Quelques répliques... MAMAN PETE LES PLOMBS - Tu - TopicsExpress



          

Quelques répliques... MAMAN PETE LES PLOMBS - Tu n’imagines pas ce que c’est énervant quelqu’un qui ne s’énerve jamais ! - Fais quelque chose de grave ! Je ne sais pas, moi… Euh… brûle son pull préféré en le repassant… prends un amant… ou pire, emboutis sa voiture ! Ça, les hommes, ça les rend dingues ! - Ah ! Parce que tu crois qu’on ne… plus ? - Ben… - Eh bien si, figure-toi ! C’est moins souvent qu’avant et il y a certaines acrobaties qu’on évite. Enfin… en ce qui concerne ton père parce que moi, je suis restée assez souple. Et il faut que je le sois parce que lui, il est de plus en plus raide. Je parle évidemment de son dos ! C’est pas compliqué : il faut envoyer sa demande au moins huit jours avant et avec accusé de réception si on veut avoir une réponse. - Ce n’est pas la mer à boire. - Non, c’est la cousine à se farcir ! - Je vais aller m’allonger un moment. Mon blé n’était pas assez cuit, il me pèse sur l’estomac ! - J’ai pourtant respecté le temps de cuisson marqué sur le paquet… - Alors, ça doit venir de votre eau ! Elle est sûrement trop calcaire. Après, on s’étonne si on a des calculs dans la vésicule biliaire ! - Pas la peine d’essayer de m’embrouiller. Quand je pense que je prenais pitié et que j’osais pas venir ! Une malade, ça force le respect… Mais je vois que vous le roulez dans la farine, mon pauvre biquet ! - Mais… mais… qui est « biquet » ? - Votre mari !… Pour l’instant… - Vous, c’est normal. Largement la cinquantaine… et puis alors, pas très affriolant le jogging… j’ose pas imaginer la chemise de nuit en pilou, le bigoudi du matin et le bœuf en daube du dimanche… - Insatiable, mon mari ! Mais c’est impossible ! - Impossible… impossible… pas avec moi, en tout cas… Remarquez, avec vous, je comprends qu’il soit pas très gourmand, ça se voit au premier coup d’œil que vous êtes pas une affolante… - Houlà !!! Plan d’urgence !! Tiens ! Avale ça ! C’est de l’eau de vie, c’est ce qu’il faut pour quelqu’un qui est à l’article de la mort… - Plus on se baisse, plus grand cul on montre !. C’est ma mémé Sylvie qui disait ça. C’était la reine du bon sens. - « Femme qui dit tout à son mari pleure plus souvent qu’elle ne rit ! », c’est toujours ma mémé Sylvie qui disait ça ! - Fanfan m’a regardé avec ses grands yeux remplis de larmes et elle m’a dit « oh ! mon biquet, comme tu es délicat ! » - Et depuis tout ce temps, elle n’a jamais eu la curiosité de voir la tête qu’elle avait, cette fameuse épouse ? - Oh que si ! Ça n’arrêtait pas. Alors un jour, je lui ai apporté une photo et depuis, elle me laisse tranquille. - Une photo de qui ? - Euh… de maman ! - Laisse la savourer son « bouillon de culture »… Dépuratif égale laxatif. J’aime mieux ne pas être là lorsque arrivera la « grande délivrance ». - J’arrive pas à mettre la main sur ma binette. Vous voulez bien m’aider ? - Quelle horreur !!! Sortez immédiatement ! - Ben oui… mais… comment je vais faire ? J’avais envie de biner, moi… - Taisez-vous ! Je ne veux rien savoir de votre vie privée ! - Pour tout te dire, je n’ai pas faim. Il y a un truc qui ne passe pas. - Ah, c’est pour ça que tu n’as pas l’air d’être dans ton assiette. - Bonjour, mademoiselle Gilberte ! Aujourd’hui, je viens pour les prunes. C’est qu’elles sont belles, mes prunes ! Petites mais toutes rondes, toutes lisses, venez avec moi, je vais vous les faire voir ! - Oh ! Mon Dieu ! Oh ! Mon Dieu ! - Vous savez, votre cousine, elle a peur des légumes, des outils et aussi des fruits ! - Ce n’est pas « ma » cousine ! C’est celle de son crétin de cousin ! - Hier tu m’as dit le contraire ! Que c’était nous, les femmes, qui les menions par le bout du nez. - En fait, ils nous laissent croire qu’on les dirige… finalement, ils sont peut-être plus malins qu’on ne le pense. -Bon, il faut me conduire en ville. J’ai des courses à faire pour mon confort personnel. Je suis bien obligée puisque rien n’a été prévu pour que je me sente comme chez moi ! - Quand on veut être comme chez soi, on y reste ! - Bonjour madame… (Elle le regarde mieux.) - Maurice !… C’est toi ? - C’est moi… Tu peux m’appeler Mauricette, c’est mon prénom désormais. -Faites du bien à un vilain, il vous fait dans la main » (A Maurice.) - C’est ma mémé Sylvie qui disait ça ! - C’est Hubert ! Tournier, mettez-vous en caleçon, c’est un ordre ! - Ce n’est pas possible ! Je n’ai pas pu me tromper depuis tant d’années ! Toi et Tournier ! Et ta copine ! Et avec un travelo ! - Vous m’insultez, monsieur ! Je suis une femme à part entière !. - Vous voulez faire croire ça à qui ? Avec votre voix de fausset, vos mains comme des battoirs et votre 45 fillette ! - Je suivrai un traitement toute ma vie, malheureusement, je ne peux raccourcir ni mes pieds ni mes mains, ni changer le regard des gens sur moi… Les femmes ne me considèrent pas comme l’une des leurs et les hommes me traitent d’homo. - Tu as comme qui dirait le cul entre deux chaises, quoi ! -Maman ! Qu’est-ce que tu fais dans cette tenue ? - Regarde ! Elle est assise sur quelqu’un… et elle tape dessus ! - Ce n’est pas parce que vous vous lavez à l’eau bénite et que vous vous parfumez à l’encens qu’il faut vous prendre pour la Sainte Vierge !
Posted on: Thu, 17 Oct 2013 15:13:58 +0000

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