QUI D’E.TSHISEKEDI, DE V.KAMERHE OU DE M.KATUMBI SUCCEDERA A - TopicsExpress



          

QUI D’E.TSHISEKEDI, DE V.KAMERHE OU DE M.KATUMBI SUCCEDERA A j.KABILA . L’Après KABILA 2016, le compte à rebours a commencé . LA MP impréparée, en fait sujet tabou quand ça fait débat dans la population congolaise et dans la communauté internationale . Moise KATUMBI le seul pion précieux pour maintenir le Cap du camp KABILA à la prochaine Présidentielle . Etienne Tshisekedi rate d’avance son rendez-vous . Vital KAMERHE perd le Kivu et réduit sensiblement ses chances Nous référant aux listes de candidats Présidents proclamés parla CENI par ordre de gagnant en 2011, le front 2016 risque d’opposer Etienne Tshisekedi de l’UDPC, Vital Kamerhe de l’UNC et Moise KATUMBI bouée de sauvetage de la majorité en 2016. Car, à en croire une certaine opinion, Moise Katumbi, serait le seul pion précieux dont dispose le camp présidentiel capable à renverser la vapeur et maintenir sa plate forme aux prochains scrutins présidentiels si seulement si ce dernier optait pour y aller sous cette étiquette ou celle de son PPRD, encore qu’il faudra que ces deux organisations politiques se ressaisissent pour redorer l’image ternie vis-à-vis de la population qui, du reste n’a jusques là trouver son compte quant à la gestion de la Res-publica par le pouvoir central. L’histoire nous apprend que la politique n’a pour rôle finalement qu’une bonne gouvernance, une bonne gestion de la cité en somme, la folie des hommes fait le reste par la construction des mythes qui sont autant des éléphants blancs, chargés de ne rien apporter aux populations. Oser telle aventure sans tenir compte de cet état de choses compliquerait l’équation même si favori. D’où la nécessité d’en tirer toutes les conséquences avant qu’il ne soit tard pour le regretter. Etienne Tshisekedi rate déjà son rendez-vous de 2016 Sans pour autant remonter au déluge du parcours de cet illustre homme politique, il y a tout de même lieu de se poser quelques questions sur le comportement politique du plus grand leader de l’opposition. Lorsque Mobutu était secoué par la tempête de l’histoire avec un certain Mzee Laurent Kabila qui volant de victoire en victoire demandait aux populations de Kindu s’il devait aller jusqu’à Kinshasa, le pouvoir alors dans la rue à Kinshasa ne demandait qu’à être ramassé par Etienne Tshisekedi, curieusement, ce dernier fit la nique à cette opportunité historique à la grande déconvenue de la majorité des congolais alors zaïrois. Ce fait, tout à fait insolite, jurait curieusement avec l’acharnement d’Etienne Tshisekedi à combattre le pouvoir de Mobutu avec une audace sans pareille. Le même acharnement fit de mise contre Mzee Laurent-Désiré Kabila, avant de se focaliser sur le fils de ce dernier, Joseph Kabila Kabange. Ainsi naquit donc le mythe de l’opposant éternel au Congo, dans la personne d’Etienne Tshisekedi. Une opposition dont le rôle consiste à toujours dire non sans nuance, ni aucune appréciation quelconque. L’art de la dissimulation est une autre part du talent incontesté d’Etienne Tshisekedi dont une certaine opinion croit dur comme fer que l’homme n’a jamais envisagé sérieusement de prendre le pouvoir dans ce pays, parce que n’allant jamais jusqu’au bout de ses propres convictions. Dictateur patenté, il a pu faire croire à ses millions d’adeptes qu’il était démocrates en s’autoproclamant pourtant candidat à la présidentielle avant même la tenue du congrès de son parti. Tout celui qui le lui contestait était irrémédiablement écarté. A ce jour, nul ne sait la teneur de son échange avec Paul Kagamé lors d’un séjour à Kigali avant de sceller un pacte avec le RCD-Goma d’Azarias Ruberwa. Tel est l’homme, sa nature et ses contradictions tout au long de son parcours politique dont les meilleurs moments furent sans doute son compagnonnage avec Mobutu quand les deux arboraient fièrement un couvre-chef de léopards. Sans parler de son poids d’âge actuel et sa force physique qui ne rassurent plus un lendemain meilleur à la tête du pays. 2016 perdu d’avance. VITAL KAMERHE PERD LE KIVU ET REDUITS SENSIBLEMENT SES CHANCES Le premier péché de cet homme estimé considérablement, non seulement par les populations de l’Est, mais aussi par l’ensemble des congolais qui trouvent en lui un modèle à suivre, est curieusement constitué d’une sorte de détachement, d’une distanciation digne d’un garçon BK comme on le dit qui devient ainsi faux Jo. Ce qui ouvre une porte à des attaques de tout genre de ses adversaires politiques dont le plus virulent provient du Sud-Kivu où rien de concret n’a été posé comme acte de développement par Monsieur Vital KAMERHE. Le constat est que depuis son échec à la présidentielle de 2011 l’homme jamais foulé ses pieds au Kivu fief où il s’est fait en grand nombre élire. Comme qui dirait la fête finit adieu le Saint. Curiosité de l’histoire ou pas, Vital KAMERHE aussi populaire avant, tombe dans le piège de la distraction et des faux rapports de ses collaborateurs qui lui mentent à longueur de journées sur une assise confortablement à l’EST comme par le passé, sans se soucier de construire sur cette base un véritable développement de sa province. C’est-là, une grosse erreur qui, en fin de compte, ne fera pas de VK, un grand dans l’histoire du pays. S’il existait une véritable volonté de développement en RD Congo, c’est par le littoral du Sud-Kivu que cela aurait se faire sentir, or rien de tel pourtant avoir échelonné des postes des responsabilités et des charges importantes d’Etat qui, au contraire, va empêcher les Congolais de devenir les imposeurs d’un véritable décollage économique de la République Démocratique du Congo en élisant KAMERHE à la tête de la RDC en 2016, ça se prépare également. A moins d’un miracle pour renverser la vapeur devant un Moise KATUMBI bien copté au Kivu pour son sens élevé de réalisme et de générosité, et qui bénéficie de l’estime considérable pour des actes que ce dernier pose autant qu’il le fait au Katanga en qualité du Gouverneur qu’il le fera pour toute la RDC une fois Président de la République. Le seul choix qui reste au Président de l’UNC est qu’il préconise tisser des alliances en 2016 pour reprendre sa place au hit parade de la nation, mais cette fois en tirant toutes les leçons de son parcours. Et là on attendra de KAMERHE, le traçage d’un avenir cohérent et prometteur de sa province, en particulier et de la RDC en général plutôt qu’un saupoudrage éphémère des quelques prises de positions dont la vérité nous rappelle un simple écran de fumée. Ce qui le rendra, dès lors, un acteur d’une politique à courte vue. Il n’y a rien de plus rageant que de voir un homme qui passe volontairement à côté de l’histoire dont pourtant les signes abondent. On ne mange pas les discours. Moise KATUMBI le seul pion précieux pour maintenir le Cap du camp KABILA à la prochaine Présidentielle Tombé du ciel tel d’un don de Dieu, avec son avènement, il s’est produit une heureuse symbiose entre lui et les populations katangaises, particulièrement et celles de la république Démocratique du Congo en général jusqu’à susciter les commentaires qui conduiraient à le considérer comme successeur valable de Joseph Kabila dont le mandat ne se renouvellera au nom de la Constitution qui le fixe à deux fois non renouvelable. Une réalité Malheureusement qui demeure loin d’être abordée au sein de la classe politique de la Majorité Présidentielle à laquelle appartient les têtes d’affiche comme celle de Moïse KATUMBI. Comme si les raisons pour lesquelles le débat ou le sujet traine à être évoqué au risque d’énerver la sensibilité du Chef de pour qui d’ailleurs le compte à rebours se dégrène déjà. Curieusement perdurent l’hypocrisie et le manque de vision à la MP déchirée par des querelles intestines et qui ne peuvent plus défaire cette réalité incontournable de 2016 pourtant ce ne sont pas d’hommes qui manquent au sein de la famille politique du Chef de l’Etat. En farfouillant dans tous les palmarès de proches de Kabila, il en existe certaines figures emblématiques en qui la population peut faire confiance pour son devenir en remplacement de Joseph Kabila dont expire le mandat dans quelques mois. l’exemple frappant est celui de Moïse Katumbi qui dans son parcours à la tête continue à marquer plus d’un congolais pour s’être distingué en gestionnaire et acteur de développement caractérisé par le réalisme et non des discours et déclarations d’intentions. Un exécutif que le pays n’a jamais connu. Sauf les pourfendeurs médiraient des actions de ce fils digne du pays malgré qu’aujourd’hui accusé d’une boulimie politique et animé d’ambition de remplacer de Joseph KABILA. Faisant croire en qui veut entendre, comme si, même potentiel, le fauteuil Présidentiel reste l’apanage de certains au détriment des autres. Oubliant qu’il un temps pour tout. En ce moment où le regard tourne vers 2016 le rôle que devra jouer le Président Kabila en sa qualité de l’autorité morale de la MP et initiateur du PPRD dont Moise Katumbi dauphin insoupçonné est l’émanation, devrait déjà à accéder à certains grands dossiers d’Etat et s’appliquer à la gymnastique dévolue à un Président de la République comme cela est observé dans des grands Etats du monde où les regroupements de renoms n’improvisent pas leurs candidats Présidents de la République. Il suffit de jeter un regard sur ce qui se passe aux Etats Unis, en France…pour nous en inspirer. Ce sera pour le Chef un acte préservateur de l’œuvre combien grandiose qu’il a entamée depuis sa prise des fonctions à la Magistrature suprême de la RDC. Pour ne pas tomber dans la fameuse phrase de l’aigle de Kawele, « Après moi, c’est le déluge ». Le moment étant ainsi choisi pour agir, et en faveur de Moise Katumbi pour s’être attiré même l’estime du côté opposition. A Katumbi donc de prendre la balle au bon et d’éviter de se mettre en déphasage de cette réalité, car ne pas comprendre que l’heure a sonné à la cathédrale de sa vie politique serait du coup, grave erreur et un manquement au signe du temps. Si le fils de Nissim Soriano ne s’en rend pas compte face à cette évidence, l’avenir nous donnera raison. Malheureusement ce sujet reste tabou au sein de la MP lors qu’au Katanga, au Kivu et ailleurs en RD Congo l’après Kabila, alimente les conversations entre observateurs, surtout quand l’on sait, sans peur d’être contredit que rien n’arrêtera le train de la démocratie. Et Le Président respectueux des textes et garant de la nation ne se dérobera pas de cette exigence que lui confie la constitution en ce qui concerne le délai fixé en ce qui concerne le mandat du Président de la République. Lui qui a mené une lutte acharnée pour que le Congo se redresse en des valeurs universelles de la liberté et de la démocratie. Ceux qui prétendent, propager des fausses nouvelles d’une constitution à retoucher pour accorder le troisième mandat à l’actuel Président de la République devraient à notre sens revoir leurs calculs politiques qui n’ont autre but que souiller la personne du Chef de l’Etat qui ne peut aucunement poser des actes susceptibles à faire sombrer le pays dans des troubles et soulèvements anticonstitutionnels comme cela est vécu dans d’autres cieux Africains. SE/Journal L’Explorateur
Posted on: Fri, 19 Jul 2013 12:35:08 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015