RASTA, FUMETTE & CONTORSIONS TALMUDIQUE Le Double Sens Caché - TopicsExpress



          

RASTA, FUMETTE & CONTORSIONS TALMUDIQUE Le Double Sens Caché des Paroles de Bob Marley « Holly Mont Zion », « Exodus », « Jah», « I and I », « the lion of Judah », « Zion train »… autant d’expressions dans les chansons de Bob Marley qui n’ont jamais suscité chez l’auditeur de base des réflexions particulières… On se dit que Bob Marley est un mystique, que ses visions n’ont qu’un sens abstrait, que c’est un artiste drogué auquel il ne faudrait pas daigner consacrer une étude plus approfondie et surtout s’imaginer pouvoir trouver un sens caché dans ses textes… Pas si sûr… Imaginons 5 minutes que tout l’enrobage, cest-à-dire, les dread-locks, la défense du tiers monde et de la cause des noirs, la consommation de marijuana…ne soient qu’un écran de fumée, que ce sacré Bob, relayé par la maison de disque Island Records et une certaine presse mondiale ne soit qu’une mystification de plus organisée avec maestro ? Et si Bob Marley donnait l’image d’un type inoffensif et pacifiste, mais en réalité profondément, intensément, exclusivement sioniste de cœur et d’esprit ; une entité créée de toute pièces pour mieux dissimuler un second degré de lecture dans ses chansons et ainsi faire passer discrètement littéralement les messages suivants : « nous, peuple élu, nous sommes à la racine « roots » de la société humaine, restons unis tout en divisant et conquérant les autres nations, exploitons et avilissons en prônant l’usage d’une drogue qui soi-disant ouvre la porte vers une élévation de la conscience, tout en les vidant de leur âme et substance, les enfermant dans des illusions inextricables… ? » Délire antisémite ? Bien sûr mon exposé dévie de la louange Wikipedia-sioniste, je cite : « Miroir de lesprit rebelle des peuples opprimés, héros, exemple et modèle à la fois, Bob Marley est considéré par plusieurs générations déjà comme le porte-parole défunt mais privilégié des défavorisés »…Toutefois, une phrase, au passage, presque anodine pourrait susciter l’embryon d’un doute «Bob Marley se rapproche de lorganisation rasta des Douze Tribus dIsraël »… C’est quoi les douze tribus d’Israël ? Réponse : l’ensemble du peuple juif. Il n’y en a pas de treizième que je sache ! Citons le témoignage d’un petit fils de parlementaire français, un des derniers résistants à la progression de l’empire dans les hémicycles français, quand il parle de Bob marley : « Ces tubes sont dans toutes les oreilles des jeunes israéliens portant dread locks, qui font leur voyage en Inde avant d’aller faire le chien de garde rasé pendant de longes années. A leur deuxième voyage les dreads repoussent, mais les hommes ont changé… Bob, soigné par l’empire britannique et les descendants de Mengele… Mort prématurément, et sans uniquement fumer la drogue de Mister Soros… L’empire « canonise » souvent ses icônes… « Diviser dans les rassemblement »… Je prends le risque de finir à Gun Court. J’aurais moi aussi quelque part préféré conserver le doux rêve d’un chanteur altruiste et zen, tout comme ma vision infantile d’hommes étant nés libres et égaux en droits... où certain ne veulent pas spécialement nuire ni exploiter les autres. Mais voilà, à mesure que le temps passe, que l’on constate que ce sont toujours les mêmes qui jouissent pendant que d’autres triment, on réfléchit, on évite la télé et consorts pro-sionistes, on s’informe vraiment, et le résultat est que le « One love, One heart » au sens de Marley, ne s’adresse qu’au peuple élu, qu’on se le dise... « One heart », c’est un seul cœur qui résonne à l’unisson chez les sionistes, un immense amour des sionistes pour eux même, exclusivement pour eux-mêmes… Tout ça sous couverture de défendre les noirs. La machine infernale est en place, la mystification complète… Eh trois, et quatre… Le charmeur de serpent joue du pipo, tout le monde le suit dans une légère et insouciante transe… Sans doute comme moi, avez-vous été charmé par le rock steady entraînant de la « Roots music », ce mix inédit du drum-kick et de la basse, tout en croyant à la mythologie du petit Bob, chanteur « self-made » du ghetto de Trenchtown en Jamaïque, plaidant pour la paix universelle, et défendant la cause des noirs et du tiers monde. Désolé, il n’en est rien. Bob Marley auquel je reconnais des qualités d’interprète indiscutables, constitue néanmoins un instrument de propagande ultra-sioniste où une certaine jeunesse juive a puisé et puise encore un véritable petit manuel de vie et applique bêtement à l’heure actuelle les préceptes du chanteur, sans broncher sur le côté profondément Talmudique et immonde de ce versant du judaïsme athée et conquérant. Bien sûr, il n’y a pas que dans la jeunesse israélienne que Bob Marley a fait des petits… Sans doute, en avez-vous connu, (pas forcément arborant dread locks), qui vous incite à fumer des petards… Ils sont la forme moderne des disciples de Marley hantent les cours de récrés, les soirées entre « amis », toujours laminant du goy, toujours divisant, toujours régnant… Mais gare à la « parano » de lapprenti rasta … Tout n’est que dans notre tête ? Ou cette impression reflète -t-elle une vérité qui nous échappe, un lien invisible entre certaines personnes ? Telle est la véritable question... Telle est la véritable arme de destruction massive apparue dans les années 70, inoculée aux Beatles par Bob Dylan alias Mr Zimmerman de son vrai nom, telle est la version contemporaine des vodkas « Ouzbèkes » utilisées en Russie aux XIXème et XXème pour anéantir le paysan ou le whisky frelaté utilisé comme armes de destruction massive de Peaux-Rouges… Demandez à Soljenitsyne qui donc distillait la Vodka dans les campagnes Russes, vous savez, cette tradition de jeter le verre en arrière, ce qui dispense de boire le poison qu’il y a dedans ! Remémorez-vous le nom du plus grand fabriquant d’eau de vie tunisienne : Bokhobza ! … Après une telle vie, et ayant conservé leur « baby life », ils n’ont plus qu’à devenir chroniqueur à canal + à la Eric Zeymou, ou humoriste à la Gad, ou acteur, ou chanteur... le sentiment du devoir juif accompli, alors que le goy, pauvre diable candide reste embué dans ses rêves si bien décrit par les mots de Bob Marley : « you think you’re in heaven but you’re living in hell, time alone,… oh, time will tell ». Pour vraiment percer le véritable sens des textes, cela implique quelques acrobaties intellectuelles, heurtant la logique instinctive d’un esprit formé dans la droiture universelle chrétienne, musulmane ou même païenne, où « je » désigne le sujet, et « il » désigne une tierce personne. Dans l’œuvre de Marley, « nous » peut tantôt désigner « nous, les juifs » ou « nous, les goys », c’est là toute la feinte... Le « I and I », la « I-ration » Les rastas, à l’instar de Marley, utilisent « I and I » à la place de « I » pour se désigner. Cela ne relève pas d’un folklore ou d’un raffinement quelconque, encore moins d’une conscience supérieure de « l’Etre en tant qu’Etre »… « I AND I » se traduit par « ma façade ET le juif en moi ». L’identité de façade est donc factice, elle n’est qu’une invention qu’il faut faire au quotidien pour mieux dissimuler son unique raison d’être et seule véritable condition qui est d’être sioniste. Marley désigne par « I-ration » cette action de se créer aux yeux des goys une identité passe partout et réaliste pour évoluer au milieu d’eux… Pour faire l’analogie avec le film « Matrix », la I-ration permet de passer inaperçu au quotidien dans la matrice concoctée pour les goys et autres dévots de Jésus ou de Mohammad. On retrouve ceci clairement explicité dans différentes chansons : « Roots » : « Nothing they can do to separate (z)I(on) and I, from the love of our fathers ». (Remarquez comme il mange ses mots pour que « zion » soit à peine perceptible.) « Got to survive in this man maniac downpression, got to survive in I-ration. » ou comment la création d’une identité factice permet de vivre au sein de la “pression vers le bas” exercée sur les goys. « Many are called, a few are chosen » référence biblique détournée pour rappeler l’élection d’un peuple, les juifs. Comment introduit-il ses live ? «Jah live children, ever fearful ! Ever sure ! », qui, pris au sens littéral veut dire « toujours apeuré, toujours sûr » ce qui n’a pas de sens. Sauf si l’on sait que cela fait écho au « I and I », les « fearful » sont les goys, les « sures » sont les élus. Qui dans la foule, penserait à ça, à part les initiés sionistes présents ? Quand il chante « I and I » ou parfois « I n’ » comme dans « Babylon By Bus » (1978) « and I’n say, ain’t got no birth certificate on me now », il parle de lui en tant que façade mais aussi en tant quélu. (exemple « I n I are the roots » « Roots » (album Rebel Music 2001). Quand Marley chante « I » =« je », il ne parle pas forcément de lui. Soit il parle de la position du peuple élu par rapport à un sujet, une attitude, une direction à suivre soit il parle des goys (de ce qu’ils subissent, de ce qu’il faut leur faire subir). L’attribution du « nous» aux uns ou aux autre est à trouver en fonction du contexte, parfois dans la manière de faire résonner la note chantée sur deux harmoniques (diphonie) qui fait écho au « I and I », qui désigne donc la partie double du propos. Il faut remarquer qu’une œuvre aussi prosélyte possédant deux niveaux de lecture, laisse présager de l’aisance des adeptes du talmude à comprendre particulièrement ce genre de langage à demi voilé, nécessitant une initiation dans l’alcôve de la transmission maternelle. Cela donne le vertige si comme Louis Ferdinand Céline avez pu évoluer en sous marin dans des milieux exclusivement juifs (Cf. « Bagatelles pour un massacre » où il dit voir défiler les « Ras Tafari »), vous avez remarqué qu’il s’agit là d’un véritable mode de communication. Quoi qu’il en soit l’œuvre retentit de A à Z de cette sempiternelle distinction nécessaire à toute peuplade ne se définissant que par rapport à un ennemi faute de substance propre, travers intrinsèque aux juifs sionistes : « eux » et « nous » (cf . « We and Dem » (Uprising – 1980)). Pas convaincu ? Cette lecture entre les lignes s’éclairera sans doute à la lumière de ce petit glossaire que je vais étayer d’exemples tirés des chansons, cela requiert un niveau d’anglais minimum: L’introduction à la chanson « Rebel Music (3 O’Clock roadblock ) (album « Babylon By Bus » (1978) est aussi édifiante: “you gonna get caught in a roadblock and tell the mister Policeman that you ain’t got no birth certificate right here”. En gros si un juif se fait coincer par un flic (qui sont goys, les juifs sont plus haut placé cf. « I shot the sheriff but I did not shoot the deputee », il doit cacher à tout prix qu’il est juif « ain’t got no birth certificate »…Encore une fois, écouter avec attention le ton avec lequel il dit ces paroles… « Zion » Audible dans « Iron Lion Zion » (album Natural Mystic 1995), où il exhorte les juifs « on the run » « I had to run like a fugitive » (référence à l’exode d’Egypte), où les goys «you see they want to be a star », donc ils se font la guerre entre eux « so they’re fighting tribal wars » on peut y voir une référence à la division des peuples goys en peuplades ennemies qui s’entretuent… tandis que le juif sera « Iron » de fer comme un « Lion » dans le sionisme « in zion »…CQFD. « Zion train » (album Uprising 1980). Que dire ? Tout est dans le texte: “Zion train is coming our way”. « Oh people, get on board ! ». Il semble que les wagons soient réservés au « peuple », pas de place pour les goys… Faut-il y voir que le triomphe sioniste sur la planète sera bientôt total à epsilon près (epsilon s’appelant Poutine, Chavez, Armadinedjad, Nasrallah …) « Babylon » « Babylon » désigne la diversité des nations originelles (mythe de la tour de Babel et de l’incompréhension, l’incapacité de construire ensemble et la division entre les différents peuples) par opposition à l’union universelle sioniste de « Mont Zion ». « Babylon civilisation » représente tout ce qui n’est pas organisé par « Zion ». « Fly away home to Zion, fly away home, one bright morning when my work is over I will fly away home ». Bob Marley compte-t-il s’installer en Israël une fois la bonne parole délivrée? De là à s’imaginer que sa mort serait une mise en scène…On sait jamais. On n’est plus à une mystification près… Et puis un cancer si jeune quand on ne fume pas et mange végétalien, ça me parait suspect…mais c’est du domaine de la polémique, enfin sait-on jamais, si vous croisez un rasta en Israël… « Chant down Babylon » (confrontation 1983). C’est assez explicite comme titre… « Get up and turn “ I” loose cause the rain is falling ». Rain=water=baptême=chrétien qui chute. « turn « I » loose » et non « turn me » or « turn myself » qui seraient gramaticalement corrects: fais fumer « I », le goy. “water”: L’eau est une autre manière de designer les goys, chrétiens surtout, par l’image du baptême par rapport à la filiation juive par le sang (cf. Roots , album Rebel Music 2001 « you see blood is thicker than water » Tu vois, le sang est plus épais que l’eau, les liens du sang sont plus fort qu’un simple baptême) Ainsi les nations chrétiennes, et plus généralement goys, sont des rivières (cf. Burnin’and lootin’ « How many rivers do we have to cross, before we can talk to the boss ? » Combien de nations à contrôler avant que le peuple élu soit redevable à Dieu pour avoir accompli sa prophétie de domination totale du monde (Ezechiel, Talmud…)?) “Rat race“ (Rastaman vibration 1976) Cette chanson joue sur l’ambivalence du mot “race” entendu comme une « course de rat » mais surtout une « race de rats ». « In the abundance of water, the fool is thirsty” consommation du goy version aquatique et non plus par la combustion par le feu. Rat race“ (Rastaman vibration 1976) “When the cjats away, the mice will play” Them belly full (natty Dread 1974) “a pot a cook, but the jud know nof” déformé en “a Jot a joot, but the food no nof” le juif sait qu’il ne faut pas cuire les aliments. Préservation des propriétés, le manger “I-tal”. Le goy est bon a avoir le ventre gavé de merde (the belly full). Regardez autour de vous…Les Zemmour, Kouchner, Reichman, Dechavannes, BHL, Elisabeth Levy, D. Pujadas, sont quand même bien conservés les mecs…bien sec comme il faut. Et les exemples sont tellement plus nombreux ... Je laisse à votre perspicacité découvrir d’autres sens mais soyez sûr que « there’s a natural mystic, blowing through the air », comme un parfum de mystère flottant dans l’air… Bien sûr si une majorité des chansons ne sont exclusivement que des parfaits petits manuels de vie à l’attention de l’apprenti sioniste qui souhaite, pour reprendre l’aveu de Simone Veil-Jacob «ce petit peuple de déracinés qui a déraciné toute l’humanité », ou encore plus tranchant l’aveu du Grand Rabin orthodoxe sepharade Ovadia Yossef : Pourquoi les Gentils sont nécessaires ? Ils travailleront, ils laboureront, ils récolteront. Et assis comme des effendi, nous mangerons. C’est pour ça que les Gentils ont été créés. Tout cela pour apporter sa petite pierre à la concrétisation de la domination juive totale du globe et de l’avachissement proportionnel des autres races (l’album Uprising 1980 est un bon exemple où chaque chanson porte un sens caché ), mais il subsiste quelques chansons qui font diversion, sans avoir une signification double, ou alors elle m’a échappée. Le pire est que la jeunesse juive sioniste doit plus ou moins appliquer ces préceptes avec plus ou moins de dilettante selon les individus, tout en ce disant que c’est là l’ordre naturel des choses, que ce n’est pas si grave. Bien-sûr comme tout article divulguant des informations sur la manière immonde d’agir des sionistes, il s’expose à la rhétorique classique du style « c’est grotesque… ». Cependant, quiconque prendra le temps de vérifier les exemples cités, pourra juger de lui-même et arriver à la même conclusion claire et indiscutable que Bob Marley constitue en soi une arme de destruction massive et en tirer les conclusions au quotidien qui s’imposent. Comment les sionistes se sont permis un tel risque ? Je me le demanderai toujours, il n’empêche que « la matrice Bob Marley », pour moi et j’espère pour vous bientôt, est officiellement décodée, apportant une mine d’information sur la manière d’agir ou de penser de ces loups qui partagent la vie des nations goys depuis plus de 3 millénaires. Il ne reste plus qu’un travail d’information du goy ou post goy de base sur le monde factice dans lequel il vit, s’il veut un jour retrouver sa condition d’homme debout, et non à la botte d’une minorité belliqueuse et immonde. Pour détendre l’atmosphère, imaginez comment les vrais rastas sionistes doivent se foutre de la gueule des pseudos aspirants rasta qui ne pourront jamais en être à moins de devenir sioniste ou du moins pro… Parce qu’un sioniste, ça se marre bien, faut pas croire… « The rastaman vibration is positive » (Positive vibration )”. Pourquoi cette positivité ne serait-elle pas générale ? Vous me direz, le dernier qui leur ait suggéré cette idée, il a été livré aux romains pour être (chobbiha lahom !) cloué sur une croix … 2000 ans après, ils s’en félicitent toujours. Faut-il décomplexer la haine envers certaines gens, pour vivre heureux ? C’est leur thèse. A chacun de se faire un avis là-dessus. Une fois pris à leur propre jeux, une fois leur grand secret découverts, ils sont à poil, on se rend compte à quel point ils sont intellectuellement misérables pris individuellement. Et je ne doute pas qu’il y aura deux trois rats ou plutôt des « wolf in sheep clothing » comme dirait Netanyahu qui gardent un oeil sur les forum et autres journaux lignes, à qui ça doit passer de travers et ça me réjouit… c’est le jeu que nous n’avons pas choisi mais auquel nous devons jouer pour survivre, dont vous et moi commencent à connaître les règles. Le problème c’est qu’ils s’entraînent depuis leur naissance… Mais à être élevé dans le « nous, peuple élu » et « eux, sales goys », ils ont hérité d’un demi cerveau impersonnel et tout aigri, enfermé dans une fuite en avant absurde qui risque de transformer cette belle planète en un désert. Nizar CHABBI
Posted on: Sat, 02 Nov 2013 23:34:04 +0000

Trending Topics



Recently Viewed Topics




© 2015