Prise de bec au siège du parti socialiste français : Mathias - TopicsExpress



          

Prise de bec au siège du parti socialiste français : Mathias Dzon et Raoul Loubelo manquent de se rentrer dedans Nous Confirmons que les faits révélés dans cet article paru dans un journal à Brazzaville sont vrais mais nous apportons cependant quelques rectificatifs pour bien coller à la stricte réalité des faits. 1- Le rendez-vous avait été obtenu par Raoul Loubelo et non par Raphaël Goma et encore moins par Monsieur Dzon Mathias 2- Cette rencontre avait eu lieu non pas avec Monsieur Bruni Leroux, Président du groupe PS à l’assemblée nationale mais avec Madame Capucine Edou, présidente de la commission Afrique du PS, 3- Raoul Loubelo avait jugé opportun d’associer Messieurs Raphaël Goma et Dzon Mathias à cette rencontre tout simplement parce qu’il croyait donner du poids à la démarche des états généraux à laquelle il croit, sans doute par pure nostalgie de la Conférence nationale de 1991 qu’avait présidée grand oncle, feu-Mon Seigneur Nkombo, 4- Au cours de cet entretien, Monsieur Dzon Mathias a effectivement fait preuve d’amateurisme surtout lorsqu’il a (comme à son habitude) honteusement menti à Madame Capucine Edou en lui disant qu’il a déjà été reçu à l’Elysée par François Hollande et surtout plusieurs fois par Nicolas Sarkozy en son temps. Il a continué dans cette voie du mensonge en laissant entendre à la dame qu’il aurait été également été reçu au ministère des affaires étrangères. 5- Au-delà de ces propos très très méprisants à l’égard de ces jeunes dynamiques qui ont décroché ce rendez-vous et qui l’y ont associé à eux, et à l’égard de la diaspora en général (dont il ne reconnaît pas l’efficacité du travail par elle accomplie, cf son interview payée dans Afrique Education), ce qui a énervé Raoul Loubelo c’est surtout cette propension qu’a Monsieur Dzon Mathias de mentir à ses interlocuteurs pour se tenter de se donner une étoffe dont ses interlocuteurs finissent d’ailleurs très vite par s’apercevoir eux-mêmes qu’il n’a pas ; ce qui finit par le discréditer aux de tout le monde, tirant ainsi le combat de l’opposition intérieure et extérieure vers le bas. 6- En mentant comme un petit débutant de la politique à Madame Capucine Edou (qui est sortie de sciences po Paris), Monsieur Dzon Mathias et son équipe de Gamgoulous qui l’accompagnait (tribalisme oblige, c’est plus fort que lui), avaient pas compris qu’avant de les recevoir cette dame avait déjà pris le soin de bien se renseigner et savait donc que Monsieur Dzon Mathias n’a jamais été reçu à l’Elysée ni par François Hollande ni par Nicolas Sarkozy. 7- C’est stupide de mentir à quelqu’un qui connaît déjà la toute la vérité n’est-ce pas ? Voilà la vérité sur cette affaire. Bienvenu MABILEMONO Voici le contenu de l’article paru dans un journal à Brazzaville et qui fait beacoup de bruit Prise de bec au siège du parti socialiste français : Mathias Dzon et Raoul Loubelo manquent de se rentrer dedans L’information a filtré ces derniers jours. Lors de son dernier voyage en France, le chef de file de l’opposition congolaise, l’ancien ministre des Finances, Mathias Dzon a mené des tractations auprès du parti socialiste, toujours dans l’optique : « Tout sauf Sassou » et dans celle de la tenue des Etats-Généraux de la Nation que cette opposition, dite radicale par les tenants du pouvoir, réclame à cor et à cri. Sur ces entrefaites, Raphaël Goma, le missi dominici de Mathias Dzon qui lui ouvre les portes du parti socialiste français avait pu décrocher pour une énième fois un rendez-vous à ce dernier sur la rue de Solferino au siège du parti au pouvoir en France. Le but : obtenir l’entremise de la France dans l’orientation des actions menées par l’opposition et la société civile au Congo. Les faits remontent à la période de la grève des enseignants que les interlocuteurs congolais semblaient vouloir amplifier. Raphaël Goma un proche de Bruno Le Roux, président du groupe parlementaire PS à l’Assemblée Nationale française, est membre du parti socialiste. L’intéressé a même battu campagne pour le candidat François Hollande. D’après des indiscrétions c’est sur lui que Mathias Dzon compte pour avoir des entrées et des sorties au parti socialiste chose qui, à n’en point douter, lui ouvrira grandement les portes de l’Elysée. Fort de ceci, le président de l’UPRN n’a eu d’autre choix que de le nommer président du comité national de la diaspora pour les Etats généraux de la nation au Congo-Brazzaville. Contre toute attente D’après des informations obtenues de bonne source, pour honorer à ce rendez-vous, Mathias Dzon souhaitait n’être accompagné que par les siens, c’est-à-dire, des gens dont-il avait la maîtrise. Ce qui n’a guère été le cas à cause de la présence dans la salle de réunion de certains congolais jugés indésirables par l’opposant congolais. D’un côté, Mathias Dzon accompagné de Sylvestre Itoua et de l’ancien ministre Ouabari Joseph et de l’autre, Raphaël Goma suivi de : Raoul Loubelo, Fortuné Kouzonzissa et autres. Comme l’exige la tradition, Bruno le roux et son entourage demandent aux hôtes de se présenter avant que ne débutent les pourparlers. Mathias Dzon, chef de la délégation congolaise ne connaît pas tous ceux qui l’accompagnent, il balbutie. A en croire nos sources, la manière et les mots utilisés pour présenter la diaspora aux membres du parti socialiste français n’avaient pas été du goût de plusieurs, ce qui avait alourdi l’atmosphère. En poursuivant ses propos, Dzon aurait lassé son auditoire. Là où les membres du parti socialiste insistaient pour que les congolais stimulent plus les mouvements syndicaux et la société civile comme par le passé et aujourd’hui dans les pays arabes pour obtenir la fin du président Sassou, ont soutenu nos sources, Mathias Dzon, lui, ne s’appuyait que sur l’achat massif des armes de guerre par le président congolais, comme s’il attendait de la France dans le contexte actuel un coup de force armé à l’instar de la Lybie ou du Mali. Visiblement toutes les parties n’étaient pas sur la même longueur d’ondes. Pour preuve, une violente dispute avait éclaté au sein de la délégation congolaise, faisant de cette retrouvaille un fiasco. Ce qui aurait présenté Mathias Dzon et ses compagnons comme des novices en politique aux yeux des responsables du PS. Au sortir de là, surchauffé, Dzon s’en serait pris à Raoul Loubelo avec lequel il avait des dissensions. Une véritable prise de bec au bout de laquelle les deux hommes ont failli se rentrer dedans. D’après des indiscrétions, Raoul Loubelo n’accordait plus aucun respect à Mathias Dzon qu’il a qualifié de faire le jeu de Sassou, d’avoir financé les guerres de ce dernier et de n’être pas, pour la diaspora, le chef de l’opposition. Depuis, Raphaël Goma et Mathias Dzon paraissent faire chacun cavalier seul.
Posted on: Sat, 31 Aug 2013 12:45:42 +0000

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