SUGGESTIONS CONCERNANT L’ÉCONOMIE ET LA FISCALITÉ - TopicsExpress



          

SUGGESTIONS CONCERNANT L’ÉCONOMIE ET LA FISCALITÉ QUÉBÉCOISE Afin de renforcer la classe moyenne québécoise, d’augmenter son pouvoir d’achat et les chances de ceux et celles qui en font partie de devenir des propriétaires, pour stimuler la consommation et l’économie et pour favoriser la création d’emplois, je suis en faveur d’une réduction modérée et décente des impôts exigés aux contribuables dont le revenu annuel est inférieur à 100 000 $. Selon moi, une baisse d’impôts de 2 % pour tous les contribuables dont le revenu brut est de moins de 100 000 $ par année serait très bien pour l’économie québécoise. Une telle baisse d’impôts pourrait très bien être instaurée graduellement sur une période de deux ans en diminuant de 1 % par année la contribution fiscale des citoyens et citoyennes du Québec faisant partie de la classe moyenne. De plus, afin d’établir une plus grande justice sociale dans la redistribution des richesses et de réduire l’écart entre les riches et la classe moyenne, je suis aussi en faveur d’une augmentation modérée et convenable des impôts sur le revenu des Québécois et Québécoises ayant un revenu brut supérieur à 100 000 $ par année via l’instauration d’un impôt sur le revenu un peu plus progressif qu’actuellement. D’ailleurs, alors que le palier d’imposition des gens les plus riches concerne présentement ceux dont le revenu annuel est de plus de 100 000 $ et que celui-ci leur exige de payer 25,75 % d’impôts, je suis plutôt en faveur d’un dernier palier d’imposition qui concernerait les contribuables ayant un revenu annuel de 200 000 $ et plus ou de 250 000 $ et plus et qui exigerait à ces fortunés de payer 30 % d’impôts. D’autre part, afin de vraiment augmenter de manière évidente le pouvoir d’achat de la classe moyenne en diminuant les impôts lui étant demandé de payer, il faudrait laisser la TVQ au niveau actuel et ne pas l’augmenter. C’est plutôt aux banques et aux autres institutions financières qu’il faudrait exiger une plus grande contribution fiscale, mais tout de même décente. De leur côté, les grandes entreprises établies au Québec paient relativement peu d’impôts par rapport à la grande majorité de celles établies ailleurs en Amérique du Nord. Donc, elles devraient contribuer un peu plus financièrement. En ce qui concerne le salaire minimum, je suis en faveur de l’augmenter un peu plus rapidement qu’en ce moment afin d’augmenter aussi le pouvoir d’achat des bas salariés et pour leur permettre à eux-aussi de stimuler davantage l’économie québécoise. Pour aider l’économie du Québec, je crois aussi qu’il s’avère incontournable d’investir habilement et efficacement dans la recherche et le développement. De plus, dans le but d’aider l’économie québécoise, je suis aussi en faveur d’investissements considérables et importants dans un réseau universitaire de qualité et très accessible grâce à un gel des frais de scolarité. Investir ainsi dans un tel réseau universitaire afin de le rendre encore meilleur et plus accessible permettrait de s’assurer de former énormément de diplômé(e)s universitaires hautement qualifié(e)s et compétent(e)s. De plus, un gel des frais de scolarité permettrait de former des diplômés moins endettés par rapport au coût de la vie et dont le pouvoir d’achat serait donc plus élevé suite à leurs études. Ainsi, ce grand nombre de diplômé(e)s pourrait lui aussi participer encore davantage à la stimulation de l’économie québécoise. Par ailleurs, « miser » sur un haut niveau d’accessibilité à de bonnes formations d’une main d’œuvre très qualifiée s’avère aussi très important pour l’économie du Québec. Finalement, je crois qu’il est possible de concilier bonne santé économique et saine gestion efficace et responsable des fonds publics. Dany Carignan
Posted on: Wed, 02 Oct 2013 02:00:15 +0000

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