RW 280 : cette semaine sera consacrée à une comparaison tournant autour de grand récit qu’Isolde fait à Brangaene des raisons de sa supposée haine de Tristan. Sorte de préquelle de l’opéra en quelque sorte, ce récit est l’une des choses les plus redoutables qu’un soprano dramatique ait à affronter, notamment dans sa partie finale, consacrée à la malédiction. Pour ce premier jour, nous retrouvons l’Isolde l’intégrale Furtwängler, mais ici quelques années plus tôt, en 1948 précisément, en studio, avec le même Philhramonia Orchestra dirigé par Issay Dobrowen, et la Brangaene de Elisabeth Höngen. Puis, la même année à l’Hollywood Bowl de Los Angeles, Helen Traubel et la direction d’Eugene Ormandy.
Posted on: Mon, 07 Oct 2013 05:04:52 +0000
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