Révélations troublantes de Bozizé surses relations avec Jacob - TopicsExpress



          

Révélations troublantes de Bozizé surses relations avec Jacob Zuma et Idriss Deby Décidément, les jours qui passent, l’ancien chef de l’Etat centrafricain, François Bozizé réalise qu’il a effectivement perdu le pouvoir définitivement vu la haine viscérale que lui vouent les nouvelles autorités de la transition. Dans un premier temps, il a minimisé le mandat d’arrêt international délivré contre lui par le parquet de Bangui pour tentative de génocide et autres griefs gravissimes liés à ses dizaines années de gestion scabreuse. Raison pour laquelle il ne s’empresse pas de formuler une demande d’asile à un tiers pays, car à l’instant d’aujourd’hui, il se sent toujours dans la peau d’un chef d’Etat renversé en vacances qui attend reprendre les affaires plus tard. Puisqu’il n’est pas interdit à un homme de rêver, Bozizé, dans une campagne médiatique sur le plan international dit à qui veut l’entendre qu’il reviendra tôt ou tard à Bangui pour essuyer les larmes des centrafricains qui le réclameraient avec insistance. Même si la presse ne s’intéresse plus à sa personne, il parcourt les rédactions muni de sa tirelire pour se donner la chance de parler parfois sur tout voire le contraire de sa pensée. Son rejeton, Jean Francis, l’ancien ministre de la défense nationale s’est mué en conseiller en communication personnel de son géniteur qui a pris un coup de vieux. Bozizé est atteint de la pouvoirite, cette dangereuse maladie qui étreint les hommes politiques kleptomanes de l’acabit de Bozizé qui souffre de l’anorexie. Ceux qui l’ont approché ces temps-ci témoignent que l’ancien président de la République a terriblement perdu de poids. Comme un homme aux désarrois qui a perdu tout sauf la raison, il ne cesse de jeter son dévolu sur son ancien gourou, Idriss Deby Itno qui lui a fourni des armes, logistiques et hommes aguerris pour renverser le démocratiquement élu Ange Félix Patassé en 2003. Dans toutes ses interventions, il accuse son mentor faisait des chefs d’Etat en Centrafrique d’être à l’origine de sa chute sans avoir fixé l’opinion sur les raisons de ces désamours. Mais il a promis la main sur le cœur qu’il reviendra au pouvoir par tous les moyens pour régler les comptes à celui-ci qui se croit le tout puissant dans la sous région de l’Afrique centrale. Il a poussé l’onguent jusqu’à intervenir dans la crise Malienne. « Tant que Dieu m’épargne le souffle de vie, Deby me sentira u jour. il m’a beaucoup trompé. Pendant la rébellion de Michel Djotodia, il m’a envoyé un contingent de ses troupes stationné à Damara pour jouer l’interposition mais curieusement, c’est lui qui a donné l’ordre à la FOMAC de libérer la voie pour permettre aux éléments de la coalition Séléka de marcher sur le palais de la Renaissance. Comment pouvez-vous comprendre une telle attitude perverse venant de la part d’un homme d’Etat qui se dit respecté par ses pairs ? », Se plaint Bozizé qui manque de verser des larmes. Sa chute inattendue est restée en travers la gorge mais la vengeance reste et demeure incertaine puisque le centrafricain est affaibli sur tous les plans. Son seul et infime espoir demeure le président sud-africain, Jacob Zuma très embarrassé par la crise centrafricaine à cause de la mort d’une quinzaine de soldats du contingent de ce pays déployé en Centrafrique pour défendre le président centrafricain, sa famille et leurs intérêts économiques. En effet, amorçant la dernière ligne des combats décisifs, il ya eu de violents affrontements entre les éléments Séléka et les soldats sud africains stationnés à l’Ecole Nationale de Police. Surpris par les insurgés, les sud africains ne pouvaient que compter leurs morts et faire leur deuil. Face à cette situation bien délicate, le président Jacob Zuma est contraint de s’expliquer devant le parlement de son pays. Il a expliqué que les relations avec la RCA sont basées sur la coopération économique. Comprenez que la RSA avait signé un contrat d’exploitation du gisement d’uranium de Bakouma. Malheureusement, la France a joué de son poids pour racheter ce contrat que l’Afrique du Sud ne veut nullement lâché. La bataille est d’un niveau d’intérêt supérieur. Bozizé a déclaré que « Bakouma appartient à l’Afrique du Sud et il doit lui revenir de droit sinon tant que je vivrai, il l’aura ». Histoire de mettre en confiance ses partenaires sud africains qui l’observent. A deux jours de sa chute eut à bénéficier d’une somme d’argent en numéraire d’un montant de 3 millions de dollars américains remis en main à son fils Jean Francis. Jacob Zuma était sur le point de mobiliser un effectif impressionnant de soldats à Bangui lorsque les Séléka ont investi le palais de la Renaissance, le 24 mars 2013. Dire quoi encore quand Bozizé a moins de chance de rentrer à Bangui pour mettre en exergue son plan machiavélique visant au renversement de Deby ? La rédaction
Posted on: Wed, 04 Sep 2013 11:40:07 +0000

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