours, ils me prirent dans leurs bras. Quelques secondes après, ils me laissèrent seule avec Niall. Après avoir entendu le bruit de la porte qui se ferme, je me suis assise dans le fauteuil beige présent à côté du lit de Niall. J’ai attrapé sa main et j’ai entrelacé nos doigts. J’ai pris une énorme inspiration et j’ai ouvert mon cœur : - Niall ! Tu sais que cest encore moi ! Tu sais que tu ne te débarrasseras pas de moi aussi facilement... Tu nas jamais baissé les bras pour moi et pourtant tu sais que je n’ai pas souvent mérité toute ton amitié… alors pourquoi je devrais tabandonner !? Donne-moi une seule bonne raison pour ne pas men vouloir de tavoir envoyé ici ! Niall dans quelques heures les médecins vont débrancher toutes les machines qui te maintiennent en vie *pleurs*. Alors permet moi de te dire que je nai aucune envie de rire ! alors je ten supplie ouvre moi ses yeux mon ange ! Tu te souviens cest le surnom que tu me donnais ! Niall, tu ne peux pas partir ! Qui va prendre soin de moi si tu ten vas ? Personne, alors, tu nas pas le droit de me laisser seule livrée à moi même. Sans toi mon monde, s’arrêtes tout simplement de tourner. Please Niall... Je ne sais pas si tu te rappelles de cet après midi dans le parc de Mullingar, lannée dernière. Ce jour là, tu mas promis que malgré tout, le succès, le monde de la musique, les tournées, tu serais toujours la personne sur qui je pourrais compter quand que ce soit, de jour comme de nuit. Niall ses derniers 18 mois, ont été les plus horribles de toute ma vie. A côté de sa, ma vie d’enfant était un paradis. Niall tu es mon meilleur ami, mon ange, mon rayon de soleil, la raison de tous mes sourires, de tous mes fous rires… Tu es simplement mon bonheur à l’état pur. Si jamais tu décidais de t’en aller ce soir, je te rejoindrais pour que nous soyons à jamais réunis. Niall mon petit oréo, ouvre tes yeux et dis moi qu’à présent tout ira bien… *pleurs* Dix huit long mois que je vis sans toi, que je dors sans toi, que je me lève sans tes bisous, tes câlins alors s’il te plait met fin à ma douleur et ouvre moi a nouveau tes bras, pour que je puisse m’y réfugié quand j’aurais peur… A ce moment précis j’ai peur, peur que tu t’en ailles pour un monde meilleur, un monde ou tout est plus beau, plus grand, plus blanc. Mais je t’en pris, si tu ne veux pas revenir pour moi, reviens au moins pour ta famille, tes fans, tes amis… Il est grand temps pour moi de te laisser sur ces dernières paroles : Niall James Horan, je t’aime du plus profond de mon cœur pour toujours et à jamais. Je me levais du fauteuil, j’ai avancé mon visage du sien, mes lèvres de sa joue gauche et je lui ai déposé un ultime bisou. Je me suis rassise sur le fauteuil, tenant toujours sa main dans la mienne. Je crois que peu à peu mes battements de cœur se sont apaisés et j’ai finit par trouver le sommeil, ce qui est quelque chose de rare depuis ses dix huit derniers mois… Part n°4 : A lire avec : youtube/watch?v=xqip4WBOMeY - Cyrielle ! dis une douce voix, qui me parvint aux oreilles J’ai ouvert un œil, puis l’autre et je découvris le visage de la personne qui était en train de me parler. C’était la maman de Niall. Je me suis redressée dans le fauteuil, frottais mes yeux pour effacer les traces de sommeil. Et je me suis levée. Tout le monde était là. Greg, son père, sa mère, Liam, Louis, Harry, Zayn, Amy (son ex), et moi… enfin nous étions tous là pour dire adieu à l’être que nous aimions. L’horloge tapa, les 21h30. Le corps médical, en blouse blanche pénétra dans la chambre, d’un bas silencieux et solennel. Ca y est, l’heure que je redoutais tant est arrivée. La maman de Niall alla déposer un dernier baiser sur la joue de son fils. En caressant ses beaux cheveux blonds elle lui chuchota à l’oreille un léger « pardon ». Chacun d’entre nous lui dit au revoir. Les docteurs ont débranché les machines, unes à unes. Un long bruit sourd et assourdissant résonna dans la chambre ; celui des machines qui n’affichait plus aucun rythme cardiaque. Je me suis retournée vers Liam qui me prit instinctivement dans ses bras, les larmes dévalant une nouvelle fois sur mes joues. Peu à peu, tout le monde quitta la chambre ; sauf moi. Une nouvelle fois, je m’assis sur le fauteuil beige dans lequel j’avais l’habitude de m’y asseoir depuis 18 mois. Une nouvelle fois, je pris sa main dans la mienne. Bizarrement, elle était encore chaude. Je le regardais ; quand, soudain, je vis sa poitrine se soulever. Au départ, je cru que je rêvais encore. Par la suite, je sentis sa main serrer la mienne. A ce moment, je compris que ce n’était pas mon imagination. « Niall ! Si tu m’entends, je t’en pris serre moi la main. » Il s’executa, et alors, je compris que tout cela était bien réel. Peu à peu, il ouvrit un œil, puis l’autre. Ses yeux si bleus, si profonds… - Bonjour ! Qui êtes vous ? dit-il avec une voix douce. Mon cœur fit un bond hors de ma poitrine. Non ! Il avait perdu la mémoire. Je lui souris et sortis de la chambre à la recherche d’un docteur. - Docteur Wyatt ! - Cyrielle ! Que faites vous encore ici ? - Il est réveillé docteur ! - Comment ? - Il est réveillé, Niall Horan ! - Ce n’est pas possible ! Nous avons vu les machines s’arrêter ! Je vous suis ! Nous sommes retournés dans la chambre où Niall nous attendait sagement encore troublé par son réveil. J’avais une boule d’angoisse qui venait de ce logé dans mon ventre. - Bonjour Mr. Horan ! - Bonjour Doc’ ! - Il a perdu la mémoire Docteur ? - Attendez-moi dehors Cyrielle ! Je vais faire des examens. - D’accord Docteur ! Niall à tout à l’heure. *Point de vue : Externe* La jeune fille sortit de la chambre et s’assit dans le couloir le cœur prit entre deux émotions : la joie ou la tristesse. Son ami avait oublié jusqu’à son existence ; elle qui s’était tant battu pour faire triompher le bonheur. A ce moment, elle perdait son seul port d’attache. Assise contre le mur blanc du couloir, elle pensait aux moyens d’aider son ami. Dans la chambre, le docteur fit passer des examens… Part n°5 : A lire avec : youtube/watch?v=NG2zyeVRcbs - Mlle Johns !? dit le docteur, qui me tira de mes pensées - Oui ! répondis-je, avec une voix tendue. - Alors, il est atteint d’une amnésie partielle ! - Cela veut dire !? dis-je sur un ton septique - Je m’explique, en fait il se souvient que de brève partie de sa vie. Il se souvient par exemple de son accident, de son nom, de son prénom, de sa date de naissance, des prénoms de ses parents mais rien d’autre. Il n’a aucun souvenir de vous, ni de ses quatre ami. J’en suis vraiment désolé. Mais tous n’est pas irréversible, peut être que si vous restez auprès de lui, les souvenirs pourraient lui revenir en mémoire. - Oh ! D’accord, merci Docteur Wyatt ! Je peux quand même aller le voir ? - Bien sur, cela est même conseillé ! Je ne lui ai pas répondu, et je suis partie en direction de la chambre de Niall. J’ai fais une petite pause, avalant avec difficulté ma salive. Une boule d’angoisse me noua à nouveau la gorge, mes yeux étaient au bord des larmes. J’ai actionné la poignée de la porte et j’ai pénétré dans la chambre. Quand je suis rentrée dans la chambre, Niall a tourné son regard vers moi. Ses yeux bleus me dévisagèrent. Je me sentis rougir. Pourquoi son regard me gênait il autant. - Bonjour Niall ! Je sais que tu ne te souviens pas de moi. Je m’appelle Cyrielle Johns ! - Enchanté ! répondit-il, rougissant à son tour - Je ne sais pas si… tu voudras de mon aide… mais si tu acceptes… je pourrai essayer de t’aider à retrouver la mémoire, petit à petit. - Tu ferais cela ? dit-il, doucement avec une voix douce et suave - Bien sur Niall ! Tu ne te rappelles pas de moi, mais tu as été mon meilleur ami pendant 13 ans, donc je ne vais pas t’abandonner. Tu n’as jamais baissé les bras pour moi donc je ne baisserais pas les bras. Et puis tu as des millions de fan qui attendent ton grand retour, et tes amis t’attendent également. - Des fans ? - Oui Niall ! Tu es l’idole de millions de filles ! Tu as une voix absolument merveilleuse, angélique. Tu joue de la guitare tel un dieu. - Waouh ! reprit-il, surprit - Avec tes quatre amis, Louis, Liam, Zayn et Harry, vous formez un groupe : Les One Direction et des millions de fan vous suivent. - Un groupe waouh ! J’ai l’impression que tu me racontes la vie d’une autre personne que moi. - Je comprends Niall ! Si tu veux, je peux te laisser !? - Non reste ! J’aime t’entendre de ma vie future. *Point de vue : Externe* La jeune femme était assise, au pied du lit du jeune irlandais. Ils apprenaient à se ré apprivoiser. Cyrielle retrouvé peu à peu le sourire. Niall quant à lui, écoutait avec intérêts les morceaux de sa vie passée. Cyrielle savait au fond d’elle, que le trajet pour retrouver son ami, tel qu’elle le connaissait serait long et périlleux, mais elle avait décidé de ne rien lâcher. Le jeune homme prit dans ses mains celles de la jeune fille. Il la gratifia d’un regard, comme pour la remercier de l’aider à retrouver sa mémoire. Part n°6 : A lire avec : youtube/watch?v=GhDcgmMeM70 Six moi qu’il est sortit du coma. Six mois que je suis à ses côtés pour l’aider à retrouver la mémoire mais rien. Il arrive à se souvenir des garçons, de sa passion pour la musique, mais aussi il c’est souvenu d’Amy (son ex). Cette fille, a profité de son amnésie pour revenir vers lui. Elle le traitait comme un moins que rien et soudain, ça devient son meilleur ami. Arg ! Cela me met hors de moi. Moi… jalouse… non ! Enfin si un peu, beaucoup même. Je sais que vous allez me prendre pour une fille stupide et pathétique mais j’ai redécouvert mon meilleur ami. Pendant toutes ses années je n’avais jamais envisagé Niall comme autre chose que mon meilleur ami. J’ai développé des sentiments très forts pour lui, au-delà de l’amitié simple. Et cela me rend folle. Il bave devant l’autre pimbêche et moi, je passe au second plan. - Hey ! dit une voix derrière moi - Salut ! répondis-je sur un ton que je regrettais instantanément - Je te dérange !? me demanda Niall - Non ! dis je avec une voix, remplit de mélancolie - Il faut que je te parle Cyrielle !? - De quoi ? - Je suis… Je suis avec Amy ! On c’est redonné une chance. - Oh ok ! Plein de bonheur ! Au revoir… - Mais attend Cyrielle ! - Pourquoi ? Pour t’entendre me dire que tu es heureux, que tu l’aimes ! Non merci ! - Cyrielle ! - Non Niall ! Tu es arrivé à te souvenir, de tout le monde sauf de moi. Alors je commence à croire, que tu ne cherches pas plus que cela à te souvenir de moi. Quand fait cela t’arrange bien d’avoir perdu la mémoire ! Comme cela, tu n’as plus à t’occuper de moi, du cas social et de son malheur ! *pleurs de tristesse et de rage* - Je… - Non ne dit rien ! Parce que tu vas t’enfoncer ! Je vais à l’appart faire mes valises, tu ne m’auras plus dans les pates. Je déposerais les clés dans le pot de l’entrée, c’est finit. Je n’ai plus à rester, là ou je n’ai plus de place. Tu ne veux pas voir qu’Amy te prend pour un con, elle est avec toi, juste pour profiter de ta célébrité… - Tu ne l’as connait pas ! hurla Niall, avec un ton que je ne lui connaissais pas. Après ses paroles, mes larmes redoublèrent d’intensité. - Oh que si je la connais la mère Wesley ! C’est une peste sans cœur ! Quand vous êtes sortis ensemble la première fois, elle c’est joué de toi et après c’est moi qui t’es récupéré à la petite cuillère mais sa forcément tu ne t’en souviens pas ! Et aujourd’hui tu refais la même erreur, mais seulement, cette fois je ne serais pas là pour toi ! - Je ne te reconnais plus Cyrielle ! - Mais m’as-tu réellement connu !? Peut être que tu ne veux pas te souvenir de moi, parce que je n’ai jamais vraiment compté pour toi ! Tu ne veux peut être plus t’encombrer de moi ! Adieu… Part n°7 : A lire avec : youtube/watch?v=UBOb0e6HXbs Je n’ai pas attendu de réponse de sa part, et je suis partie en direction de l’appartement de Niall qui n’était désormais plus le mien. Sur le chemin, un voile épais tissé par des millions de gouttes salées, venait flouter mon regard. Quelques salées, essayaient de glisser le long de ma joue, mais je les retirais d’un geste vif et rapide. Une fois à l’appartement, je claquais la porte tellement fort après mon passage que les murs tremblèrent. Je partis dans la direction de ma chambre prenant une valise au passage. J’y ai fourré toute les fringues qui pouvaient me tomber sous la main. Au bout de vingt minutes, tout était prêt. Je m’assis derrière mon bureau, pris une feuille et mon stylo. Je l’ai fait tourner quelque fois dans mes doigts avant d’écrire quelques lignes pour Niall. « Niall, Je t’écris ses quelques lignes pour te remercier de ses treize belles années passées à tes côtés. Mais comme on le dit souvent, toutes bonnes choses ont une fin. Ca me fait mal de devoir t’écrire ses mots. Mais je ne peux plus rester dans un lieu ou je n’ai plus ma place. Ma place ? Ai-je déjà eu place dans ta vie ? Je ne sais pas ! La vie n’est pas simple, il y a des hauts et des bas, mais il faut faire avec. Ses mots que tu me disais, résonnent encore dans ma tête comme tamtam. Ce jour où tu m’as tendu la main dans ce parc, nous n’avions que 6 ans. Tu ne t’en souviens plus mais moi si, je m’en souviens comme si c’était hier. Depuis de l’eau à coulé sous les ponts et la vie nous à changé. Ce soir là, il 13 ans j’errais comme à mon habitude et après ton passage, j’ai trouvé un port d’attache, un endroit ou m’échouée quand je perdais pieds. Et ce soir, je perds tout. Tu es avec Amy, que grand bien te fasse. J’espère tout simplement que tu ouvriras vite les yeux et que surtout, elle ne te fera pas de mal. J’ai vraiment cru, que je pourrai t’aider mais j’ai eu tort, une nouvelle fois. Peut être, que tu n’as jamais voulu te souvenir de moi. De cette façon, tu n’auras plus besoin de t’occuper de la pauvre petite Cyrielle ! Au revoir Niall ! J’aimerais tant que cet accident ne soit pas arrivé. J’aimerais tant que tout cela soit comme avant. Je pars Niall, je pars dès que j’aurais réussit à avoir un vol pour retourner dans ma ville d’origine : Londres. Je vais tout recommencer là bas. Peut être que la vie m’offrira une seconde chance. Niall permet moi de te dire que quoi qu’il arrive, tu seras toujours, mon ange gardien, mon rayon de soleil, ma vie… Pour toujours et à jamais Cyrielle... » J’ai relu la lettre, une larme coula dessus. J’ai cacheté l’enveloppe et je suis descendu ma valise à la main. Je déposai les clés et la lettre sur le comptoir du bar de la cuisine, jetai un dernier coup d’œil derrière moi et je sortis de la maison, le pas lourd… Part n°8 : A lire avec : youtube/watch?v=RGLh138m7sA point de vu de Niall: Je suis rentré à la maison, une boule d’angoisse logée dans ma gorge. J’avais vraiment peur qu’elle soit réellement partie. Je fis un tour rapide de la maison… personne à mon grand désespoir. Je finis par la cuisine. Sur le comptoir, je vis le trousseau de clés et une enveloppe, je l’ai pris entre mes mains et l’ouvrit en tremblant. « Niall,… » Une fois que j’eu finit de la lire, je m’écroulais par terre. Quand mes genoux touchèrent le sol, une foule de souvenirs revenir. Ses souvenirs… nos souvenirs. Cette nuit, sous les étoiles… cette après midi sous la pluie qui nous avait valu une bonne grippe. Les larmes commencèrent à rouler sur mes joues. Comment avais je pu oublier, Cyrielle. Je regardais ma montre, 15h45, cela faisait seulement 1h00 que nous nous étions disputés, il me restait encore une légère chance d’arriver à la rattraper avant que l’avion ne décolle en direction de Londres. Il faut que j’y arrive. Je ne peux pas la perdre. Elle que j’ai tant aimé, tant chéri, tant protégé… Si j’ai toujours été là pour elle c’est parce que je l’ai toujours aimé bien plus qu’une simple amie. Cyrielle m’a toujours vu comme un simple ami protecteur. Je sortis en courant de la cuisine, pris la direction de l’entrée et je partis vers l’aéroport pour ne pas rater Elena. Je ne supporterais pas qu’elle retourne en Angleterre, c’est ici chez elle, avec moi. Vous allez me dire, et Amy ? Qu’elle a se faire voir ! J’ai ouvert les yeux sur ce que m’a dit Cyrielle. Assez discuté Niall démarre la voiture sinon ton destin partira à jamais loin de toi. J’ai mis le contact et je suis parti en trombe vers l’aéroport de Mullingar. Je pense qu’à cette heure ci, la villa va être un peu encombrée. *20 minutes plus tard* Comme je l’avais prévu, toute la ville était encombrée… Putain mais ce n’est pas vrai, ils vont avancer merde. OMG je vais péter un plomb ! Ils ne doivent pas ce douter, que je dois sauver mon amitié mais aussi peut être mon couple. J’espère de tout cœur, que l’avion ne sera pas parti. *Point de vue : Cyrielle* Je suis en train de faire enregistrer ma seule valise. Pas la peine de transporter quarante sacs quand nous n’avons pas de passé. Le vol part dans 45 minutes. Dans quarante cinq minutes, je quitterais cette ville et tous les souvenirs qui y sont rattachés. Désormais plus rien ne me retient ici. Après l’enregistrement de ma valise, je me suis assise sur le banc du hall de l’aéroport en attendant devant la porte d’embarcation. Ses portes seront celles que j’emprunterais pour quitter la ville. Les larmes une nouvelles fois coulaient sur mes joues, sans que je ne puisse rien contrôler… *Point de vue : Externe* Le jeune Niall venait de se garer, enfin sur le parking de l’aéroport. Il espérait du plus profond de son être, que l’avion de sa meilleure amie, serait encore là. Le jeune irlandais, ce mit à courir. Dans le hall de l’aéroport, il s’arrêta pour regarder les tableaux d’affichage qui lui indiquaient les différentes portes d’embarcation. Plus que quatre petites minutes avant la montée dans l’avion de Cyrielle. Niall se remit à courir, il avait le souffle coupé, un point de côté mais peu l’importait a par rejoindre l’amour de sa vie. Les larmes coulaient toujours sur ses joues rougit par la course qu’il pratiquait depuis son arrivé sur le parking. Il arriva devant les portes d’embarcation, il stoppa le mouvement pour scruter la salle des yeux. Au loin, il l’aperçu. Malgré son essoufflement, il trouva la force au fond de lui pour hurler son prénom : - Cyyrriiellllee ! Part n°9 : A lire avec : youtube/watch?v=MelHqWG7sic *Point de vue : Externe* Bien qu’à bout de souffle, il trouva encore au fond de lui le moyen de crier le nom de celle qu’il aimait réellement. - Cyrrrriiiiiieeeeeellllllllleeeee ! La jeune fille qui venait d’entendre se crie, cru d’abord à une hallucination et elle continua à avancer vers ce tunnel qui l’a conduirait loin de tout. Niall ne comprenais pas pourquoi… Pourquoi elle ne ce retournait pas. Il hurla une seconde fois. A ce second hurlement, la belle jeune femme compris que rien ne ce passait dans tête mais que tout était bien réel. Elle hésita un moment avant de se retourner, son cœur se serra et une larme vint se dessiner au coin de son œil droit. Le bel irlandais, qui ne comprenait pas pourquoi son amie ne se retournait pas, se dit au fond de lui, que tout était définitivement perdu. Au moment où il allait faire demi-tour, quand il entendit quelqu’un crier son prénom. Il se retourna d’un geste vif, à nouveau un sourire collé aux lèvres. Il souriait, elle souriait. La jeune fille, vit une larme couler sur la joue de son meilleur ami. Cette larme agissait, comme une armée de gladiateur brandissant leur lame, sur son cœur. Ils étaient à 10 mètres l’un de l’autre mais aucun d’eux n’osaient bouger. Ils se regardaient avec beaucoup d’amour mais aussi de regret, le regret d’avoir fait souffrir l’autre. Après un long moment, la jeune fille laissa son sac et partie en courant vers le beau blond au visage d’ange. Lui ouvrit ses bras pour l’accueillir au creux de son corps. *Point de vue : Cyrielle* Il referma son étreinte si forte sur moi, que j’en eu le souffle coupé. Mais peu m’importait tant que j’étais avec lui. Mon cœur revivait enfin. J’avais retrouvé mon port d’attache. Je suis restée contre lui un long, très long moment. Niall se recula et planta son iris pacifique, dans les miens. - Je suis désolé Cyrielle cycy Johns ! - Tu… te souviens de moi !? - Il m’a fallu un choc, pour que ma mémoire te réintègre à ma vie ! Mais j’ai compris pourquoi je faisais ce blocage ! - … *pleurs* - En fait, j’avais peur que tu me considère toujours comme un ami… - Et bien on est ami ! - Seulement comme un ami alors que je voulais beaucoup plus… - Niall je ne te suis pas ! Dis-je avec un ton perplexe. Même si j’avais très bien compris ou il voulait en venir. - Cyrielle, je t’ai toujours vu comme beaucoup plus qu’une simple amie. Pour moi tu représentais beaucoup plus de chose. Passant d’abord par petite sœur, puis par confidente et finissant par femme que j’aime du plus profond de mon être. Je ne te ferais pas un long discours, seulement, je te dirais ces deux mots, ces sept lettre qui compte tant pour moi, comme pour toi, je pense. Cyrielle Johns, je t’aime. C’est vrai je suis amoureux de toi depuis ce jour grisâtre de tes 15 ans, ou nous jouions sous la pluie et ou tu es venue te réfugier dans mes bras pour te réchauffer. - Niall ! Je ne t’ai jamais vu autrement que comme mon futur mari. J’en ai plus honte aujourd’hui mais quand j’étais plus jeune je m’imaginais qu’un jour, je descendrais l’allée centrale de l’église pour te rejoindre devant l’autel. Lui avouais-je, en rougissant au-delà de la couleur tomate. Niall eu un jolie petit sourire au coin des lèvres… J’avais une envie folle de l’embrasser, de coller mes lèvres aux siennes mais désormais c’était à lui de concrétiser notre désir à tous les deux… Part n°10 : A lire avec : youtube/watch?v=OpQFFLBMEPI *Point de vue : Niall* Je n’ai qu’une envie, celle de l’embrasser mais j’ai peur. C’est stupide je sais. Elle m’aime, je l’aime lors tout va bien, mais vous comprenez… Nous avons été amis pendant 13 ans et j’ai peur que si nous passons le cap, cette complicité soit perdue… Bon stop Horan, arrête de réfléchir et embrasse là, toi comme elle en avait envi. J’ai mis mes mains sur ses joues, les faisant glisser dans son cou. Elle fit un pas vers moi pour se rapprocher. J’ai avancé mon front jusqu’à coller mon front au sien. Cyrielle planta ses iris brun dans les miens en passant sur mon dos pour les encercler autour de mon cou. Mes lèvres se rapprochèrent des siennes, en les frôlant mais sans pour autant les toucher. J’ai sentit son souffle chaud, les fouettait. Dieu que cette sensation était agréable. J’ai attendu encore quelque seconde avant, de définitivement coller mes lèvres sur les siennes. Je gouttais enfin à ses lèvres sucrées, douces, chaudes, sensuelle… A ce moment, une explosion de sentiment eu lieu en moi. D’innombrables papillons vinrent trouver refuge dans le creux de mon ventre. Des frissons envahissaient tout mon être. J’ai laissé glisser peu à peu mes mains dans le creux de son dos, à la limite de ses reins. Je l’ai encore un peu plus collé à moi. Elle mit une main sur ma poitrine au niveau de mon cœur. Peu après, sa langue vint caresser ma lèvre inférieure pour me demander l’accès à ma bouche. Je l’ai légèrement entre ouverte, à présent nos langues dansaient ensemble dans un mouvement à l’unisson. - Je t’aime plus que tout ! dis-je en me décollant d’elle. - Je t’aime bien plus encore ! répondit elle, en me décrochant le plus beau de tout les sourire. - On rentre ?! - Oui ! acquiesça-t-elle en partant récupérer son sac, qu’elle avait laissé au milieu du tunnel d’embarcation. Après qu’Elena ait récupéré son sac, nous sommes partis en direction du parking récupérer la voiture. J’ai conduis jusquà la maison. Arrivé devant l’immeuble, je suis descendu le premier de la voiture pour être galant, j’ai ouvert la portière du côté passager. Cyrielle attrapa la main que je lui tendis. Elle se mit face à moi, glissa son bras le long du mien pour entrelacer nos doigts d’un geste très tendre, doux. Nous sommes montés à l’appartement, en prenant les escaliers. J’ai ouvert la porte et nous sommes rentrés. Cyrielle a vu au sol, la lettre que j’avais laissé tomber lorsque tous les souvenirs me sont revenus en mémoires, comme un flash. Elle se précipita dessus et la déchira en un millions de morceaux très petits avant de les jeter. Après cela, elle se rapprocha de moi et plaqua une nouvelle fois ses lèvres sur les miennes et me fit reculer jusqu’au mur opposé de la cuisine. J’ai mis mes mains sur ses fesses avant de la faire reculer à son tour sur le mur de la cuisine… L’envie commençait à monter en moi comme en elle. J’ai glissé mon visage dans son cou en lui susurrant. « J’ai envie de toi » elle, me sourit avec un sourire à faire tomber tous les mecs. J’ai attrapé sa main et je suis parti en direction de la chambre, ou nous serons quand même plus à l’aise que dans le couloir. Après notre passage, j’ai plaqué délicatement Elena contre la porte. Elle m’embrassait avec fougue et passion... Part n°11 : A lire avec : youtube/watch?v=Jwx18_3JTrY Elle me fit reculer jusqu’au lit, quand je le senti heurter mes mollet, je me suis laissé tomber délicatement en arrière. Pour l’entrainer dans ma chute, j’ai mis mes mains sur ses hanches. J’ai vite échangé nos positions pour prendre le dessus. Me mettant à califourchon sur elle, je baladais mes mains partout, le long de son magnifique corps. Cyrielle se redressa légèrement, passant ses mains sous mon polo. Son contact me fit frissonner. Une fois qu’elle eue jetée mon polo à terre, elle fit courir ses mains sur mon corps, me déclenchant au passage un plaisir immense. Au passage, elle posa sa main droite sur mon cœur, en me scrutant de ses beaux yeux de braise. - Il t’appartient désormais, pour toujours et à jamais ! - A jamais ! me répondis-t-elle, avant d’exercer une pression sur mon épaule pour se remettre sur moi. Elena quitta mes lèvres pour descendre, le long de ma mâchoire, le long de mon cou, glissant le long de mon torse jusqu’au niveau de mon jeans. Elle défit le bouton, puis la braguette. Je me suis assis, Cyrielle sur mes genoux. J’ai passé à mon tour mes mains sous son tee shirt, ce contact lui déclencha un millions de frissons. Je lui ai enlevé son pull, et je l’ai laissé tomber aux pieds du lit. Après cela j’ai laissé mes mains courir de partout sur son corps chaud. Elle me refit basculer sur le dos pour finir de me retirer mon jeans. Nous avons de nouveau échangé nos positions. Je me suis remis à califourchon sur elle, quittant ses lèvres pour glisser le long de son corps. Elle se cambrait sous mes mouvements. J’ai retiré le bouton de son jeans avec les dents puis je fis glisser sa braguette. Puis j’ai passé mes mains dans son jeans pour le faire glisser jusqu’au sol. Elle entoura ses jambes autour de mon bassin pendant que j’embrassé délicatement sa poitrine. J’ai passé une main dans son dos pour dégrafer son soutien gorge. Je fis glisser sa culotte et elle m’aida retirer mon boxer. Je me suis remis sur Cyrielle, je l’ai caressé encore un moment. Partant de son épaule, en passant par sa poitrine, puis glissant le long de son ventre, jusquà son bassin. - Tu te sens prête mon ange !? - Oui ! - Fait moi confiance ! - Tu as toute ma confiance ! J’ai replacé mes lèvres sur les siennes, puis tout en douceur je l’ai pénétré. Elle s’agrippa à mon dos pour ne pas crier, au fur et à mesure de mes vas et viens, elle gémissait de plus en plus. Elle se cambrait sous mes caresses mais aussi sous mes mouvements de bassin. Nos deux corps ne faisait plus qu’un. Nos cœurs battaient à l’unisson. *Après nos ébats* Dans un dernier coup de bassin, nous avons atteint l’orgasme. Je me suis retiré d’elle. Nos corps était brûlant de passion… oui de la passion qui nous consumait. J’ai fourré ma tête dans le creux de son cou, lui mordillant le lobe de l’oreille. - Je t’aime mon ange ! lui susurrais-je - Je t’aime mon bébé ! me répondit-elle Je me suis allongé à côté d’elle, lui ouvrant mes bras pour qu’elle s’y réfugie. Cyrielle posa sa tête sur mon torse dénudé et ferma les yeux. Je fis de même, mes battements de cœur, se sont peu à peu calqués sur les siens m’entrainant dans les bras de Morphée. Part n°12 : A lire avec : youtube/watch?v=5kqxe0zdBJ0 *2 ans plus tard* Avec les garçons, nous sommes sur scène pour le dernier concert de notre longue tournée. Au premier rang, je peux voir Elena, ma muse, mon âme sœur. Au moment de More than this, je me suis mis devant elle. Je demandai au musicien de stopper la musique, au fan de se taire et je pris le micro. - Permettait moi de faire quelque chose, que j’ai envi de faire depuis très longtemps ! Elena ! Mon amour, ma vie, mon rayon de soleil. 2 ans que tu partages ma vie, 2 ans que tu me combles de bonheur. Tu es parfaite sur tous les points, gentille, aimante, pleine de vie. Nous avons vécu beaucoup de belle chose, mais aussi nous avons traversé de nombreuse turbulence. D’abord l’amitié l’en emporté, puis l’amour. Maintenant, j’ai le bonheur de m’endormir dans tes bras tous les soirs. Seulement, la seule chose qu’il te manque c’est mon nom de famille. Alors Elena Cyrielle Johns !? Veux tu devenir Mme Johns Horan ? A la fin de mon monologue, je l’a vis fondre en larme. Paul l’a aidé à monter sur scène. Elle me couru dans les bras et m’embrassa devant la salle entière. Liam lui prêta son micro. - Niall ! Depuis très longtemps je t’ai à mes côtés. Comme tu l’as dit d’abord en tant qu’ami puis en tant que modèle, et enfin comme petit ami. J’ai aussi la grande joie de dormir contre ton torse chaud chaque nuit. Alors oui ! Oui je suis prête à me faire appeler Mme Horan ! Je t’aime mon ange. Je me suis rué sur ses lèvres, les fans se sont mis à hurler et nous applaudir. J’ai passé la bague à l’annulaire gauche. Voila à présent nous serons liés pour toujours. Le bonheur formule à chercher quelque part, sept lettres qui définissent le but d’une existence, que chaque être tend à trouver dans une vaste étude : Et mon bonheur à moi c’est ELLE !!!!
Posted on: Wed, 23 Oct 2013 14:00:43 +0000

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